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    The Essex Serpent
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    3,3
    10 titres de presse
    • Collider
    • Le Figaro
    • Le Monde
    • The Hollywood Reporter
    • Ecran Large
    • New York Post
    • The Guardian
    • Variety
    • Première
    • Télérama

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    10 critiques presse

    Collider

    par Carly Lane

    Le résultat est une romance gothique atmosphérique qui ne recule pas devant l'idée de se laisser aller à un pressentiment général tout en envisageant la possibilité d'une fin optimiste.

    La critique complète est disponible sur le site Collider

    Le Figaro

    par Julia Baudin

    Le récit est fluide et dense. La mise en scène est magistrale. Cadrages, lumières, costumes, décors extérieurs et intérieurs… pas une image qui n’évoque un tableau de Constable ou le chapitre d’un roman des sœurs Brontë. Une nouvelle preuve que les Anglais, passés maîtres dès les années 1970 dans l’art de la reconstitution, n’ont rien perdu de leur art.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Monde

    par T.S.

    Plutôt que de jouer avec les codes de la fiction postromantique, la créatrice Anna Symon et la réalisatrice Clio Barnard les mettent en scène avec une élégance qui s’épanouit dans la lumière marine, avant de laisser la logique contemporaine du récit faire son œuvre. Un étonnant moment d’intelligence poétique et historique.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    The Hollywood Reporter

    par Angie Han

    Il est possible, en effet, que l'un des défauts de The Essex Serpent soit une surabondance de richesses. La série a beaucoup de choses en tête (...). Mais elle fonctionne magnifiquement comme un drame sur des personnages compliqués empêtrés dans des relations qui ne peuvent être contenues par les frontières conventionnelles de la romance ou de l'amitié, et sur la façon dont les humains tentent d'imposer l'ordre ou le sens là où il n'y en a pas.

    La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter

    Ecran Large

    par Axelle Vacher

    Portée par une esthétique indéniable et une atmosphère oppressante brillamment rendue, The Essex Serpent peine toutefois à réellement faire décoller son intrigue, laquelle s'efface regrettablement au profit des considérations romantiques incertaines de son duo de tête.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    New York Post

    par Lauren Sarner

    Pour ceux qui recherchent un drame historique qui semble concentré et bien ficelé, cette série risque de les décevoir. Mais pour les téléspectateurs qui n'ont rien contre une série tentaculaire, étrange et unique, avec une forte dose de science et d'intelligence de l'ère victorienne, The Essex Serpent est à la hauteur.

    La critique complète est disponible sur le site New York Post

    The Guardian

    par Lucy Mangan

    L'attirance entre Will et Cora se développe de manière moins convaincante à l'écran que dans le livre. C'est peut-être dû à un manque d'alchimie entre les deux acteurs ou à un mauvais casting de Hiddleston, qui ne parvient jamais à se défaire de son air inné de confiance suave. (...) Danes, par contre, est magnifique dans le rôle de Cora.

    La critique complète est disponible sur le site The Guardian

    Variety

    par Caroline Framke

    Dans ses moments les plus marquants, The Essex Serpent est bien plus riche que ne le laisserait supposer l'effleurement de sa surface saumâtre. Dans ses moments plus faibles, [la série] se laisse aller à une veine mélodramatique qui ne lui convient pas tout à fait.

    La critique complète est disponible sur le site Variety

    Première

    par Charles Martin

    Une romance pompeuse et pompante, pas aidée par une narration à la lenteur épuisante. Sans rythme, sans entrain, ce très beau serpent finit par nous étouffer.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Télérama

    par Marion Michel

    Mâtinée de fantastique, l’atmosphère gothique s’étiole dès le troisième épisode de la minisérie adaptée du best-seller de Sarah Perry, perdant de vue l’intrigue et son serpent chimérique. Comme écumées, les quelque quatre cents pages du roman ont l’air d’avoir été simplifiées à l’extrême et les intrigues exploitées pêle-mêle. Quant aux personnages, magnifiés par une image très stylisée, façon Terrence Malick, ils manquent de profondeur.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama
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