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Fanny
27 abonnés
82 critiques
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Critique de la série
1,5
Publiée le 6 janvier 2024
Pas mal mais ayant déjà vu dopesick, sur une autre plateforme, qui traite exactement du même sujet, je ne peux m'empêcher de les comparer. Dopesick est meilleure. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fait une série presque pareille. Ma critique ne contient pas de spoiler, merci de publier
L histoire tirée de faits réels est absolument révoltante, elle fait froid dans le dos tout comme la famille SACKLER qui au final s en sort extrêmement bien compte tenu des 500 000 décès. 500 000 !!! Uzo Aduba est incroyable, bouleversante et sincère dans son rôle, Matthew BRODERICK, immense acteur de théâtre et acteur culte des films Ferris BUELLER et GLORY est absolument flippant dans son rôle de médecin milliardaire immoral, sans aucune once d'empathie. L'avidité de certains personnages est bien montré, tout comme la déchéance, celle du personnage joué par Taylor KITSCH, en victime qui touche le fond, victime de la connerie de son beau fils, victime de la légèreté de son médecin, victime des SACKLER et victime de lui même. Bref série à voir absolument car très intéressante.
Série intéressante sur le monde de la pharma et du capitalisme. Cette série ne fait que confirmer ce que l'on sait déjà, à savoir : personne ne gagne jamais contre la puissance de l'argent.
C'est plutôt bien joué avec quelques scènes intéressantes. L'histoire de Glen Kryger (joué par l'excellent Taylor Kitsch) montre à la perfection la dépendance à l'OxyContin (toujours en vente en Suisse); le chemin qui mène du paradis à l'enfer.
Cette série a le grand mérite de révéler et de dénoncer une affaire trop méconnue des Français ; celle des malversations d’un laboratoire pharmaceutique américain « Purdue Pharma » lequel, au bord de la faillite, va accéder au statut de « Big Pharma » grâce au succès de son nouvel opiacé (l’Oxycontin) vendu comme le premier médicament antalgique à effet prolongé et non addictif.
A cette fin son PDG Richard Sackler ne va pas hésiter à soudoyer un membre de la FDA responsable de la délivrance de l’AMM (Autorisation de mise sur le marché) et constituer une armée de commerciaux sans scrupules, souvent de jeunes et jolies femmes chargées de séduire et convaincre les médecins de prescrire sans retenu l’oxycontin pour traiter la douleur en mettant en avant sa totale innocuité.
Autant le dire tout de suite, cette série est une déception comparée à « Dope Sick » qui traite du même sujet. Ici, le parti pris fut de créer une opposition dans le traitement des 3 arcs narratifs principaux : D’une part, l’approche consacrée à la famille Sackler propriétaire de la compagnie, est traité sur un ton badin et parfois onirique, quand les 2 autres, font preuve du plus grand sérieux ; à savoir l’équipe du FBI chargée de mener l’enquête et d’autre part celle d’un patient lambda, victime du médicament et qui va illustrer le parcours typique vers l’addiction conduisant à une déchéance totale. De fait on va ressentir un certain malaise, une distanciation causée par le déséquilibre permanent entre les différentes histoires. Des lors, on regardera passif cette série, loin de l’implication et la tension ressenties dans « Dope Sick » !
A voir néanmoins car ce que l’on apprend sur les labos est édifiant.
C'est super bien fait. La série montre parfaitement le pouvoir des industries pharmaceutiques dans le processus de soin. Et quand l'appât du gain domine c'est un fléau. C'est instructif, dynamique, prenant. A regarder sans hésiter !
Une histoire édifiante, qui aurait mérité un traitement un peu plus délicat. Tout, de la mise en scène à la musique et aux innombrables répétitions, est caricatural à l'excès. Le casting est plutôt réussi, par contre.
