Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Le Figaro
par Julia Baudin
Braqueurs, la série, comme le film dont elle s’inspire ou le précédent Assaut, confirme aussi le talent de Julien Leclercq à fabriquer des œuvres nerveuses, tendues, haletantes, et à produire de la très belle image.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Michel Valentin
Au programme : quelques fusillades bien menées, un sens certain du suspense et des portraits de familles qui, bien que composées de criminels endurcis, n’en restent pas moins soumises aux lois de l’amour et de la haine.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Charles Martin
Les balles sifflent à tous les coins de rue. Et avec sa mise en scène à la John Wick, Julien Leclercq nous plonge au coeur de l'action. Une réalisation qui privilégie l’ultraréalisme et suit pas à pas son héros avec une fébrilité frémissante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Télé Revue
par L.V., X.V.
Action, rebondissements, suspense, la série promet, autant que le film ! Certains reprocheront à cette création de copier « La Casa de papel » ou « 60 secondes chrono », on vous laisse en juger.
La critique complète est disponible sur le site Ciné Télé Revue
Ecran Large
par Simon Riaux
Pour autant, Braqueurs, la série demeure un récit plaisant à suivre et parfois diaboliquement immersif. Le premier mérite en revient au casting, qui accueille non seulement des trognes qui impressionnent instantanément l'image, mais aussi quelques très belles performances.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Jérémy Patrelle
Le scénario n'est pas le plus original qui soit mais l'équipe de la série Netflix a réussi à nous captiver durant les derniers épisodes avec des rebondissements, des scènes d'action majoritairement réussies, un univers sombre bien assumé et des relations sentimentales savamment orchestrées entre les différents personnages.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Télérama
par Yohav Oremiatzki
En revanche, l’approche déterministe faisant passer les ados du vol au crime organisé est d’autant plus discutable qu’il se dégage du passage à l’acte une forme d’héroïsme dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
Braqueurs, la série, comme le film dont elle s’inspire ou le précédent Assaut, confirme aussi le talent de Julien Leclercq à fabriquer des œuvres nerveuses, tendues, haletantes, et à produire de la très belle image.
Le Parisien
Au programme : quelques fusillades bien menées, un sens certain du suspense et des portraits de familles qui, bien que composées de criminels endurcis, n’en restent pas moins soumises aux lois de l’amour et de la haine.
Première
Les balles sifflent à tous les coins de rue. Et avec sa mise en scène à la John Wick, Julien Leclercq nous plonge au coeur de l'action. Une réalisation qui privilégie l’ultraréalisme et suit pas à pas son héros avec une fébrilité frémissante.
Ciné Télé Revue
Action, rebondissements, suspense, la série promet, autant que le film ! Certains reprocheront à cette création de copier « La Casa de papel » ou « 60 secondes chrono », on vous laisse en juger.
Ecran Large
Pour autant, Braqueurs, la série demeure un récit plaisant à suivre et parfois diaboliquement immersif. Le premier mérite en revient au casting, qui accueille non seulement des trognes qui impressionnent instantanément l'image, mais aussi quelques très belles performances.
GQ
Le scénario n'est pas le plus original qui soit mais l'équipe de la série Netflix a réussi à nous captiver durant les derniers épisodes avec des rebondissements, des scènes d'action majoritairement réussies, un univers sombre bien assumé et des relations sentimentales savamment orchestrées entre les différents personnages.
Télérama
En revanche, l’approche déterministe faisant passer les ados du vol au crime organisé est d’autant plus discutable qu’il se dégage du passage à l’acte une forme d’héroïsme dérangeant.