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Cette petite série humoristique donnait un minimum envie : une histoire décalé avec ce mangaka qui veut cacher son travail à sa fille, un character design qui rappelle le si particulier Katanagatari, avec le doubleur de Koyomi Araragi.
Et après deux épisodes d’ennui, on finit par le constat habituel : au lieu de créer un scénario d’après le manga, le scénariste adapte des petits chapitres à la suite, sans lien entre eux.
Idem pour le côté décalé de l’histoire, c’est drôle la première fois, mais la même blague martelée 20 fois par épisodes, comment dire… c’est too much.
Les autres situations sensées être drôles ont été vue dans des séries humoristiques de ces 25 dernières années à la chaîne.
Les personnages sont inintéressants, entre les gros sabots du héros qui en fait des caisses dans chaque épisode, et sa gamine étourdie et bébête, c’est même plus mignon à ce stade.
La répétition permanente et le vide scénaristique cantonne cette série aux plus jeunes, alors même que le sujet de l’œuvre est le monde professionnel, un comble!
Et après deux épisodes d’ennui, on finit par le constat habituel : au lieu de créer un scénario d’après le manga, le scénariste adapte des petits chapitres à la suite, sans lien entre eux.
Idem pour le côté décalé de l’histoire, c’est drôle la première fois, mais la même blague martelée 20 fois par épisodes, comment dire… c’est too much.
Les autres situations sensées être drôles ont été vue dans des séries humoristiques de ces 25 dernières années à la chaîne.
Les personnages sont inintéressants, entre les gros sabots du héros qui en fait des caisses dans chaque épisode, et sa gamine étourdie et bébête, c’est même plus mignon à ce stade.
La répétition permanente et le vide scénaristique cantonne cette série aux plus jeunes, alors même que le sujet de l’œuvre est le monde professionnel, un comble!