Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
On se laisse très facilement prendre par l’intrigue et on sursaute régulièrement devant l’écran. Tout en s’attachant inexorablement à ces garçons et jeunes femmes autour desquels la mort rôde mais pour qui l’espoir reste une puissante lumière.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
L’une des forces de The Midnight Club est de désamorcer une à une ces pistes paranormales pour en faire, comme celles que se racontent huit ados aux douze coups de minuit, des histoires qu’on fabrique pour différer l’angoisse de la mort, la canaliser ou la détourner.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Langlais
L’idée, émouvante, aurait pu être sublimée dans un récit moins convenu, résultat sans doute d’une volonté de rendre accessible au plus jeune public son horreur chargée en émotions.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Mathieu Victor-Pujebet
Toujours aussi riche, touchant, inquiet et inquiétant, le cinéma de Mike Flanagan n'a pas perdu de sa générosité et de sa sensibilité. Dommage que la structure semi-anthologique de The Midnight Club l'empêche de complètement trouver son ton entre plaisir éphémère et symphonie déchirante.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Première
par Charles Martin
Mike Flanagan montre ainsi une autre facette de son talent, plus émotionnelle et moins spectaculaire. Ce n'est clairement là où il s'exprime le mieux, mais son Midnight Club n'en demeure pas moins une belle histoire de fantômes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Audrey Fournier
The Midnight Club aurait parfaitement pu s’en tenir au récit de gamins faisant face à la mort avec leurs mots, leur imagination et les sentiments qu’ils nourrissent les uns pour les autres. La série croule au contraire sous les intentions et, pour tout faire tenir en dix épisodes, elle recourt souvent à des procédés simplistes et fastidieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Numerama
par Salammbô Marie
The Midnight Club s’annonçait comme l’un des événements de cette fin d’année. Mais, cette première saison de 10 épisodes tient finalement davantage de la déception que de la révélation. Avec cette histoire d’ados et de récits sordides, la nouvelle série de Mike Flanagan (The Haunting) ne parvient pas à convaincre. Pourtant dotée d’un solide casting et de personnages attachants, The Midnight Club ne va jamais au bout de ses idées et reste malheureusement trop en surface. Si vous avez aimé des séries comme Locke & Key malgré leurs incohérences, vous devriez accrocher.
La critique complète est disponible sur le site Numerama
Libération
par Marius Chapuis
Plus qu’à la Quatrième Dimension, on pense à Chair de poule, anthologie d’horreur pour tout-petits, tant tout ça est flemmard, éculé et en plus moche. C’est l’horreur façon Riverdale, à destination des 15 ans et plus. Pire, c’est de l’épouvante pour des adultes qui ne veulent pas être trop épouvantés. Le triomphe du mou, du tiède, du confortable. La très grande médiocrité de l’ensemble est d’autant plus regrettable qu’il y a quelques belles choses noyées dans cet océan de banalités.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
On se laisse très facilement prendre par l’intrigue et on sursaute régulièrement devant l’écran. Tout en s’attachant inexorablement à ces garçons et jeunes femmes autour desquels la mort rôde mais pour qui l’espoir reste une puissante lumière.
Les Inrockuptibles
L’une des forces de The Midnight Club est de désamorcer une à une ces pistes paranormales pour en faire, comme celles que se racontent huit ados aux douze coups de minuit, des histoires qu’on fabrique pour différer l’angoisse de la mort, la canaliser ou la détourner.
Télérama
L’idée, émouvante, aurait pu être sublimée dans un récit moins convenu, résultat sans doute d’une volonté de rendre accessible au plus jeune public son horreur chargée en émotions.
Ecran Large
Toujours aussi riche, touchant, inquiet et inquiétant, le cinéma de Mike Flanagan n'a pas perdu de sa générosité et de sa sensibilité. Dommage que la structure semi-anthologique de The Midnight Club l'empêche de complètement trouver son ton entre plaisir éphémère et symphonie déchirante.
Première
Mike Flanagan montre ainsi une autre facette de son talent, plus émotionnelle et moins spectaculaire. Ce n'est clairement là où il s'exprime le mieux, mais son Midnight Club n'en demeure pas moins une belle histoire de fantômes.
Le Monde
The Midnight Club aurait parfaitement pu s’en tenir au récit de gamins faisant face à la mort avec leurs mots, leur imagination et les sentiments qu’ils nourrissent les uns pour les autres. La série croule au contraire sous les intentions et, pour tout faire tenir en dix épisodes, elle recourt souvent à des procédés simplistes et fastidieux.
Numerama
The Midnight Club s’annonçait comme l’un des événements de cette fin d’année. Mais, cette première saison de 10 épisodes tient finalement davantage de la déception que de la révélation. Avec cette histoire d’ados et de récits sordides, la nouvelle série de Mike Flanagan (The Haunting) ne parvient pas à convaincre. Pourtant dotée d’un solide casting et de personnages attachants, The Midnight Club ne va jamais au bout de ses idées et reste malheureusement trop en surface. Si vous avez aimé des séries comme Locke & Key malgré leurs incohérences, vous devriez accrocher.
Libération
Plus qu’à la Quatrième Dimension, on pense à Chair de poule, anthologie d’horreur pour tout-petits, tant tout ça est flemmard, éculé et en plus moche. C’est l’horreur façon Riverdale, à destination des 15 ans et plus. Pire, c’est de l’épouvante pour des adultes qui ne veulent pas être trop épouvantés. Le triomphe du mou, du tiède, du confortable. La très grande médiocrité de l’ensemble est d’autant plus regrettable qu’il y a quelques belles choses noyées dans cet océan de banalités.