Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Salon.com
par Melanie McFarland
Il s'agit plutôt d'une pièce au rythme méthodique, étrange mais fascinante, sur une bande-son contagieuse mise en évidence par son utilisation stratégique des succès du soft rock des années 80.
La critique complète est disponible sur le site Salon.com
The Guardian
par Lucy Mangan
Ferrell est un patient névrosé et Rudd un thérapeute dangereusement narcissique, dans ce drame laborieux sur l'histoire vraie d'une arnaque, est sauvée par le caractère incroyable de son matériel source.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
Time
par Judy Berman
Même le rythme est inexplicablement déséquilibré, alors qu'un démarrage lent cède la place à des épisodes qui sautent des décennies de transgressions d'Ike et d'acquiescements de Marty, laissant trop de blancs à remplir.
La critique complète est disponible sur le site Time
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Le souci majeur de la série concerne la manière dont elle manque singulièrement de… psychologie pour explorer la relation dominant/soumis carabinée qui se tisse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Los Angeles Times
par Robert Lloyd
"Shrink" n'est pas vraiment drôle, ou essaie apparemment de l'être, sauf pour dire "quelque chose ne va pas".
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Télérama
par Pierre Langlais
On s’ennuie, d’abord poliment, par respect pour la distribution, puis plus franchement, devant un récit étiré à l’excès, qui aurait gagné a être condensé dans des épisodes plus courts.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Salon.com
Il s'agit plutôt d'une pièce au rythme méthodique, étrange mais fascinante, sur une bande-son contagieuse mise en évidence par son utilisation stratégique des succès du soft rock des années 80.
The Guardian
Ferrell est un patient névrosé et Rudd un thérapeute dangereusement narcissique, dans ce drame laborieux sur l'histoire vraie d'une arnaque, est sauvée par le caractère incroyable de son matériel source.
Time
Même le rythme est inexplicablement déséquilibré, alors qu'un démarrage lent cède la place à des épisodes qui sautent des décennies de transgressions d'Ike et d'acquiescements de Marty, laissant trop de blancs à remplir.
Les Inrockuptibles
Le souci majeur de la série concerne la manière dont elle manque singulièrement de… psychologie pour explorer la relation dominant/soumis carabinée qui se tisse.
Los Angeles Times
"Shrink" n'est pas vraiment drôle, ou essaie apparemment de l'être, sauf pour dire "quelque chose ne va pas".
Télérama
On s’ennuie, d’abord poliment, par respect pour la distribution, puis plus franchement, devant un récit étiré à l’excès, qui aurait gagné a être condensé dans des épisodes plus courts.