Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Collider
par Carly Lane
Le résultat est une romance gothique atmosphérique qui ne recule pas devant l'idée de se laisser aller à un pressentiment général tout en envisageant la possibilité d'une fin optimiste.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Le Figaro
par Julia Baudin
Le récit est fluide et dense. La mise en scène est magistrale. Cadrages, lumières, costumes, décors extérieurs et intérieurs… pas une image qui n’évoque un tableau de Constable ou le chapitre d’un roman des sœurs Brontë. Une nouvelle preuve que les Anglais, passés maîtres dès les années 1970 dans l’art de la reconstitution, n’ont rien perdu de leur art.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par T.S.
Plutôt que de jouer avec les codes de la fiction postromantique, la créatrice Anna Symon et la réalisatrice Clio Barnard les mettent en scène avec une élégance qui s’épanouit dans la lumière marine, avant de laisser la logique contemporaine du récit faire son œuvre. Un étonnant moment d’intelligence poétique et historique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
The Hollywood Reporter
par Angie Han
Il est possible, en effet, que l'un des défauts de The Essex Serpent soit une surabondance de richesses. La série a beaucoup de choses en tête (...). Mais elle fonctionne magnifiquement comme un drame sur des personnages compliqués empêtrés dans des relations qui ne peuvent être contenues par les frontières conventionnelles de la romance ou de l'amitié, et sur la façon dont les humains tentent d'imposer l'ordre ou le sens là où il n'y en a pas.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Ecran Large
par Axelle Vacher
Portée par une esthétique indéniable et une atmosphère oppressante brillamment rendue, The Essex Serpent peine toutefois à réellement faire décoller son intrigue, laquelle s'efface regrettablement au profit des considérations romantiques incertaines de son duo de tête.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
New York Post
par Lauren Sarner
Pour ceux qui recherchent un drame historique qui semble concentré et bien ficelé, cette série risque de les décevoir. Mais pour les téléspectateurs qui n'ont rien contre une série tentaculaire, étrange et unique, avec une forte dose de science et d'intelligence de l'ère victorienne, The Essex Serpent est à la hauteur.
La critique complète est disponible sur le site New York Post
The Guardian
par Lucy Mangan
L'attirance entre Will et Cora se développe de manière moins convaincante à l'écran que dans le livre. C'est peut-être dû à un manque d'alchimie entre les deux acteurs ou à un mauvais casting de Hiddleston, qui ne parvient jamais à se défaire de son air inné de confiance suave. (...) Danes, par contre, est magnifique dans le rôle de Cora.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
Variety
par Caroline Framke
Dans ses moments les plus marquants, The Essex Serpent est bien plus riche que ne le laisserait supposer l'effleurement de sa surface saumâtre. Dans ses moments plus faibles, [la série] se laisse aller à une veine mélodramatique qui ne lui convient pas tout à fait.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Première
par Charles Martin
Une romance pompeuse et pompante, pas aidée par une narration à la lenteur épuisante. Sans rythme, sans entrain, ce très beau serpent finit par nous étouffer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marion Michel
Mâtinée de fantastique, l’atmosphère gothique s’étiole dès le troisième épisode de la minisérie adaptée du best-seller de Sarah Perry, perdant de vue l’intrigue et son serpent chimérique. Comme écumées, les quelque quatre cents pages du roman ont l’air d’avoir été simplifiées à l’extrême et les intrigues exploitées pêle-mêle. Quant aux personnages, magnifiés par une image très stylisée, façon Terrence Malick, ils manquent de profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Collider
Le résultat est une romance gothique atmosphérique qui ne recule pas devant l'idée de se laisser aller à un pressentiment général tout en envisageant la possibilité d'une fin optimiste.
Le Figaro
Le récit est fluide et dense. La mise en scène est magistrale. Cadrages, lumières, costumes, décors extérieurs et intérieurs… pas une image qui n’évoque un tableau de Constable ou le chapitre d’un roman des sœurs Brontë. Une nouvelle preuve que les Anglais, passés maîtres dès les années 1970 dans l’art de la reconstitution, n’ont rien perdu de leur art.
Le Monde
Plutôt que de jouer avec les codes de la fiction postromantique, la créatrice Anna Symon et la réalisatrice Clio Barnard les mettent en scène avec une élégance qui s’épanouit dans la lumière marine, avant de laisser la logique contemporaine du récit faire son œuvre. Un étonnant moment d’intelligence poétique et historique.
The Hollywood Reporter
Il est possible, en effet, que l'un des défauts de The Essex Serpent soit une surabondance de richesses. La série a beaucoup de choses en tête (...). Mais elle fonctionne magnifiquement comme un drame sur des personnages compliqués empêtrés dans des relations qui ne peuvent être contenues par les frontières conventionnelles de la romance ou de l'amitié, et sur la façon dont les humains tentent d'imposer l'ordre ou le sens là où il n'y en a pas.
Ecran Large
Portée par une esthétique indéniable et une atmosphère oppressante brillamment rendue, The Essex Serpent peine toutefois à réellement faire décoller son intrigue, laquelle s'efface regrettablement au profit des considérations romantiques incertaines de son duo de tête.
New York Post
Pour ceux qui recherchent un drame historique qui semble concentré et bien ficelé, cette série risque de les décevoir. Mais pour les téléspectateurs qui n'ont rien contre une série tentaculaire, étrange et unique, avec une forte dose de science et d'intelligence de l'ère victorienne, The Essex Serpent est à la hauteur.
The Guardian
L'attirance entre Will et Cora se développe de manière moins convaincante à l'écran que dans le livre. C'est peut-être dû à un manque d'alchimie entre les deux acteurs ou à un mauvais casting de Hiddleston, qui ne parvient jamais à se défaire de son air inné de confiance suave. (...) Danes, par contre, est magnifique dans le rôle de Cora.
Variety
Dans ses moments les plus marquants, The Essex Serpent est bien plus riche que ne le laisserait supposer l'effleurement de sa surface saumâtre. Dans ses moments plus faibles, [la série] se laisse aller à une veine mélodramatique qui ne lui convient pas tout à fait.
Première
Une romance pompeuse et pompante, pas aidée par une narration à la lenteur épuisante. Sans rythme, sans entrain, ce très beau serpent finit par nous étouffer.
Télérama
Mâtinée de fantastique, l’atmosphère gothique s’étiole dès le troisième épisode de la minisérie adaptée du best-seller de Sarah Perry, perdant de vue l’intrigue et son serpent chimérique. Comme écumées, les quelque quatre cents pages du roman ont l’air d’avoir été simplifiées à l’extrême et les intrigues exploitées pêle-mêle. Quant aux personnages, magnifiés par une image très stylisée, façon Terrence Malick, ils manquent de profondeur.