Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Chicago Sun-Times
par Richard Roeper
Mettant en vedette une distribution exceptionnelle d’acteurs vétérans familiers et fiables et de nouveaux arrivants talentueux, Big Sky est le genre de série qui vous donne envie que les épisodes durent un peu plus longtemps, ne serait ce que pour une scène, car le résultat, aussi juteux que sinistre, nous accroche.
La critique complète est disponible sur le site Chicago Sun-Times
Time
par Judy Berman
Plus viscérale que cérébrale, cette série n’est pas une oeuvre révolutionnaire mais plutôt alimentaire, malgré une cinématographie nette et immersive et ses thèmes d’actualité. Tout ce qu’on demande à ce genre de série, c’est qu’elle soit divertissante et, à cet égard, Big Sky répond à cette attente.
La critique complète est disponible sur le site Time
Vulture
par Jen Chaney
Big Sky déploie assez de ficelles narratives pour susciter l’intérêt et inciter les spectateurs à revenir pour l’épisode suivant. Mais si la série n’arriver à rester cohérente avec les épisodes supplémentaires, certains pourraient être enclins à passer à autre chose et à laisser ce mystère non résolu.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
Les deux premiers épisodes sont magnifiquement tournés et décortiquent les bizarreries des petites villes avec lesquelles David E. Kelley jouent souvent. Avec une bonne distribution, Big Sky avait tout pour plaire. Pourtant, la nouvelle offre du showrunner n’est qu’un ersatz d’Esprits Criminels faisant de Big Sky l’une des pires séries de l’année et un gaspillage affligeant de talents.
La critique complète est disponible sur le site Hollywood Reporter
indieWIRE
par Ben Travers
Big Sky veut faire croire à ses spectateurs qu’ils assistent à une oeuvre nouvelle, différente et géniale. Au bout de deux heures, on se rend compte qu’il ne s’agit que d’un écran de fumée et pire encore, la série n’est même pas un bon procédural.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Variety
par Caroline Framke
Malgré des attentes élevées, Big Sky a du mal à rendre ses intrigues aussi urgentes qu’elles devraient l’être vraiment, ses personnages manquent cruellement d’une humanité nécessaire pour la suite de l’histoire. La faute à une combinaison peu convaincante de jeu d’acteur et d’écriture.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Chicago Sun-Times
Mettant en vedette une distribution exceptionnelle d’acteurs vétérans familiers et fiables et de nouveaux arrivants talentueux, Big Sky est le genre de série qui vous donne envie que les épisodes durent un peu plus longtemps, ne serait ce que pour une scène, car le résultat, aussi juteux que sinistre, nous accroche.
Time
Plus viscérale que cérébrale, cette série n’est pas une oeuvre révolutionnaire mais plutôt alimentaire, malgré une cinématographie nette et immersive et ses thèmes d’actualité. Tout ce qu’on demande à ce genre de série, c’est qu’elle soit divertissante et, à cet égard, Big Sky répond à cette attente.
Vulture
Big Sky déploie assez de ficelles narratives pour susciter l’intérêt et inciter les spectateurs à revenir pour l’épisode suivant. Mais si la série n’arriver à rester cohérente avec les épisodes supplémentaires, certains pourraient être enclins à passer à autre chose et à laisser ce mystère non résolu.
Hollywood Reporter
Les deux premiers épisodes sont magnifiquement tournés et décortiquent les bizarreries des petites villes avec lesquelles David E. Kelley jouent souvent. Avec une bonne distribution, Big Sky avait tout pour plaire. Pourtant, la nouvelle offre du showrunner n’est qu’un ersatz d’Esprits Criminels faisant de Big Sky l’une des pires séries de l’année et un gaspillage affligeant de talents.
indieWIRE
Big Sky veut faire croire à ses spectateurs qu’ils assistent à une oeuvre nouvelle, différente et géniale. Au bout de deux heures, on se rend compte qu’il ne s’agit que d’un écran de fumée et pire encore, la série n’est même pas un bon procédural.
Variety
Malgré des attentes élevées, Big Sky a du mal à rendre ses intrigues aussi urgentes qu’elles devraient l’être vraiment, ses personnages manquent cruellement d’une humanité nécessaire pour la suite de l’histoire. La faute à une combinaison peu convaincante de jeu d’acteur et d’écriture.