Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
L'Obs
par Marjolaine Jarry
Un peu trop de musique, quelques séquences consensuelles et une enfant quasi muette (la fille d’Alex) éteignent, à certains moments, l’ambition de complexité. Reste la brillante démonstration qu’il y a tant à dire sur les exclus du système et tant de façons de le faire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Sandrine Bajos
Adapté du livre autobiographique de Stephanie Land, « Maid » aborde avec beaucoup de justesse le drame des violences conjugales, de l’emprise et de la domination psychologique. Elle montre aussi comment la violence économique est une forme de harcèlement moral. Ce drame social porté par une jeune actrice exceptionnelle est une belle surprise.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Mathilde Trocellier
Pour autant, la série ne se complet pas dans la tragédie lacrymale : il y a de la lumière au bout du tunnel. Elle laisse surtout le spectateur avec un sentiment d'impuissance qui prend aux tripes, donnant presque envie de se mobiliser pour venir en aide aux femmes qui, comme Alex, n'ont pas toutes les cartes en main.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Si l’écriture est parfois maladroite et que certaines affèteries de mise en scène tombent à plat, Maid parvient à nous arrimer à la trajectoire de son personnage avec une efficacité qui tient beaucoup au sentiment d’urgence qu’elle installe, sans renoncer à des élans mélodramatiques ou à des touches d’humour. En résulte un portrait de femme émouvant et combatif, traversé par une fantaisie qui n’en dilue pas la rudesse mais l’ancre dans la subjectivité d’Alex.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Audrey Fournier
Il y a évidemment dans le physique, la voix et le maintien de la jeune femme une grâce qui manque un peu de fragilité, quelque chose qui empêche d’oublier sa prestigieuse ascendance (sa mère, l’actrice Andie MacDowell, joue d’ailleurs à ses côtés) et sa formation de ballerine. La jeune femme a toutefois le mérite de proposer autre chose que les larmes et les grimaces, attributs récurrents de la Mère Courage à l’écran. Il en va de même pour la réalisation, un peu plus dansante que la moyenne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Cécile Marchand Ménard
négalement maîtrisé, le mélange tragi-comique pousse cependant parfois à regretter un style plus assumé, qui aurait pu s’orienter vers une fresque naturaliste résolument plus sombre ou choisir de livrer une satire autrement décalée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
Un peu trop de musique, quelques séquences consensuelles et une enfant quasi muette (la fille d’Alex) éteignent, à certains moments, l’ambition de complexité. Reste la brillante démonstration qu’il y a tant à dire sur les exclus du système et tant de façons de le faire.
Le Parisien
Adapté du livre autobiographique de Stephanie Land, « Maid » aborde avec beaucoup de justesse le drame des violences conjugales, de l’emprise et de la domination psychologique. Elle montre aussi comment la violence économique est une forme de harcèlement moral. Ce drame social porté par une jeune actrice exceptionnelle est une belle surprise.
Première
Pour autant, la série ne se complet pas dans la tragédie lacrymale : il y a de la lumière au bout du tunnel. Elle laisse surtout le spectateur avec un sentiment d'impuissance qui prend aux tripes, donnant presque envie de se mobiliser pour venir en aide aux femmes qui, comme Alex, n'ont pas toutes les cartes en main.
Les Inrockuptibles
Si l’écriture est parfois maladroite et que certaines affèteries de mise en scène tombent à plat, Maid parvient à nous arrimer à la trajectoire de son personnage avec une efficacité qui tient beaucoup au sentiment d’urgence qu’elle installe, sans renoncer à des élans mélodramatiques ou à des touches d’humour. En résulte un portrait de femme émouvant et combatif, traversé par une fantaisie qui n’en dilue pas la rudesse mais l’ancre dans la subjectivité d’Alex.
Le Monde
Il y a évidemment dans le physique, la voix et le maintien de la jeune femme une grâce qui manque un peu de fragilité, quelque chose qui empêche d’oublier sa prestigieuse ascendance (sa mère, l’actrice Andie MacDowell, joue d’ailleurs à ses côtés) et sa formation de ballerine. La jeune femme a toutefois le mérite de proposer autre chose que les larmes et les grimaces, attributs récurrents de la Mère Courage à l’écran. Il en va de même pour la réalisation, un peu plus dansante que la moyenne.
Télérama
négalement maîtrisé, le mélange tragi-comique pousse cependant parfois à regretter un style plus assumé, qui aurait pu s’orienter vers une fresque naturaliste résolument plus sombre ou choisir de livrer une satire autrement décalée.