Comme dans la première saison, on retrouve le même archétype de narration : peu importe le lieu, mais une personne lambda raconte des déboires lui étant propres où ayant été vécus par un proche. Certes, les petits délits, la boisson et la fumette sont souvent des dénominateurs communs, mais c’est toujours aussi frais et bien joué. On a même l’impression que Matthieu Longatte, le réalisateur/scénariste de la série, a voulu ...
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