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Note moyenne
2,9
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Hill House était vraiment sa série la plus réussie je trouve. Ici, c'est gentillet. On s'attend aux screamer, personnellement je savais directement ce qui allait arrivé. C'était assez fade je dois dire.
Les points positifs : la narration des histoires était bien on se laisse prendre pour certains histoires.
spoiler: assez triste et décevante la mort d'Anya, je m'attendais à une mort plus théâtrale pour un personnage aussi charismatique.
Les points positifs : la narration des histoires était bien on se laisse prendre pour certains histoires.
spoiler: assez triste et décevante la mort d'Anya, je m'attendais à une mort plus théâtrale pour un personnage aussi charismatique.
Beaucoup moins bien que The Haunting of the Hill House et un peu mieux que Les sermons de minuit je trouve... La série est sympa à regarder et aborde de manière intelligente des thématiques assez sombres comme la mort, la maladie, le cancer etc... Le mystère qui entoure ce pensionnat m a tenu en haleine jusqu'à la fin... Les premiers épisodes sont assez prenants mais vers la fin on sent une certaine lourdeur qui s'installe... J'ai vraiment adoré le personnage d Anya et notamment l actrice qui l interprète... Une véritable révélation... D'ailleurs elle est amputée d'une jambe dans la vraie vie... J espère la revoir dans d autres films de Flanagan... Cependant certains personnages sont moins intéressants que d autres et il faut se farcir leur histoire et leur turpitudes... Aussi j'ai trouvé beaucoup de pathos sentimentalisme dans certains épisodes notamment vers la fin... La fin qui suggère une suite... Why not ?
On a tous étaient incroyablement surpris de Hill House qui est pour moi le meilleur série d’horreur du 21e siècle. Depuis, le réalisateur nous sors daube sur daube… acteur mauvais, jumpscare sans intérêt. .. faut stopper mike un moment !
Nicothrash
La lecture du synopsis m'a immédiatement ramené en enfance avec notamment le souvenir de la série tv "Fais moi Peur" que j'adorais. Mais rapidement, malgré une réalisation très propre, on tourne en rond et on se retrouve face à des personnages peu attachants, campés par de jeunes comédiens pas vraiment au niveau. Si j'ai un peu accroché sur les tout premiers épisodes, je me suis vite ennuyé, les histoires étant peu originales pour la plupart et l'intrigue principale n'avançant guère. Le thème principal n'est finalement que prétexte à un peu de "frayeurs" et je dois bien avouer que j'avais hâte d'arriver au bout.
AlexLaloix
Après "The Haunting of Hill House", "The Haunting of Bly Manor" et "Sermons de Minuit", Mike Flanagan nous propose cette année "The Midnight Club", sa nouvelle série d’horreur sur Netflix. Plus tourné vers un publique « teen », c’est un ton plutôt différent qu’adopte le réalisateur dans cette production en misant davantage sur la sensibilité. Riche en frayeurs, mystères et rebondissements, cette première saison qui compte dix épisodes d’une heure nous plonge complétement dans son intrigue à suspense. Les histoires d’horreur racontées par les différents personnages dans chacun des épisodes, se révèlent particulièrement prenantes, puisqu’on se laisse parfaitement embarquer par l’ambiance et la plaisante narration. En définitive, c’est une série réussie pour Mike Flanagan, qui a su nous proposer une fois de plus une belle histoire de fantômes.
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15/20
Critique sur The Midnight Club (saison 1)
Vue du 08 au 10.10.2022 sur Netflix
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15/20
Critique sur The Midnight Club (saison 1)
Vue du 08 au 10.10.2022 sur Netflix
J'ai beaucoup aimé la série et suis assez étonné du nombre de retours négatifs!
Cette série est originale : elle nous plonge dans le quotidien d'adolescents en phase terminale de cancers. On n'a pas vu ça souvent!
Ensuite j'ai beaucoup aimé la gestion du fantastique, qui dans la série n'est pas réel : ce sont simplement les histoires que se racontent les ados entre eux pour donner sens à leur maladie, et pour passer des moments agréables ; ce sont aussi des hallucinations et espoirs déçus : le réel est lui terrible, la mort certaine, et le fantastique est ici le fruit de notre imagination pour faire face au désespoir et vivre élégamment malgré tout.
