Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Télérama
par Caroline Veunac
Sublimée par la réalisation de Peter Berg et un beau casting, cette série dossier, sœur jumelle de “Dopesick”, donne un tour sensoriel au drame de l’OxyContin. Une plongée en enfer doublée d’un implacable réquisitoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
The Guardian
par Lucy Mangan
Si dans sa colère et son désir de couvrir les événements (en particulier juridiques) aussi justement que possible du moment, "Painkiller" ne parvient pas à égaler la nuance, la résonance émotionnelle et la tendresse de Dopesick envers ses personnages...
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
Télé Loisirs
par Grégory Ardois-Remaud
Aussi captivante qu'effrayante de par le cynisme de ses personnages et le drame qui se joue, la fiction brille par une distribution de qualité (...)
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Au final, même si on préfère donc "Dopesick", "Painkiller" n’en reste pas moins un drame prenant, dénonçant un scandale révoltant à peine croyable. La démonstration est édifiante pour tous ceux qui ne seraient pas déjà familiers du sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
On dirait que le pitch de "Painkiller" est une sorte de "The Big Short" sur la crise des opioïdes, mais ce ton quasi satirique est presque impossible à maintenir pendant six heures sur plusieurs histoires de personnages, dont certains ne se croisent jamais.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
The Telegraph
par Ed Power
Il est difficile de concilier cette histoire avec la désinvolture avec laquelle Painkiller raconte l'ascension et la chute des Sackler et de leur compagnie Purdue. Matthew Broderick parodie le patriarche Richard comme un cinglé caricatural.
La critique complète est disponible sur le site The Telegraph
Collider
par Chase Hutchinson
Les personnages sont presque tous rendus superficiels et il y a un manque de patience persistant qui met les acteurs en échec. Au point où, arrivé à la fin, tout s'enchaîne un peu trop bien alors que la vérité de cette histoire est beaucoup plus compliquée.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Télérama
Sublimée par la réalisation de Peter Berg et un beau casting, cette série dossier, sœur jumelle de “Dopesick”, donne un tour sensoriel au drame de l’OxyContin. Une plongée en enfer doublée d’un implacable réquisitoire.
The Guardian
Si dans sa colère et son désir de couvrir les événements (en particulier juridiques) aussi justement que possible du moment, "Painkiller" ne parvient pas à égaler la nuance, la résonance émotionnelle et la tendresse de Dopesick envers ses personnages...
Télé Loisirs
Aussi captivante qu'effrayante de par le cynisme de ses personnages et le drame qui se joue, la fiction brille par une distribution de qualité (...)
Le Parisien
Au final, même si on préfère donc "Dopesick", "Painkiller" n’en reste pas moins un drame prenant, dénonçant un scandale révoltant à peine croyable. La démonstration est édifiante pour tous ceux qui ne seraient pas déjà familiers du sujet.
RogerEbert.com
On dirait que le pitch de "Painkiller" est une sorte de "The Big Short" sur la crise des opioïdes, mais ce ton quasi satirique est presque impossible à maintenir pendant six heures sur plusieurs histoires de personnages, dont certains ne se croisent jamais.
The Telegraph
Il est difficile de concilier cette histoire avec la désinvolture avec laquelle Painkiller raconte l'ascension et la chute des Sackler et de leur compagnie Purdue. Matthew Broderick parodie le patriarche Richard comme un cinglé caricatural.
Collider
Les personnages sont presque tous rendus superficiels et il y a un manque de patience persistant qui met les acteurs en échec. Au point où, arrivé à la fin, tout s'enchaîne un peu trop bien alors que la vérité de cette histoire est beaucoup plus compliquée.