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Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
4,3
24 titres de presse
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Collider
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Daily Beast
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Empire
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Le Parisien
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Les Inrockuptibles
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Numerama
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San Francisco Chronicle
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The Radio Times
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indieWIRE
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Le Journal du Geek
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TVLine
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The Playlist
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Franceinfo Culture
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RogerEbert.com
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Rolling Stone
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TV Guide
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The Hollywood Reporter
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The Independent
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Vanity Fair
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Variety
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Vulture
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Time
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Entertainment weekly
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Slant Magazine
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Collider
Neil Druckmann et Craig Mazin ont enrichi cette histoire inoubliable et l'ont rendue plus percutante, nous permettant de suivre au plus près ces personnages et ce monde d'une manière qui n'était pas possible à travers le jeu. The Last of Us est une réussite monumentale et les deux showrunners nous montrent la lumière qui rend cette histoire si puissante dans cet univers d'une noirceur incroyable.
Daily Beast
Fidèle, déchirante, captivante et pleine de suspense, The Last of Us est un triomphe qui met fin à tout nouveau débat sur la meilleure adaptation de jeu vidéo de tous les temps. À la fois familière et original, bourrée d'action et triste. À moins d'une calamité de niveau Armageddon concernant la suite, la série semble destinée à être le prochain grand blockbuster de HBO.
Empire
Assurément la meilleure adaptation d'un jeu vidéo jamais réalisée : une adaptation qui approfondit la tradition dystopique du jeu, tout en restant fidèle à son noyau émotionnel. C'est un chef-d'œuvre, comme le jeu.
Le Parisien
Dans le genre "série survivaliste", dont "The Walking Dead" est l’exemple le plus populaire de ces dernières années, cette nouvelle fiction se démarque aussi en délivrant une intrigue extrêmement bien construite, où chaque épisode a son identité propre. L’action n’évolue pas constamment dans un monde gris de ruines. Au contraire, les différentes saisons et des paysages contrastés permettent de ne jamais tomber dans la monotonie.
Les Inrockuptibles
À cet égard, The Last of Us reprend parfaitement la recette Naughty Dog : une maîtrise narrative et une conscience de ses effets qui frisent parfois la prise d’otage émotionnelle. Mais, comme atteint·e du syndrome de Stockholm, on se laisse porter par cette histoire si simple en apparence qu’elle devient retorse en substance, et on en ressort une fois de plus essoré·e, bouleversé·e.
Numerama
Une proposition artistique hors du commun qui met à nu l’humanité en épousant ce que le post-apo peut offrir de plus beau sur… nous. Il va sans dire que HBO redéfinit de A à Z le cahier des charges d’une adaptation de jeu vidéo, prouvant que seule une patte artistique singulière permet de transformer ce format en une œuvre non-interactive réussie.
San Francisco Chronicle
Ce n'est pas seulement une adaptation révolutionnaire du jeu vidéo. C'est un grand spectacle, point final.
The Radio Times
The Last of Us est la meilleure adaptation de jeu vidéo de tous les temps, et c'est aussi un drame télévisé fantastique à part entière. Si vous avez ne serait-ce qu'une petite envie de la regarder, rendez-vous service et plongez dans cet univers dès que possible.
indieWIRE
The Last Of Us est meilleure que toutes les adaptations de jeux vidéo qui me viennent à l'esprit (désolé "Resident Evil"), et c'est une aventure zombiesque de haut niveau, souvent terrifiante (désolé encore "Resident Evil"). Mais reléguer The Last of Us à n'importe quel genre prédéterminé, à n'importe quelle case prédéfinie ou à n'importe quelle période de temps fixe, c'est ne pas rendre justice aux thèmes lourds et authentiques qui sont débattus tout du long.
Le Journal du Geek
Le pilote de The Last of Us a tout pour plaire, aux fans du jeux comme aux sériephiles en quête de sensations fortes. Avec une entrée en matière plutôt douce, voire lente, dans l'univers de Neil Druckmann, la série introduit son intrigue et son univers visuel le plus fidèlement possible et avec tout le respect qui se doit au matériau de base. Son impact sur le public est largement amplifié par les performances vivantes et prenantes de ses acteurs. Reste à voir si cette dynamique se confirme dans le reste des épisodes.
TVLine
Il faut avoir le cœur bien accroché pour voir la série (je ne peux pas imaginer regarder plus d'un épisode à la fois). Mais pour ceux qui sont partants, c'est un renouveau convaincant et astucieusement conçu du genre zombie - et de la télévision en général.
The Playlist
À travers un travail d'orfèvre fascinant - entre l'écriture poignante, l'excellente réalisation des cinéastes comme Jeremy Webb, Jasmila Žbanić, Liza Johnson et Ali Abbasi, une cinématographie exemplaire et une musique lunatique et mélancolique et le travail de Mazin et son co-créateur et co-scénariste Neil Druckmann (le créateur du jeu vidéo original), The Last Of Us devient une œuvre viscérale et primitive.