Cette série est originale : elle nous plonge dans le quotidien d'adolescents en phase terminale de cancers. On n'a pas vu ça souvent!
Ensuite j'ai beaucoup aimé la gestion du fantastique, qui dans la série n'est pas réel : ce sont simplement les histoires que se racontent les ados entre eux pour donner sens à leur maladie, et pour passer des moments agréables ; ce sont aussi des hallucinations et espoirs déçus : le réel est lui terrible, la mort certaine, et le fantastique est ici le fruit de notre imagination pour faire face au désespoir et vivre élégamment malgré tout.
Franchement. Je suis assez déçu par cette série mélodramatique. Je pensais découvrir une vraie série d horreur. Mais, on se retrouve plus dans une histoire d enfants sois disant en fin de vie mais aui ont l air en bien meilleure santé que la grand-mère. Au final, des mini histoires sois disant effrayantes mais qui ne font peur à personne. Et je me suis réjouis d arriver au dernier épisode. C est pour dire du niveau assez faiblard.
Incompréhensible, la série n'a pas de sens.. si vous voulez déprimer foncez!! Aucun suspense, trop prévisible. Je suis pas du genre difficile mais là.
Pas si mal pour passer le temps. L'histoire est lugubre le décor assez glauque y'a une ambiance assez flippante mais y'a des "screamers" assez gênant limite drôle enfin bref si les scènes de "peur" étaient prises au sérieux j'aurais mis une meilleure note.
Puis les amourettes ... bon c'est pas une catastrophe mais je la conseille à qui ?
Aux ados qui aiment avoir des frissons
Puis les amourettes ... bon c'est pas une catastrophe mais je la conseille à qui ?
Aux ados qui aiment avoir des frissons
Entre drame, fantastique, horreur et bluette adolescente, cette série parvient à trouver son équilibre. L'histoire de ces ados est touchante, les histoires qu'ils s'inventent pour oublier leur condition et la dure réalité sont effrayantes et contiennent toujours un message qui renvoie à leur propre situation. La série aurait pu être un peu plus ambitieuse mais elle est addictive. Dommage qu'elle ait été annulée...
Ti Nou
Si Mike Flanagan fait montre à nouveau de sa capacité à construire des personnages complexes et à écrire des dialogues percutants, l’efficacité horrifique est ici moindre que dans ses séries précédentes.
Mike Flanagan nous avait habitué á mieux que cette série bavarde ponctués de pas mal de poncifs á commencer une trame principale déjà vue et des histoires secondaires mal conçues et peu intéressantes.
Dès le premier épisode on se dit, tient cela va envoyer du lourd, même si les ficelles sont grosses, pourquoi pas se retrouver devant une série qui use et abuse des jump scream. On se retrouve dans cette maison, où de sombres secrets se tapissent dans la pénombre, où les apparitions ne font que renforcer notre sentiment de peur, et où, tout à l'air d'être mis en place pour créer une atmosphère angoissante.
Oui, mais là, il faut étirer ce sentiment sur 10 épisodes, et on part vers autre chose, quelques minutes consacrées à la maison et à l'intrigue, et le reste est comblé par des petites histoires d'ados, qui se veulent moralistes, où il ne faut surtout pas oublier toutes les communautés, cela devient lisse, et larmoyant à souhait à la fin. Qu'est-ce qui pousse à poursuivre jusqu'à la fin, peut-être un espoir, peut-être la touche avance rapide, qui permets de se focaliser uniquement sur l'intrigue principale. Mais là encore, au terme d'une ambition d'un dénouement malin, on nous sert, car on sait jamais si on devait remettre le couvert pour une deuxième saison, un livre ouvert sur une fin sans fin. Que de gâchis artistique sur l'autel l'industrie Netflix.
