Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
20 Minutes
par Anne Demoulin
Une classieuse et ambitieuse fresque d’espionnage française sur fond de guerre froide !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Parisien
par Catherine Balle
Captivante, dotée d’un très beau casting, cette série produite par Gaumont bénéficie par ailleurs d’une mise en scène très efficace dans des décors ultra élégants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Anne Lenoir
Non seulement, la première saison de Totems bénéficie d’un casting exceptionnel (...) mais en plus la réalisation est léchée, un soin tout particulier accordé pour reconstituer fidèlement l’époque, aussi bien avec les décors, les vêtements mais aussi le sentiment omniprésent d’être observé.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
C'est finalement la force de Totems : être d'actualité même en ayant lieu dans les années 60. À l'heure des tensions en Ukraine entre Occident et Russie, et où le droit à l'avortement est toujours contesté (aux États-Unis ou en Pologne), replonger dans notre passé peut-être une bonne idée.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Marianne
par Benoît Franquebalme
La production n’a pas lésiné sur les moyens (...). Et l’excellent José Garcia en ex-collaborateur du général Giraud et garde du corps de Francis. La bande originale cuivrée s’amuse avec les codes des films des années 1960. Et on prend un vrai pied à retrouver des agents qui font couler les robinets pour tromper les micros les espionnant. Seul petit bémol, la partie française qui voit Mme Mareuil se débattre dans une histoire d’avortement dont on se fiche éperdument.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Jonathan Blanchet
Procédant donc en terrain connu, Totems fait davantage figure d’exercice de style dont l’expression est encore plus flagrante à l’image (la reconstitution des décors, comme la réalisation, chic et révérencieuse). Tous les comédiens y excellent (...). Si elle ne s’écarte pas des sentiers balisés, la série fait montre d’un grand savoir-faire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par Constance Jamet
Après ces débuts incisifs, Totems, qui court sur huit épisodes, se met hélas à patiner. Et n’arrive pas à amalgamer les enjeux privés et les jeux de pouvoir. Le spectateur se perd dans des allégeances floues et des sinueux allers-retours entre Paris, Moscou, Prague et l’Algérie. L’énergie, les risques que déploient Francis et son mentor, Virgile (José Garcia à contre-emploi), à passer le rideau de fer transparaissent de manière assourdie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
20 Minutes
Une classieuse et ambitieuse fresque d’espionnage française sur fond de guerre froide !
Le Parisien
Captivante, dotée d’un très beau casting, cette série produite par Gaumont bénéficie par ailleurs d’une mise en scène très efficace dans des décors ultra élégants.
Télé Loisirs
Non seulement, la première saison de Totems bénéficie d’un casting exceptionnel (...) mais en plus la réalisation est léchée, un soin tout particulier accordé pour reconstituer fidèlement l’époque, aussi bien avec les décors, les vêtements mais aussi le sentiment omniprésent d’être observé.
Le Dauphiné Libéré
C'est finalement la force de Totems : être d'actualité même en ayant lieu dans les années 60. À l'heure des tensions en Ukraine entre Occident et Russie, et où le droit à l'avortement est toujours contesté (aux États-Unis ou en Pologne), replonger dans notre passé peut-être une bonne idée.
Marianne
La production n’a pas lésiné sur les moyens (...). Et l’excellent José Garcia en ex-collaborateur du général Giraud et garde du corps de Francis. La bande originale cuivrée s’amuse avec les codes des films des années 1960. Et on prend un vrai pied à retrouver des agents qui font couler les robinets pour tromper les micros les espionnant. Seul petit bémol, la partie française qui voit Mme Mareuil se débattre dans une histoire d’avortement dont on se fiche éperdument.
Première
Procédant donc en terrain connu, Totems fait davantage figure d’exercice de style dont l’expression est encore plus flagrante à l’image (la reconstitution des décors, comme la réalisation, chic et révérencieuse). Tous les comédiens y excellent (...). Si elle ne s’écarte pas des sentiers balisés, la série fait montre d’un grand savoir-faire.
Le Figaro
Après ces débuts incisifs, Totems, qui court sur huit épisodes, se met hélas à patiner. Et n’arrive pas à amalgamer les enjeux privés et les jeux de pouvoir. Le spectateur se perd dans des allégeances floues et des sinueux allers-retours entre Paris, Moscou, Prague et l’Algérie. L’énergie, les risques que déploient Francis et son mentor, Virgile (José Garcia à contre-emploi), à passer le rideau de fer transparaissent de manière assourdie.