Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Brain Damaged
par Asma El Mardi
Il faudra attendre la suite au-delà de ces trois premiers épisodes, pour voir si la folie de Peacemaker tient sur la longueur tout en offrant quelque chose de vraiment inédit au-delà de ce qu’on nous propose – qui même si dépoussière les séries classiques de super-héros à la perfection – reste une extension de l’univers The Suicide Squad sauce James Gunn, sur le petit écran.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
En profitant de ce spin-off pour revenir à ses premiers amours, pour explorer le hors champ de l'univers DC et y traquer ses rebuts les moins sexy, le réalisateur, par ailleurs metteur en scène de quelques moments de bravoure dont il a le secret, accomplit ce que la plupart des excroissances télévisuelles d'univers étendus refusent de faire : s'emparer du format série afin de donner le change des blockbusters propres sur eux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Peacermaker n'est pas une série parfaite, mais elle est incontestablement faite avec le cœur et une envie de mettre en lumière des laissés-pour-compte en quête d'une seconde chance. John Cena s'amuse et James Gunn montre ce qu'il peut faire quand on ne tente pas de le restreindre. Autant de bonnes raisons de passer une fin d'année devant sa TV.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Point
par Benjamin Fau
Peacemaker est, sur tous ses aspects, une excellente production, qui provoque chez le spectateur exactement ce qu'il est venu chercher, avec même un certain brio.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
TVLine
par Matt Webb Mitovich
Peacemaker, à condition de supporter les opinions imbéciles du personnage-titre (et pardonner provisoirement, voire d'oublier, ses actions dans The Suicide Squad) est une série signée James Gunn particulièrement fun à regarder.
La critique complète est disponible sur le site TVLine
Variety
par Caroline Framke
Outre le timing humoristique de John Cena, les meilleurs moments du personnage au cours des trois premiers épisodes sont ceux où il s’effondre dans son lit miteux, au terme d’une nuit épuissante et embarrassante, son visage s’enfonçant dans l’oreiller au prix d’un effort douloureux. La raison principale qui me fera continuer à regarder Peacemaker n’est pas le personnage en lui-même, mais un membre inattendu de son équipe (Leota Adebayo qu’incarne Danielle Brooks) qui malgré le scepticisme de ses collègues de travail se rend immédiatement indispensable.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Collider
par Carly Lane
Ce qui fait de Peacemaker un personnage si intéressant et captivant c'est l’horreur insolente qu’il dégage, et le choix qu’a fait la série de revenir en arrière sur ce qui aurait pu définir ce personnage donne lieu à une suite à la violence plus supportable.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Le Parisien
par La rédaction
Les amateurs de grand n’importe quoi se réservent de belles parties de rigolades en regardant la série, qui si elle s’avère parfois fatigante à force d’outrances comiques ou gore, a le mérite de pointer au niveau zéro sur l’échelle du politiquement correct, ce qui fait du bien…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
The Hollywood Reporter
par Angie Han
La série rend le personnage plus attachant, mais également moins intéressant... Conçue dans la lignée des séries qui explorent le caractère extrême d’un personnage, celle-ci parvient néanmoins à se démarquer des précédentes. Peacemaker est une série agréable à regarder. Une ambiance presque familiale se fait ressentir durant toute la saison, rendant la série facile à regarder sans trop se concentrer plutôt que quelque chose de plus complexe mais qu’on ne suivrait que d’un coin de l’oeil.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Télérama
par Pierre Langlais
La série assume crânement son côté décalé, dès son improbable introduction, chorégraphie ridicule entrée directement au panthéon des meilleurs génériques de l’histoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNN
par Brian Lowry
Si seulement la série HBO Max dérivée de The Suicide Squad était aussi réussie que le film, malgré (et également à cause de) la liberté accordée au scénariste/réalisateur James Gunn pour lui permettre de se lâcher complètement.
La critique complète est disponible sur le site CNN
Brain Damaged
Il faudra attendre la suite au-delà de ces trois premiers épisodes, pour voir si la folie de Peacemaker tient sur la longueur tout en offrant quelque chose de vraiment inédit au-delà de ce qu’on nous propose – qui même si dépoussière les séries classiques de super-héros à la perfection – reste une extension de l’univers The Suicide Squad sauce James Gunn, sur le petit écran.
Ecran Large
En profitant de ce spin-off pour revenir à ses premiers amours, pour explorer le hors champ de l'univers DC et y traquer ses rebuts les moins sexy, le réalisateur, par ailleurs metteur en scène de quelques moments de bravoure dont il a le secret, accomplit ce que la plupart des excroissances télévisuelles d'univers étendus refusent de faire : s'emparer du format série afin de donner le change des blockbusters propres sur eux.
Le Journal du Geek
Peacermaker n'est pas une série parfaite, mais elle est incontestablement faite avec le cœur et une envie de mettre en lumière des laissés-pour-compte en quête d'une seconde chance. John Cena s'amuse et James Gunn montre ce qu'il peut faire quand on ne tente pas de le restreindre. Autant de bonnes raisons de passer une fin d'année devant sa TV.
Le Point
Peacemaker est, sur tous ses aspects, une excellente production, qui provoque chez le spectateur exactement ce qu'il est venu chercher, avec même un certain brio.
TVLine
Peacemaker, à condition de supporter les opinions imbéciles du personnage-titre (et pardonner provisoirement, voire d'oublier, ses actions dans The Suicide Squad) est une série signée James Gunn particulièrement fun à regarder.
Variety
Outre le timing humoristique de John Cena, les meilleurs moments du personnage au cours des trois premiers épisodes sont ceux où il s’effondre dans son lit miteux, au terme d’une nuit épuissante et embarrassante, son visage s’enfonçant dans l’oreiller au prix d’un effort douloureux. La raison principale qui me fera continuer à regarder Peacemaker n’est pas le personnage en lui-même, mais un membre inattendu de son équipe (Leota Adebayo qu’incarne Danielle Brooks) qui malgré le scepticisme de ses collègues de travail se rend immédiatement indispensable.
Collider
Ce qui fait de Peacemaker un personnage si intéressant et captivant c'est l’horreur insolente qu’il dégage, et le choix qu’a fait la série de revenir en arrière sur ce qui aurait pu définir ce personnage donne lieu à une suite à la violence plus supportable.
Le Parisien
Les amateurs de grand n’importe quoi se réservent de belles parties de rigolades en regardant la série, qui si elle s’avère parfois fatigante à force d’outrances comiques ou gore, a le mérite de pointer au niveau zéro sur l’échelle du politiquement correct, ce qui fait du bien…
The Hollywood Reporter
La série rend le personnage plus attachant, mais également moins intéressant... Conçue dans la lignée des séries qui explorent le caractère extrême d’un personnage, celle-ci parvient néanmoins à se démarquer des précédentes. Peacemaker est une série agréable à regarder. Une ambiance presque familiale se fait ressentir durant toute la saison, rendant la série facile à regarder sans trop se concentrer plutôt que quelque chose de plus complexe mais qu’on ne suivrait que d’un coin de l’oeil.
Télérama
La série assume crânement son côté décalé, dès son improbable introduction, chorégraphie ridicule entrée directement au panthéon des meilleurs génériques de l’histoire.
CNN
Si seulement la série HBO Max dérivée de The Suicide Squad était aussi réussie que le film, malgré (et également à cause de) la liberté accordée au scénariste/réalisateur James Gunn pour lui permettre de se lâcher complètement.