Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
The Guardian
par Lucy Mangan
Severance est magnifique et est réalisée avec une énorme sensibilité et du style par Stiller. Son quatuor d'acteurs farfelus (...) rehausse un scénario déjà brillant.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
Ecran Large
par Alexandre Janowia
Durant ses huit premiers épisodes, Severance impressionne, interpelle, angoisse et devient de plus en plus tendue jusqu'à un apogée extraordinaire lors de son épisode final.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par Renaud Baronian
Produite et réalisée par Ben Stiller, interprétée par des pointures, cette dystopie sur une entreprise qui sépare les souvenirs personnels et professionnels de ses employés bouscule le spectateur avec un suspense haletant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par François Léger
Thriller SF implacable en forme de drame entrepreneurial, Severance aguiche d’abord par sa critique acerbe du capitalisme, avant de se révéler en formidable étude de caractère qui cite autant La Quatrième dimension et Brazil qu’Eternal Sunshine of the Spotless Mind.
La critique complète est disponible sur le site Première
RogerEbert.com
par Brian Tallerico
À la fois, drôle, terrifiante et brillante, Severance d'Apple TV+ est l'une des nouvelles séries les plus impressionnantes de ces dernières années.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
indieWIRE
par Ben Travers
Le résultat est un thriller constamment tendu, ponctué d'un humour particulier et d'une véritable humanité. La contribution de Stiller est immense. Son esprit mordant et satirique est omniprésent dans Severance.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Le Figaro
par Constance Jamet
Ce récit dystopique et poétique entre Kafka, Black Mirror et The Office offre une mise en abîme percutante via la patte onirique de son producteur et réalisateur, le comédien Ben Stiller (La Vie rêvée de Walter Mitty), disciple de Michel Gondry.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Severance réussit à passer tous les obstacles qui ont fait trébucher les fictions récentes suscitées par l’emprise de la tech sur les salariés et les consommateurs (Le Cercle, du romancier Dave Eggers, en 2013, ou la série Devs, en 2020), avec, en prime, la délicieuse ironie de découvrir la série sur Apple TV+.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Léa Colombo
Critique grinçante du monde du travail, Severance renouvelle le genre de la dystopie avec humour noir et humanité. Une cruelle descente aux enfers à la réalisation minutieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télérama
par Pierre Langlais
Portée par une distribution haut de gamme (Christopher Walken, Patricia Arquette), cette curieuse série prend son temps. Avant d’enclencher un suspense efficace et plein d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
USA Today
par Patrick Ryan
Severance est à son meilleur et plus révélateur lorsqu'il s'attaque aux questions plus existentielles de sa technologie de lavage de cerveau, en particulier dans la façon dont elle affecte les relations.
La critique complète est disponible sur le site USA Today
The Hollywood Reporter
par Daniel Fienberg
Severance, qui bénéficie de la réalisation de Ben Stiller et d'Aoife McArdle, n'est pas toujours cohérente dans son élan, mais elle commence avec une force conceptuelle, se termine avec un épisode de suspense vivifiant et, entre les deux, est portée par un ensemble de grands et petits noms.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Variety
par Caroline Framke
À la fin de sa première saison de neuf épisodes, Severance devient la meilleure des surprises télévisuelles : une qui récompense la patience des débuts par un véritable coup de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Libération
par Marius Chapuis
Plaisante dans sa façon de cultiver le mystère autour de cette entreprise dont on ne sait rien d’autre que la success story industrielle entretenue en interne autour de son fondateur, et dans sa manière de peindre les prémisses d’une révolte néo-luddite en environnement cotonneux, la série se rétame lorsqu’il s’agit d’installer le monde du dehors.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Los Angeles Times
par Robert Lloyd
Le final de la saison est véritablement passionnant et plein de suspense, mais, vraiment, même en tant que partisan de la télévision lente, nous aurions pu y arriver en deux fois moins de temps et avec deux fois plus d'effet.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
The Guardian
Severance est magnifique et est réalisée avec une énorme sensibilité et du style par Stiller. Son quatuor d'acteurs farfelus (...) rehausse un scénario déjà brillant.
Ecran Large
Durant ses huit premiers épisodes, Severance impressionne, interpelle, angoisse et devient de plus en plus tendue jusqu'à un apogée extraordinaire lors de son épisode final.
Le Parisien
Produite et réalisée par Ben Stiller, interprétée par des pointures, cette dystopie sur une entreprise qui sépare les souvenirs personnels et professionnels de ses employés bouscule le spectateur avec un suspense haletant.
Première
Thriller SF implacable en forme de drame entrepreneurial, Severance aguiche d’abord par sa critique acerbe du capitalisme, avant de se révéler en formidable étude de caractère qui cite autant La Quatrième dimension et Brazil qu’Eternal Sunshine of the Spotless Mind.
RogerEbert.com
À la fois, drôle, terrifiante et brillante, Severance d'Apple TV+ est l'une des nouvelles séries les plus impressionnantes de ces dernières années.
indieWIRE
Le résultat est un thriller constamment tendu, ponctué d'un humour particulier et d'une véritable humanité. La contribution de Stiller est immense. Son esprit mordant et satirique est omniprésent dans Severance.
Le Figaro
Ce récit dystopique et poétique entre Kafka, Black Mirror et The Office offre une mise en abîme percutante via la patte onirique de son producteur et réalisateur, le comédien Ben Stiller (La Vie rêvée de Walter Mitty), disciple de Michel Gondry.
Le Monde
Severance réussit à passer tous les obstacles qui ont fait trébucher les fictions récentes suscitées par l’emprise de la tech sur les salariés et les consommateurs (Le Cercle, du romancier Dave Eggers, en 2013, ou la série Devs, en 2020), avec, en prime, la délicieuse ironie de découvrir la série sur Apple TV+.
Les Echos
Critique grinçante du monde du travail, Severance renouvelle le genre de la dystopie avec humour noir et humanité. Une cruelle descente aux enfers à la réalisation minutieuse.
Télérama
Portée par une distribution haut de gamme (Christopher Walken, Patricia Arquette), cette curieuse série prend son temps. Avant d’enclencher un suspense efficace et plein d’humanité.
USA Today
Severance est à son meilleur et plus révélateur lorsqu'il s'attaque aux questions plus existentielles de sa technologie de lavage de cerveau, en particulier dans la façon dont elle affecte les relations.
The Hollywood Reporter
Severance, qui bénéficie de la réalisation de Ben Stiller et d'Aoife McArdle, n'est pas toujours cohérente dans son élan, mais elle commence avec une force conceptuelle, se termine avec un épisode de suspense vivifiant et, entre les deux, est portée par un ensemble de grands et petits noms.
Variety
À la fin de sa première saison de neuf épisodes, Severance devient la meilleure des surprises télévisuelles : une qui récompense la patience des débuts par un véritable coup de grâce.
Libération
Plaisante dans sa façon de cultiver le mystère autour de cette entreprise dont on ne sait rien d’autre que la success story industrielle entretenue en interne autour de son fondateur, et dans sa manière de peindre les prémisses d’une révolte néo-luddite en environnement cotonneux, la série se rétame lorsqu’il s’agit d’installer le monde du dehors.
Los Angeles Times
Le final de la saison est véritablement passionnant et plein de suspense, mais, vraiment, même en tant que partisan de la télévision lente, nous aurions pu y arriver en deux fois moins de temps et avec deux fois plus d'effet.