Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Collider
par Chase Hutchinson
Qu’une série comme Outer Range embrasse aussi bien les éléments étranges du cosmos et les entrelace avec les éléments de la vie quotidienne vaut la peine d’être salué. La série est à la fois créative et cathartique, révélant en profondeur les méandres de la famille même si elle trouve sa splendeur dans la crainte écrasante de l'inconnu.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Le Parisien
par Renaud Baronian
La grande force de Outer Range, c’est de dérouler une intrigue progressive : on finit par s’habituer à la fois à l’ambiance "à l’ancienne" de cette série se déroulant chez des éleveurs américains et aux étranges événements qui s’y déroulent. Ainsi va Outer Range, avec ses vieux et jeunes cow-boys, ses bastons, ses tensions, ses apparitions subites de bisons isolés surgis de nulle part, voire de troupeaux entiers, sa shérif indigène lesbienne qui tente de se faire réélire, ses références constantes au passé du Wyoming.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
RogerEbert.com
par Robert Daniels
Il est impossible d'aborder tous les coins et recoins de Outer Range sans gâcher ses surprises. Sachez simplement que chaque coin recèle un secret, que chaque requête métaphysique mène à un mystère plus déroutant. Et pourtant, le poids émotionnel de la série ne s'enlise jamais dans les révélations.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Variety
par Caroline Framke
Au mieux, la série n'utilise donc le vide que pour imprégner ses thèmes les plus ancrés – le chagrin, la solitude, la foi, le désir – d'une étrangeté palpable. Là où Outer Range faiblit, c'est quand elle menace de se perdre dans la mythologie du vide, un problème incarné par un seul personnage. Alors qu’Imogen Poots fait de son mieux pour rendre Autumn aussi fascinante que les scripts le prétendent, la plupart des scènes qui tournent autour d'elle finissent par entraîner la série vers le bas.
La critique complète est disponible sur le site Variety
The Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
Peut-être que la chose la plus exaspérante à propos de Outer Range, et il y a beaucoup de choses exaspérantes à ce sujet, est que presque personne à l'écran ne pose aucune des questions que le public posera. Outre Tamara Podemski et Josh Brolin généralement sympathiques - dont la gravité donne à la série un air de légitimité qu'elle ne mérite franchement pas -, la meilleure performance de la série vient de Tom Pelphrey (Ozark).
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
indieWIRE
par Kristen Lopez
Josh Brolin est bon et si la série a évité la vanité de la science-fiction, il y a suffisamment de bons acteurs dedans pour au moins la rendre divertissante. Mais badigeonner un élément de science-fiction dessus et ne pas comprendre quel ton y apporter ne mène pas au pétrole, cela mène à de la foutaise.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Collider
Qu’une série comme Outer Range embrasse aussi bien les éléments étranges du cosmos et les entrelace avec les éléments de la vie quotidienne vaut la peine d’être salué. La série est à la fois créative et cathartique, révélant en profondeur les méandres de la famille même si elle trouve sa splendeur dans la crainte écrasante de l'inconnu.
Le Parisien
La grande force de Outer Range, c’est de dérouler une intrigue progressive : on finit par s’habituer à la fois à l’ambiance "à l’ancienne" de cette série se déroulant chez des éleveurs américains et aux étranges événements qui s’y déroulent. Ainsi va Outer Range, avec ses vieux et jeunes cow-boys, ses bastons, ses tensions, ses apparitions subites de bisons isolés surgis de nulle part, voire de troupeaux entiers, sa shérif indigène lesbienne qui tente de se faire réélire, ses références constantes au passé du Wyoming.
RogerEbert.com
Il est impossible d'aborder tous les coins et recoins de Outer Range sans gâcher ses surprises. Sachez simplement que chaque coin recèle un secret, que chaque requête métaphysique mène à un mystère plus déroutant. Et pourtant, le poids émotionnel de la série ne s'enlise jamais dans les révélations.
Variety
Au mieux, la série n'utilise donc le vide que pour imprégner ses thèmes les plus ancrés – le chagrin, la solitude, la foi, le désir – d'une étrangeté palpable. Là où Outer Range faiblit, c'est quand elle menace de se perdre dans la mythologie du vide, un problème incarné par un seul personnage. Alors qu’Imogen Poots fait de son mieux pour rendre Autumn aussi fascinante que les scripts le prétendent, la plupart des scènes qui tournent autour d'elle finissent par entraîner la série vers le bas.
The Hollywood Reporter
Peut-être que la chose la plus exaspérante à propos de Outer Range, et il y a beaucoup de choses exaspérantes à ce sujet, est que presque personne à l'écran ne pose aucune des questions que le public posera. Outre Tamara Podemski et Josh Brolin généralement sympathiques - dont la gravité donne à la série un air de légitimité qu'elle ne mérite franchement pas -, la meilleure performance de la série vient de Tom Pelphrey (Ozark).
indieWIRE
Josh Brolin est bon et si la série a évité la vanité de la science-fiction, il y a suffisamment de bons acteurs dedans pour au moins la rendre divertissante. Mais badigeonner un élément de science-fiction dessus et ne pas comprendre quel ton y apporter ne mène pas au pétrole, cela mène à de la foutaise.