Une plongée infernale dans les dérives d'un système de santé qui permet à une société de prospérer en (quasi) toute légalité en provoquant volontairement une épidémie sans précédent d'addiction à un équivalent d'héroïne légal! Heureusement qu'en France on est plus protégé que ça. Sur la forme de la série j'ai quelques réserves sur le ton un peu absurde qui nous éloigne un peu de la réalité et qui, à mon sens, ne respecte pas totalement les victimes de l'Oxycontin. Il parait que sur le sujet un autre documentaire et meilleur. A voir.
La construction de cette série est tout aussi remarquable que la campagne pharmaceutique pour promouvoir le médicament « oxycontin » à l'origine de la seconde crise des opioïdes aux Usa. Il y a en parallèle, la présentation de la stratégie agressive de vente du médicament, l'approche du côté d'un blessé par accident à qui on le prescrit et enfin, le combat pour la mise en évidence de la nocivité du produit. Il en ressort que la cupidité de certaines firmes pharmaceutiques faisant fi des malades pour ne s'intéresser qu'à leurs bénéfices, est vraiment bien démontrée. Addictif et salutaire.
Revenant sur la plus grande crise des opioïdes qu’ont connu les Etats-Unis, la mini-série "Painkiller" sur Netflix offre une nouvelle exploration du drame après "Dopesick". Avec une comparaison inévitable avec cette dernière, la série Netflix plus condensée avec seulement six épisodes se révèle forcément moins profonde que sa prédécesseuse. Cependant, "Painkiller" n’en reste pas moins une histoire captivante, qui nous permet de (re)plonger au cœur de cet effrayant scandale et l’ampleur de ses conséquences. La série offre des solides performances d'acteurs à l’image de Uzo Aduba et surtout de Taylor Kitsch dans le rôle d’une des victimes devenue dépendante. En définitive, ce n’est pas aussi réussi que "Dopesick", mais cette mini-série mérite qu’on s’y intéresse surtout pour son sujet. - 14,5/20 Critique sur Painkiller (saison 1) Vue du 14 au 25.08.2023 sur Netflix
C’était haletant du début jusqu’à la fin , les personnages bien ficelles l’histoire intéressante et le fait que cela soit aussi une histoire vraie assez stimulant , j’ai bien aimé suivre cette mini série
La série se perd dans des détails inutiles. J'ai eu du mal à accrocher avec la réalisation des différents épisodes. J'étais curieux vis à vis de la crise des opiacés aux USA,et j'avais envie d'apprendre, mais j'ai été fortement déçu par l'angle choisit pour la raconter.
Comme bien d'autres fictions. Painkiller partage la même histoire avec Dopesick (sortie 2 ans plus tôt). Ils ont eu le bon gout d'aller dans une tonalité différente (barré, notamment avec le perso de Broderick) tout en restant un drame tragique. Le Cast 4 étoiles y contribue.
La série y est plus courte (6 épisodes) permet d'aller assez vite à l'essentiel. Au détriment des personnages impliqués. On ne s'attache pas vraiment à eux (contrairement à Dopesick). Globalement la série de Danny Strong marche mieux que celle de Netflix. Mais délivre de beau moment.
Impossible de ne pas comparer avec Dopesick qui traite du même sujet. Painkiller est moins bien sur tous les aspects. Si vous avez plutôt l'occasion de regarder Dopesick n'hésitez pas. L'importance de ce sujet de la dépendance à l'oxycontin implique qu'il faut absolument voir au moins une de ses deux mini séries.
Il faudrait beaucoup plus de mini-série comme celle la. Facile à regarder et à comprendre, pour ceux qui ne connaissent pas grand chose à ce sujet. Les acteurs sont impeccable dans leur rôle. Ce que j’ai aimé aussi c’est l’histoire en parallèle de cette famille qui subissent malgré eux le ravage de cet opiacé.
Certains réfléchissent pour améliorer le quotidien des gens et d’autres réfléchissent à comment améliorer le leur tout en faisant croire qu’ils veulent aider les autres. L’habit ne fait pas le moine comme on dit.