Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Entertainment weekly
par Kristen Baldwin
Cruel Summer est une série rafraîchissante et addictive et avec un peu de chance, le public accrochera.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
LCI
par Delphine De Freitas
La tension, portée par deux jeunes actrices très convaincantes, grandit crescendo avec à la clé un dénouement détonnant qui ne laisse pas indemne. Et donne envie d’en voir plus.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Variety
par Daniel D’Addario
Grâce à un casting pétillant et une volonté de maintenir la tension jusqu’à la réponse inattendue, Cruel Summer se révèle être une agréable surprise : un divertissement avec une prémisse saisissante mais aussi une vraie profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Variety
indieWIRE
par Kristen Lopez
Cruel Summer ravira facilement les fans de Pretty Little Liars mais il y a tout autant de points de comparaison avec Big Little Lies dans cette histoire de privilégiés brisés par le crime. Les performances d’Olivia Holt et de Chiara Aurelia sont un des points forts, tout comme la production technique de la série. C’est une délicieuse tranche de plaisir qui s’apparente à une bonne lecture de plage.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Le Figaro
par Constance Jamet
Succès inattendu aux États-Unis, cette série va à rebours des clichés et offre un suspense au cordeau au son des tubes des années 90.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
The A.V. Club
par Saloni Gajjar
Lorsque Cruel Summer est centrée sur les personnages, elle trouve une profondeur inattendue. Cela compense presque les réponses lentes au mystère de l’enlèvement de Kate et de ce qu’elle a pu vivre, que Jeanette soit impliquée ou non, et le dispositif de narration inutilement complexe dans lequel est présenté ce puzzle.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
TV Guide
par Allison Picurro
Alors que la série met en place beaucoup de choses dans son premier épisode, - à tel point que les épisodes suivants sont presque dépourvus d’actions par rapport à lui -, elle réussit à vous accrocher malgré tout grâce aux personnalités de Jeanette et Kate et à leurs intrigues respectives. En fait, Cruel Summer fonctionne mieux quand elle centrée sur ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
The Hollywood Reporter
par Inkoo Kang
Cruel Summer fonctionne au moins là où ça compte le plus. Les choix des coupes de cheveux, des costumes, des éclairages et des acteurs indiquent toujours clairement dans quelle année nous sommes et Chiara Aurelia et Olivia Holt proposent des versions incroyablement distinctes de leurs personnages… Mais la série ne tient pas toutes ses promesses. Beaucoup de rebondissements sont prévisibles et le rythme à la traîne sape une partie de la succulente et sombre prémisse.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Télérama
par Isabelle Poitte
Si la série aborde des thèmes contemporains, devenus quasi incontournables dans la fiction ado – les diktats qui pèsent sur les jeunes filles, les violences sexuelles et le trauma des victimes –, elle ne le fait, pour le moment, que sur la pointe des pieds… Il ne faudrait pas donner un arrière-goût trop amer au pop-corn.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Entertainment weekly
Cruel Summer est une série rafraîchissante et addictive et avec un peu de chance, le public accrochera.
LCI
La tension, portée par deux jeunes actrices très convaincantes, grandit crescendo avec à la clé un dénouement détonnant qui ne laisse pas indemne. Et donne envie d’en voir plus.
Variety
Grâce à un casting pétillant et une volonté de maintenir la tension jusqu’à la réponse inattendue, Cruel Summer se révèle être une agréable surprise : un divertissement avec une prémisse saisissante mais aussi une vraie profondeur.
indieWIRE
Cruel Summer ravira facilement les fans de Pretty Little Liars mais il y a tout autant de points de comparaison avec Big Little Lies dans cette histoire de privilégiés brisés par le crime. Les performances d’Olivia Holt et de Chiara Aurelia sont un des points forts, tout comme la production technique de la série. C’est une délicieuse tranche de plaisir qui s’apparente à une bonne lecture de plage.
Le Figaro
Succès inattendu aux États-Unis, cette série va à rebours des clichés et offre un suspense au cordeau au son des tubes des années 90.
The A.V. Club
Lorsque Cruel Summer est centrée sur les personnages, elle trouve une profondeur inattendue. Cela compense presque les réponses lentes au mystère de l’enlèvement de Kate et de ce qu’elle a pu vivre, que Jeanette soit impliquée ou non, et le dispositif de narration inutilement complexe dans lequel est présenté ce puzzle.
TV Guide
Alors que la série met en place beaucoup de choses dans son premier épisode, - à tel point que les épisodes suivants sont presque dépourvus d’actions par rapport à lui -, elle réussit à vous accrocher malgré tout grâce aux personnalités de Jeanette et Kate et à leurs intrigues respectives. En fait, Cruel Summer fonctionne mieux quand elle centrée sur ses personnages.
The Hollywood Reporter
Cruel Summer fonctionne au moins là où ça compte le plus. Les choix des coupes de cheveux, des costumes, des éclairages et des acteurs indiquent toujours clairement dans quelle année nous sommes et Chiara Aurelia et Olivia Holt proposent des versions incroyablement distinctes de leurs personnages… Mais la série ne tient pas toutes ses promesses. Beaucoup de rebondissements sont prévisibles et le rythme à la traîne sape une partie de la succulente et sombre prémisse.
Télérama
Si la série aborde des thèmes contemporains, devenus quasi incontournables dans la fiction ado – les diktats qui pèsent sur les jeunes filles, les violences sexuelles et le trauma des victimes –, elle ne le fait, pour le moment, que sur la pointe des pieds… Il ne faudrait pas donner un arrière-goût trop amer au pop-corn.