Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Newsday
par Diane Werts
La star de la série transmet tellement de substance que vous ne pouvez pas vous arrêter de regarder.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
Chicago Sun-Times
par Chuck Ulie
Grey's veut offrir quelque chose pour tout le monde, et le fait admirablement en mixant le drame, la comédie, la romance mais aussi en traitant des problèmes d'aujourd'hui dans le monde complexe de la science médicale.
La critique complète est disponible sur le site Chicago Sun-Times
New York Post
par Adam Buckman
Il s'agit d'une de ces rares séries qui arrivent à l'antenne totalement formées, comme si tous les gens impliqués devant et derrière la caméra travaillaient ensemble depuis toujours (...) La distribution jeune et charismatique y est pour beaucoup dans l'efficacité du show, mais je suspecte qu'il s'agisse aussi de la somme de plusieurs éléments -l'écriture, la réalisation, le montage, la bande-son sensationnelle- qui la font rendre obsoléte toutes les séries médicales précédentes.
La critique complète est disponible sur le site New York Post
New York Times
par Alessandra Stanley
A l'époque de Desperate Housewives et Newport Beach, il est rafraîchissant de regarder une série dont les héroïnes n'ont pas pour aspiration principale de trouver l'amour mais de trouver du sens dans leur métier et de ne pas avoir peur de sexe sans attaches.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Kansas City Star
par Aaron Barnhart
Si Grey's Anatomy ne parvient pas, de peu, à devenir le nouveau , c'est parce qu'elle est surproduite. Il faut faire avec les passages musicaux à vous tirailler le coeur sur des scènes légères hyper contemplatives (...) Mais l'écriture et le jeu des acteurs, bien qu'ils ne soient pas sidérants, m'ont aidé à passer outre.
La critique complète est disponible sur le site Kansas City Star
Los Angeles Times
par Paul Brownfield
Le démarrage est prometteur, même s'il faut pour ça accepter l'intrusion soudaine d'une chanson lugubre façon Counting Crows ou la sensation que Sarah Jessica Parker, en voix-off, se demande si elle a ce qu'il faut pour devenir une bonne chirurgienne.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Variety
par Brian Lowry
Personne n'oubliera Urgences à cause d'elle, mais le mélange d'une distribution jeune, de dialogues croustillants, de romance, du lieu de travail Darwinien où on doit lutter pour survivre, et des situations de vie ou de mort, rend la série attirante et regardable et ce malgré son aspect trop familier.
La critique complète est disponible sur le site Variety
People Weekly
par Terry Kelleher
Il y a des choses réussies, y compris l'excellente performance de Pompeo et la relation étonnamment touchante entre Meredith et sa mère, une chirurgienne renommée. Mais pour mériter notre attention la plus totale, Grey's Anatomy va devoir se révéler plus intelligente que ça.
La critique complète est disponible sur le site People Weekly
Slate
par Dana Stevens
Cette série va avoir besoin d'un défibrilateur au thorax si elle veut survivre à cette première saison (...) L'organe qui fonctionne le mieux dans Grey's Anatomy, c'est et sa délicieuse prestation colérique et maussade.
La critique complète est disponible sur le site Slate
Washington Post
par Tom Shales
Cette série correspond davantage à un calcul commercial qu'à une tentative honnête de proposer quelque chose de frais et de différent (...) C'est autant "une nouvelle série" que le monstre du Dr Frankenstein était "un nouvel homme".
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Newsday
La star de la série transmet tellement de substance que vous ne pouvez pas vous arrêter de regarder.
Chicago Sun-Times
Grey's veut offrir quelque chose pour tout le monde, et le fait admirablement en mixant le drame, la comédie, la romance mais aussi en traitant des problèmes d'aujourd'hui dans le monde complexe de la science médicale.
New York Post
Il s'agit d'une de ces rares séries qui arrivent à l'antenne totalement formées, comme si tous les gens impliqués devant et derrière la caméra travaillaient ensemble depuis toujours (...) La distribution jeune et charismatique y est pour beaucoup dans l'efficacité du show, mais je suspecte qu'il s'agisse aussi de la somme de plusieurs éléments -l'écriture, la réalisation, le montage, la bande-son sensationnelle- qui la font rendre obsoléte toutes les séries médicales précédentes.
New York Times
A l'époque de Desperate Housewives et Newport Beach, il est rafraîchissant de regarder une série dont les héroïnes n'ont pas pour aspiration principale de trouver l'amour mais de trouver du sens dans leur métier et de ne pas avoir peur de sexe sans attaches.
Kansas City Star
Si Grey's Anatomy ne parvient pas, de peu, à devenir le nouveau , c'est parce qu'elle est surproduite. Il faut faire avec les passages musicaux à vous tirailler le coeur sur des scènes légères hyper contemplatives (...) Mais l'écriture et le jeu des acteurs, bien qu'ils ne soient pas sidérants, m'ont aidé à passer outre.
Los Angeles Times
Le démarrage est prometteur, même s'il faut pour ça accepter l'intrusion soudaine d'une chanson lugubre façon Counting Crows ou la sensation que Sarah Jessica Parker, en voix-off, se demande si elle a ce qu'il faut pour devenir une bonne chirurgienne.
Variety
Personne n'oubliera Urgences à cause d'elle, mais le mélange d'une distribution jeune, de dialogues croustillants, de romance, du lieu de travail Darwinien où on doit lutter pour survivre, et des situations de vie ou de mort, rend la série attirante et regardable et ce malgré son aspect trop familier.
People Weekly
Il y a des choses réussies, y compris l'excellente performance de Pompeo et la relation étonnamment touchante entre Meredith et sa mère, une chirurgienne renommée. Mais pour mériter notre attention la plus totale, Grey's Anatomy va devoir se révéler plus intelligente que ça.
Slate
Cette série va avoir besoin d'un défibrilateur au thorax si elle veut survivre à cette première saison (...) L'organe qui fonctionne le mieux dans Grey's Anatomy, c'est et sa délicieuse prestation colérique et maussade.
Washington Post
Cette série correspond davantage à un calcul commercial qu'à une tentative honnête de proposer quelque chose de frais et de différent (...) C'est autant "une nouvelle série" que le monstre du Dr Frankenstein était "un nouvel homme".