Oui, mais là, il faut étirer ce sentiment sur 10 épisodes, et on part vers autre chose, quelques minutes consacrées à la maison et à l'intrigue, et le reste est comblé par des petites histoires d'ados, qui se veulent moralistes, où il ne faut surtout pas oublier toutes les communautés, cela devient lisse, et larmoyant à souhait à la fin. Qu'est-ce qui pousse à poursuivre jusqu'à la fin, peut-être un espoir, peut-être la touche avance rapide, qui permets de se focaliser uniquement sur l'intrigue principale. Mais là encore, au terme d'une ambition d'un dénouement malin, on nous sert, car on sait jamais si on devait remettre le couvert pour une deuxième saison, un livre ouvert sur une fin sans fin. Que de gâchis artistique sur l'autel l'industrie Netflix.
J'aime beaucoup l'univers de Mike Flanagan, notamment pour les Hauting, ayant beaucoup moins accroché avec sermonts de minuit.
J'ai été surprise par le cadre que j'imaginais différent: arrivée de l'automne, Halloween en approche et des ados en quête de frissons se partagent des histoires.
spoiler: J'ai tout de même beaucoup accroché même si il manquait du monde au casting. Je penses notamment à Carla Gugino, Kate Siegel et Victoria Peddreti. J'ai été très surprise par la fin et je reste très dubitative pour la suite. Je pensais effectivement au début que Samantha Sloyan était Athéna. Et même après la scène finale de cette première saison, je penses qu'elle est réellement cette jeune femme, elle et la directrice de l'hospice (Heather Langenkemp) se confrontent pour leurs points de vues divergents, car Georgina Stanton est en réalité Julia Jayne. Également le rôle du fantôme de la femme que je n'ai pas compris et les flash-backs dans les années 80
.
Une affaire à suivre qui promet de nombreux rebondissements.
J'ai été surprise par le cadre que j'imaginais différent: arrivée de l'automne, Halloween en approche et des ados en quête de frissons se partagent des histoires.
spoiler: J'ai tout de même beaucoup accroché même si il manquait du monde au casting. Je penses notamment à Carla Gugino, Kate Siegel et Victoria Peddreti. J'ai été très surprise par la fin et je reste très dubitative pour la suite. Je pensais effectivement au début que Samantha Sloyan était Athéna. Et même après la scène finale de cette première saison, je penses qu'elle est réellement cette jeune femme, elle et la directrice de l'hospice (Heather Langenkemp) se confrontent pour leurs points de vues divergents, car Georgina Stanton est en réalité Julia Jayne. Également le rôle du fantôme de la femme que je n'ai pas compris et les flash-backs dans les années 80
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Une affaire à suivre qui promet de nombreux rebondissements.
Jusqu'à l'épisode 8 c'est plutôt sympa.
Mais si chaque épisode fait monter la sauce sur les dernières minutes... Les 2 derniers se révèlent extrêmement pénibles.
Les histoires perdent leurs intérêts, deviennent cuculs, assez pathétiques... Très teens-like.
Quelle déception.
"Tout ça pour ça"
Un flot de wokisme parfois indigeste..
Loin des 2 autres séries précédentes menées d'une main de maître du début à la fin, mêlant émotions et surnaturel avec un final qui ne s'oublie pas.
J'ai plutôt l'impression d'avoir perdu 2h pour finir cette série... Ça papote et ça dégouline de bons sentiments, étalés par grosses couches bien épaisses.
Très grosse déception.
(et à titre personnel, Ilonka est imbuvable. L'actrice est très fade, le personnage trop lissé et parfait..)
Déception.
Mais si chaque épisode fait monter la sauce sur les dernières minutes... Les 2 derniers se révèlent extrêmement pénibles.
Les histoires perdent leurs intérêts, deviennent cuculs, assez pathétiques... Très teens-like.
Quelle déception.
"Tout ça pour ça"
Un flot de wokisme parfois indigeste..
Loin des 2 autres séries précédentes menées d'une main de maître du début à la fin, mêlant émotions et surnaturel avec un final qui ne s'oublie pas.
J'ai plutôt l'impression d'avoir perdu 2h pour finir cette série... Ça papote et ça dégouline de bons sentiments, étalés par grosses couches bien épaisses.
Très grosse déception.
(et à titre personnel, Ilonka est imbuvable. L'actrice est très fade, le personnage trop lissé et parfait..)
Déception.