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Arlette et les mécanos
72 abonnés
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Critique de la série
1,5
Publiée le 28 février 2021
Moi qui était une inconditionnelle des séries israéliennes ( Hostages, False Flag, Assylum, When heros fly, Our boy, Fauda)je m'apprêtais à savourer cette nouvelle série mais alors là, pardon! Nul. Rien ne se passe, c'est lent, on devine à plein nez ce qui va arriver, l'histoire est inintéressante et puis cette femme qui se fait maltraîter psychologiquement sans rien dire, m'insupporte. C'est pour moi un gros ratage fait de grosses ficelles, je déconseille fortement.
Une réalisatrice en pleine crise de la cinquantaine croise le chemin d'une jeune scénariste mystérieuse et ingénue dont elle adaptera le scripte. Ce film emportera avec lui ses doutes, ses certitudes, son couple, sa vison du monde et de son art. La photographie est superbe, c'est la seule qualité de cette série israélienne qui intrigue au début mais qui se révèle très vite ennuyeuse et même extrêmement prétentieuse dans sa façon d'asséner des platitudes au spectateur sous couvert d'une sorte de féminisme bon teint. Encore un raté pour la plateforme d'Apple qui pour l'instant hormis The Servant n'a pas réussi grand chose, inutile de préciser que si saison 2 il y'a ça sera sans moi.
Un thriller psychologique mené de main de maître, réalisation d'une grande élégance et acteurs géniaux. L'histoire tout en faux-semblants débouche sur un dénouement en accord avec le reste.
L'épisode pilote de cette série est pour moi exceptionnelle. Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu cette envie présente de découvrir la suite. Un gros potentiel. Une série à suivre de près absolument ! Ce début de série a pour moi tout ce qu'il faut.
Une série à voir en entier sinon rien. Si on s'arrête en plein milieu on peut la trouver lente voir ennuyeuse. Si on rentre dans ce thriller psychologique et qu'on va jusqu à cette magnifique conclusion, alors seulement on comprend toutes les dimensions de cette série.
Fascinante, troublante, sensuelle et surprenante (le scénario brouille les pistes avec merveille jusqu'à la révélation finale), Losing Alice est une des (très) belles surprises de ce début d'année.
Aucun intérêt. En plus il y a de nombreuses erreurs grossières (spoiler: porte des toilettes du train qui bat sans raison, pluie mal faite, garçon de café qui passe doucement la serpillère sur le même mètre carré pendant 5 mn.. - Vide et ridicule.
C'est lent. L'héroïne passe de longs moments à regarder la psychopathe d'un air pénétré lourd de sous-entendus pendant que la cinglée nous sert le même sourire forcé et mielleux dans des palns interminables. On comprend très vite que l'hystérique détraquée va s'en prendre à la bobo flippée. Et une série féministe-vindicative de plus.
Avec le succès des mini-séries, en quatre, six ou huit épisodes, les producteurs ont dégotté un filon magnifique: il leur suffit de commander aux scénaristes et aux réalisateurs un traitement en huit, là où un format en quatre épisodes serait parfait. Cette série illustre à la perfection le procédé, qui peut se décliner de deux façons, soit en ajoutant des scènes inutiles, soit en étirant chaque scène; ici, c'est la technique de l'allongement des scènes qui a été privilégiée, faisant croire aux naïfs que l'on a choisi la lenteur pour mieux s'approcher de la psyché des personnages, alors qu'il ne s'agit que d'un truc pour faire durer ce que l'on vendra aux chaînes. Apple, la pomme, nous prend pour des poires.
Une série qui surprend par son écriture extrêmement ciselée. Des moments d'une rare intensité. A recommander tout particulièrement le plan séquence de l'épisode 7: un monument. Excellente surprise de ce début 2021.
Une série originale qui change de l'ordinaire. Ce thriller psychologique est haletant, on ne sait jamais ce qui nous attend. La meilleure série de ce début d'année.