Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Libération
par Clélia Cohen
"Rictus" est une dystopie libertaire qui prend appui sur notre société pour en exacerber les frilosités. Ce qui impressionne en premier lieu, c’est la précision inventive avec laquelle est dépeint cet univers aseptisé, plein de trouvailles du quotidien pour évoquer, sans budget hollywoodien, ce léger glissement du réel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Arnaud Sagnard
Alternant entre le grandiose et le grotesque, le récit montre un Paris envahi de drones à la recherche du moindre trait d’humour et signe le grand retour de Fred Testot à l’écran en citoyen modèle pris dans un engrenage qui n’est pas sans rappeler celui à l’œuvre dans « Brazil » de Terry Gilliam.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Sur la question sensible de l’humour, la série Rictus offre une réponse absurde et forcément drôle. Surtout quand c’est Fred Testot qui mène la blague.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro Magazine
par Julia Baudin
Rictus est à la fois caustique, drôle et terriblement aiguisé. Passé la surprise d'une dystopie en mode comique, la série se déguste avec plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Point
par La Rédaction
À la croisée des univers d'un Terry Gilliam et d'un Quentin Dupieux, "Rictus" s'éloigne doucement de la série purement comique. La poésie s'invite volontiers dans la dystopie et se fait entendre, de plus en plus fort, la critique acerbe de notre société.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Marianne
par Benoît Franquebalme
Rictus est une heureuse surprise. Appuyés sur un casting où se distinguent aussi Olivier Charasson et Youssef Hajdi, ses neuf épisodes tirent un profit maximal de leur excitant pitch qu’on croirait tout droit sorti du Nom de la Rose.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
L'Humanité
par Grégory Marin
Un univers de Playmobil, avec leurs coupes de cheveux inamovibles, leur nourriture colorée et les décors rétrofuturistes du CEA Paris-Saclay. Heureusement, il y a le second degré, les dialogues décalés du révolutionnaire professionnel Patrick (Pascal Demolon) et les chansons de GiédRé...
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Rictus frôle par endroits le grotesque et pâtit de passage à vide. Mais (...) elle séduit par ses bonnes idées, son univers travaillé et son envie de surprendre sans cesse, lorgnant du côté du cinéma de genre pour tutoyer l'étrange.
Le Monde
par Audrey Fournier
Au-delà du potentiel comique de la proposition (on rit d’ailleurs souvent), la série d’Arnaud Malherbe et de Marion Festraëts (Prix de la meilleure série française à Séries Mania) vaut évidemment pour sa tentative de réponse aux questionnements de notre époque sur l’humour et son corollaire, l’offense.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pauline Conradsson
On aime l’esthétique, très recherchée de la série, la fantaisie qui se dégage. La performance de Fred Testot, drôle et bouleversant dans ce rôle de Stéphane, qui accepte sans broncher ce monde tellement triste, avant de se rebeller.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Faire rentrer davantage d’altérité aurait probablement permis à la série de franchir un nouveau palier. En l’état, elle reste d’une originalité qui fait penser.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Langlais
Ce projet osé, original mais inégal, s’avère régulièrement désopilant et a le mérite de rappeler que si le rire peut être un sujet très sérieux, l’essentiel est… d’en rire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Téléstar
par Romain Nigita
Avec ce rôle sur mesure de clown involontaire, Fred Testot revient à la comédie pure. Cette parodie de dystopie, ici sous le prisme de la dictature de la bienveillance, fait néanmoins penser à une précédente série d'OCS, "Nu", où les vêtements étaient bannis.
Première
par François Léger
Le trait est très gros mais l’univers est tellement insensé que ça fonctionne… par moments.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Stephanie GORLIN
Pas facile de dépasser cet univers mais une fois le principe accepté, Rictus s’avère distrayant. Au final, on adhère… ou pas.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Libération
"Rictus" est une dystopie libertaire qui prend appui sur notre société pour en exacerber les frilosités. Ce qui impressionne en premier lieu, c’est la précision inventive avec laquelle est dépeint cet univers aseptisé, plein de trouvailles du quotidien pour évoquer, sans budget hollywoodien, ce léger glissement du réel.
L'Obs
Alternant entre le grandiose et le grotesque, le récit montre un Paris envahi de drones à la recherche du moindre trait d’humour et signe le grand retour de Fred Testot à l’écran en citoyen modèle pris dans un engrenage qui n’est pas sans rappeler celui à l’œuvre dans « Brazil » de Terry Gilliam.
Le Dauphiné Libéré
Sur la question sensible de l’humour, la série Rictus offre une réponse absurde et forcément drôle. Surtout quand c’est Fred Testot qui mène la blague.
Le Figaro Magazine
Rictus est à la fois caustique, drôle et terriblement aiguisé. Passé la surprise d'une dystopie en mode comique, la série se déguste avec plaisir.
Le Point
À la croisée des univers d'un Terry Gilliam et d'un Quentin Dupieux, "Rictus" s'éloigne doucement de la série purement comique. La poésie s'invite volontiers dans la dystopie et se fait entendre, de plus en plus fort, la critique acerbe de notre société.
Marianne
Rictus est une heureuse surprise. Appuyés sur un casting où se distinguent aussi Olivier Charasson et Youssef Hajdi, ses neuf épisodes tirent un profit maximal de leur excitant pitch qu’on croirait tout droit sorti du Nom de la Rose.
L'Humanité
Un univers de Playmobil, avec leurs coupes de cheveux inamovibles, leur nourriture colorée et les décors rétrofuturistes du CEA Paris-Saclay. Heureusement, il y a le second degré, les dialogues décalés du révolutionnaire professionnel Patrick (Pascal Demolon) et les chansons de GiédRé...
Le Journal du Dimanche
Rictus frôle par endroits le grotesque et pâtit de passage à vide. Mais (...) elle séduit par ses bonnes idées, son univers travaillé et son envie de surprendre sans cesse, lorgnant du côté du cinéma de genre pour tutoyer l'étrange.
Le Monde
Au-delà du potentiel comique de la proposition (on rit d’ailleurs souvent), la série d’Arnaud Malherbe et de Marion Festraëts (Prix de la meilleure série française à Séries Mania) vaut évidemment pour sa tentative de réponse aux questionnements de notre époque sur l’humour et son corollaire, l’offense.
Le Parisien
On aime l’esthétique, très recherchée de la série, la fantaisie qui se dégage. La performance de Fred Testot, drôle et bouleversant dans ce rôle de Stéphane, qui accepte sans broncher ce monde tellement triste, avant de se rebeller.
Les Inrockuptibles
Faire rentrer davantage d’altérité aurait probablement permis à la série de franchir un nouveau palier. En l’état, elle reste d’une originalité qui fait penser.
Télérama
Ce projet osé, original mais inégal, s’avère régulièrement désopilant et a le mérite de rappeler que si le rire peut être un sujet très sérieux, l’essentiel est… d’en rire.
Téléstar
Avec ce rôle sur mesure de clown involontaire, Fred Testot revient à la comédie pure. Cette parodie de dystopie, ici sous le prisme de la dictature de la bienveillance, fait néanmoins penser à une précédente série d'OCS, "Nu", où les vêtements étaient bannis.
Première
Le trait est très gros mais l’univers est tellement insensé que ça fonctionne… par moments.
Télé Loisirs
Pas facile de dépasser cet univers mais une fois le principe accepté, Rictus s’avère distrayant. Au final, on adhère… ou pas.