Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
3 critiques presse
Le Monde
par Audrey Fournier
Il fallait des acteurs d’une certaine trempe pour faire palpiter ces liens fragiles, ces vies suspendues à un SMS. Et Colton Ryan ne démérite pas face à Elle Fanning, éblouissante de fausseté, génialement détestable dans le rôle de Michelle. Mais on sera peut-être encore plus touché par le couple meurtri formé par Chloë Sevigny et Norbert Leo Butz, impuissants à désamorcer un mal-être qui leur échappe.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
The Guardian
par Lucy Mangan
Même si ce drame est réel, cela ne veut pas dire qu'il y a suffisamment de profondeur, de perspicacité ou de valeur ajoutée pour justifier tous les efforts réalisés autour de la série.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
Télérama
par Pierre Langlais
Il y avait donc dans cette « romance » torturée un beau sujet, mais le traitement true crime le noie dans un mélange de faits implacables et de romanesque inquiétant. (...) L’étirement du récit sur huit épisodes n’arrange rien. Un film aurait sans doute suffi pour interroger les enjeux légaux et l’ambiguïté de ce fait divers.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
Il fallait des acteurs d’une certaine trempe pour faire palpiter ces liens fragiles, ces vies suspendues à un SMS. Et Colton Ryan ne démérite pas face à Elle Fanning, éblouissante de fausseté, génialement détestable dans le rôle de Michelle. Mais on sera peut-être encore plus touché par le couple meurtri formé par Chloë Sevigny et Norbert Leo Butz, impuissants à désamorcer un mal-être qui leur échappe.
The Guardian
Même si ce drame est réel, cela ne veut pas dire qu'il y a suffisamment de profondeur, de perspicacité ou de valeur ajoutée pour justifier tous les efforts réalisés autour de la série.
Télérama
Il y avait donc dans cette « romance » torturée un beau sujet, mais le traitement true crime le noie dans un mélange de faits implacables et de romanesque inquiétant. (...) L’étirement du récit sur huit épisodes n’arrange rien. Un film aurait sans doute suffi pour interroger les enjeux légaux et l’ambiguïté de ce fait divers.