Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Hollywood Reporter
par Daniel Fienberg
Grâce au travail sur le décor qui met méticuleusement en scène le déclin rapide de l'hôpital - qui se retrouve inondé, fétide et complètement dysfonctionnel - la série capture la spirale infernale qui montre que même les meilleures intentions amènent à des jugements malheureux.
La critique complète est disponible sur le site Hollywood Reporter
Le Figaro
par Constance Jamet
Cette minisérie glaçante n’a pas volé les comparaisons élogieuses avec Chernobyl de HBO.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Romain Nigita
Un équilibre atteint à la perfection grâce notamment à une distribution exemplaire, à commencer par Vera Farmiga, que Carlton Cuse avait choisie pour incarner la mère de Norman Bates dans la série Bates Motel, et Cherry Jones, précédemment embauchée par John Ridley sur American Crime.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Entertainment weekly
par Kristen Baldwin
Alors que les eaux et la tension montent, Ridley et Cuse fomentent une atmosphère d'oppression de plus en plus claustrophobique. La caméra filme de près - capturant la misère - avec des plans de coupes intentionnellement saccadées donnent à certaines scènes la sensation de tituber à travers l'action. Une manière de refléter l'épuisement et la désorientation des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Libération
par Marius Chapuis
Dès ses premières images, Five Days at Memorial organise la spectaculaire collision entre le récit de faits récents et une imagerie venue du cinéma de genre. Prisonnière de ses personnages et de leurs états d’âme, la série s’embourbe dans le pathos au moment d’aborder la procédure judiciaire lancée contre une médecin et deux infirmières, inculpées pour meurtres, quand il aurait fallu au contraire gagner en hauteur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Marianne Levy
Ce qui aurait pu être une œuvre racoleuse et voyeuriste se révèle une hybridation intéressante, dépassant le simple déroulement des faits et sa fonction dramaturgique. L’efficacité se met tout entière au service de la dimension politique de la série.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Daniel D'addario
Peut-être que Five Days at Memorial" aurait été plus forte s'il elle avait fait plus court et plus moderne - une série centrée sur les événements qui se sont produits à Memorial et non sur les conséquences juridiques. Son impact aurait été considérablement plus forte.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Hollywood Reporter
Grâce au travail sur le décor qui met méticuleusement en scène le déclin rapide de l'hôpital - qui se retrouve inondé, fétide et complètement dysfonctionnel - la série capture la spirale infernale qui montre que même les meilleures intentions amènent à des jugements malheureux.
Le Figaro
Cette minisérie glaçante n’a pas volé les comparaisons élogieuses avec Chernobyl de HBO.
Le Journal du Dimanche
Un équilibre atteint à la perfection grâce notamment à une distribution exemplaire, à commencer par Vera Farmiga, que Carlton Cuse avait choisie pour incarner la mère de Norman Bates dans la série Bates Motel, et Cherry Jones, précédemment embauchée par John Ridley sur American Crime.
Entertainment weekly
Alors que les eaux et la tension montent, Ridley et Cuse fomentent une atmosphère d'oppression de plus en plus claustrophobique. La caméra filme de près - capturant la misère - avec des plans de coupes intentionnellement saccadées donnent à certaines scènes la sensation de tituber à travers l'action. Une manière de refléter l'épuisement et la désorientation des personnages.
Libération
Dès ses premières images, Five Days at Memorial organise la spectaculaire collision entre le récit de faits récents et une imagerie venue du cinéma de genre. Prisonnière de ses personnages et de leurs états d’âme, la série s’embourbe dans le pathos au moment d’aborder la procédure judiciaire lancée contre une médecin et deux infirmières, inculpées pour meurtres, quand il aurait fallu au contraire gagner en hauteur.
Télérama
Ce qui aurait pu être une œuvre racoleuse et voyeuriste se révèle une hybridation intéressante, dépassant le simple déroulement des faits et sa fonction dramaturgique. L’efficacité se met tout entière au service de la dimension politique de la série.
Variety
Peut-être que Five Days at Memorial" aurait été plus forte s'il elle avait fait plus court et plus moderne - une série centrée sur les événements qui se sont produits à Memorial et non sur les conséquences juridiques. Son impact aurait été considérablement plus forte.