Franceinfo Culture
"The Last of Us" arrive à composer justement entre fan-service et libertés prises sur le scénario originel. La série montre qu'il est encore possible de surprendre avec le genre post-apocalyptique quand on le manipule avec humanité.
RogerEbert.com
C'est une série qui amplifie ce qui était déjà un récit phénoménal en premier lieu et qui a pris un jeu vidéo plus au sérieux que n'importe quelle adaptation à ce jour. On est plus dans un style à la Cormac McCarthy que celui de Paul W.S. Anderson, et cela devrait plaire à la fois aux fans du jeu et à ceux qui n'ont pas touché à une manette depuis des années.
Rolling Stone
Il s'agit essentiellement d'un Walking Dead plus intelligent et bien mieux exécuté, avec des coûts de production plus élevés et un casting plus fort. Mais le travail des personnages devient rapidement si puissant qu'il y a de longues périodes sans aucune attaque d'infectés, et il ne semble pas que la série manque de tension dramatique ou d'incident mémorable. Neil Druckmann et Craig Mazin ont fait une série qui fonctionne incroyablement bien.
TV Guide
The Last of Us est une très bonne série. Au-delà de l'excellent travail de Pedro Pascal et Bella Ramsey, la série est visuellement saisissante - à la fois dans le monde post-apocalyptique qu'elle crée et les créatures effrayantes qui l'habitent - et elle est réalisée avec soin. On note également une pléiade de personnages intrigants (dont un terrifiant tyran en devenir joué par Melanie Lynskey). Mais l'épisode de Bill et Frank suggère qu'une série encore meilleure pourrait être possible si elle se permettait un peu plus de choses.
The Hollywood Reporter
La meilleure chose que je puisse dire à propos de The Last of Us, c'est que, aussi souvent que cela m'a fait penser à The Walking Dead - et il est inévitable que cela vous fasse penser à The Walking Dead - cela m'a plus souvent rappelé au désespoir et à l'humanisme de Station Eleven, et même de la relation centrale profondément ressentie dans le film Aftersun de Charlotte Wells, une histoire par ailleurs très différente d'un père et d'une fille apprenant à communiquer dans un monde extraterrestre.
The Independent
The Last of Us est sans aucun doute un nouveau jalon dans la tâche apparemment impossible d'adapter des jeux vidéo. Il est trop tôt pour dire s'il satisfera les légions de fans qui croient que le jeu survivaliste de Neil Druckmann est du grand art en soi. Mais le créateur de la franchise vidéoludique, en collaboration avec Craig Mazin, a bien mis les mains dans la cambouis de cette série tendre, bien ficelée et empreinte d'un humour noir.
Vanity Fair
The Last of Us arrive dans un milieu télévisuel déjà tellement saturé de séries semblables. La série est loin d'être une révolution. On est simplement face à une série bien faite qui s'élève légèrement au-dessus de certains de ses pairs.
Variety
The Last of Us peut parfois trop s'appuyer sur des séquences d'action, ce qui met l'accent sur l'étrange surréalité des personnes infectées. Mais ce qui se cache derrière le chaos est le lien naissant entre Joel, un homme sans racine, et Ellie, celle qu'il a promis de garder. À travers les performances de Pedro Pascal et Bella Ramsey et une écriture forte, cette dynamique brille d'émotion et de vie.
Vulture
Les scènes de combat et les fusillades sont filmées comme si le spectateur regardait à travers les yeux du personnage qui porte les coups ou appuie sur la gâchette. Cette approche est déployée juste assez souvent pour ajouter un sentiment d'immédiateté sans devenir un gadget. The Last of Us se distingue le plus lorsqu'elle s'écarte du chemin tracé par son matériel d'origine.
Time
La série est tour à tour magnifique et déchirante, brutale et chaleureuse. Des performances à la narration en passant par les éléments esthétiques, c'est une adaptation exquise. Mais cela demande également aux téléspectateurs d'absorber beaucoup de thématiques dures sur la nature humaine, qui ont déjà été abordées dans des séries similaires.
Entertainment weekly
L'ampleur de la série est vaste, pour le meilleur (vues époustouflantes, paysages urbains étendus) et pour le pire (l'un des deux prologues du pilote est inutile). Il y a des perspectives importantes. L'action est fine et fonctionnelle. Un épisode change complètement le canon du jeu, mais certaines scènes sont recréées plan par plan. Cela peut plaire aux débutants ou aux fans qui préfèrent les adaptations à peine adaptées. Cela donne l'impression de voir une rediffusion.
Slant Magazine
En fin de compte, en supprimant le gameplay d'un jeu de genre flamboyant qui était étoffé par des tropes cinématographiques et télévisuels, la série finit par être principalement ce dernier : tout en chair et sans os.