Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Entre tragédie shakespearienne et comédie burlesque, cette série raconte de manière passionnante la privatisation du secteur de la pêche en Islande.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Libération
par Marius Chapuis
Tout le délice de la série tient à sa façon de donner chair à ce nouveau désordre mondial, à y insuffler du romanesque. On se marre beaucoup devant "Blackport".
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Anissa Arfaoui
On accroche immédiatement à ce parfait dosage entre humour acerbe et tragédie rondement menée, porté par la justesse du jeu des acteurs. Bref une véritable réussite…
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
20 Minutes
par Anne Demoulin
Un Ovni télévisuel, qui fait tout à la fois sur la gestion des ressources naturelles et fait beaucoup rire !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Franceinfo Culture
par Laurent Valière
Une série sociale caustique et satirique qui mélange comédie et drame.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Benjamin Dubrulle
Le pitch ne fait pas rêver. Pourtant "Blackport" réussit le tour de force de nous scotcher dès les premières minutes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Télé 7 Jours
par Frédérick Rapilly
En partant d’un pitch plutôt austère et pas forcément très engageant, "Blackport" se révèle être une ode à la solidarité et au courage des petites gens, bourrée (dans les deux sens du terme : on y boit beaucoup !) d’humour et qui surprend sans cesse. À la fois foutraque, émouvante et inattendue.
Télérama
par Émilie Gavoille
Assurément, il y a du Ken Loach dans cette iconoclaste fiction venue de l’Atlantique Nord, fruit d’une coproduction d’Arte avec le service public islandais. Et une bonne dose d’humour noir, à la fois vache et tendre, qui rappelle un peu "Billy Elliot" mais s’aventure vers des extrémités plus trash.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Audrey Fournier
La série développe des péripéties d’ampleur inégale (jeux politiques, problèmes de couple, accidents du travail…) et filme son sujet à hauteur d’êtres humains, jusqu’à la trivialité. Cela réussit énormément aux premiers épisodes, qui donnent à voir une classe ouvrière courageuse et bouillonnante de vitalité malgré les menaces qui pèsent sur son activité. Victime de cette exposition musclée, la suite de la saison s’avère beaucoup plus faible, et "Blackport" échoue d’un cheveu à nous emporter.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaro Magazine
Entre tragédie shakespearienne et comédie burlesque, cette série raconte de manière passionnante la privatisation du secteur de la pêche en Islande.
Libération
Tout le délice de la série tient à sa façon de donner chair à ce nouveau désordre mondial, à y insuffler du romanesque. On se marre beaucoup devant "Blackport".
Télé Loisirs
On accroche immédiatement à ce parfait dosage entre humour acerbe et tragédie rondement menée, porté par la justesse du jeu des acteurs. Bref une véritable réussite…
20 Minutes
Un Ovni télévisuel, qui fait tout à la fois sur la gestion des ressources naturelles et fait beaucoup rire !
Franceinfo Culture
Une série sociale caustique et satirique qui mélange comédie et drame.
La Voix du Nord
Le pitch ne fait pas rêver. Pourtant "Blackport" réussit le tour de force de nous scotcher dès les premières minutes.
Télé 7 Jours
En partant d’un pitch plutôt austère et pas forcément très engageant, "Blackport" se révèle être une ode à la solidarité et au courage des petites gens, bourrée (dans les deux sens du terme : on y boit beaucoup !) d’humour et qui surprend sans cesse. À la fois foutraque, émouvante et inattendue.
Télérama
Assurément, il y a du Ken Loach dans cette iconoclaste fiction venue de l’Atlantique Nord, fruit d’une coproduction d’Arte avec le service public islandais. Et une bonne dose d’humour noir, à la fois vache et tendre, qui rappelle un peu "Billy Elliot" mais s’aventure vers des extrémités plus trash.
Le Monde
La série développe des péripéties d’ampleur inégale (jeux politiques, problèmes de couple, accidents du travail…) et filme son sujet à hauteur d’êtres humains, jusqu’à la trivialité. Cela réussit énormément aux premiers épisodes, qui donnent à voir une classe ouvrière courageuse et bouillonnante de vitalité malgré les menaces qui pèsent sur son activité. Victime de cette exposition musclée, la suite de la saison s’avère beaucoup plus faible, et "Blackport" échoue d’un cheveu à nous emporter.