Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
New York Times
par Mike Hale
Rares sont les fausses notes dans I May Destroy You. C'est touchant, parfois hilarant, tout du long, et Coel parvient à toujours s'en tirer là où d'autres scénaristes auraient échoué, et elle le fait toujours avec consistance.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
Time
par Judy Berman
ll y a un degré de complexité dans le récit et les points de vue qui suffisent à eux-seuls à distinguer la série de tout ce qui a déjà été fait sur le sujet. Ce qui est remarquable c'est qu'elle devient encore plus ambitieuse au fur et à mesure, sans tomber dans la leçon de morale et la condescendance.
La critique complète est disponible sur le site Time
Le Parisien
par La Rédaction
Une série percutante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
A partir du trauma d’une jeune londonienne, droguée puis violée, "I May Destroy You" déroule une narration d’une inventivité folle et laisse exister ses personnages dans toute leur complexité.
The Hollywood Reporter
par Daniel Fienberg
Une série furieuse et confuse de manière intentionnelle, bordélique et concentrée sur son sujet en toute logique; elle est la garantie de l'ouverture d'un dialogue nécessaire, et devrait susciter autant de dévotion que de rejet.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Wall Street Journal
par John Anderson
Mlle Coel a non seulement une vraie modernité dans sa manière de raconter une histoire, mais elle sait aussi défier les conventions (...) I May Destroy You attirera peut-être les téléspectateurs sur son titre énigmatique mais c'est pour son style qu'ils resteront.
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
Entertainment weekly
par Kristen Baldwin
On peut avoir le sentiment que l'histoire ne va pas tenir sur 12 épisodes et il faut admettre que le rythme peut être léthargique parfois (...) Mais même si I may destroy you se traîne un peu, la voix de Coel transcende toujours le récit.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Newsday
par Verne Gay
Coel a beaucoup de talent -aucun doute là-dessus- mais cette série part un peu dans tous les sens, une sorte d'accumulation aggravante.
La critique complète est disponible sur le site Newsday
New York Times
Rares sont les fausses notes dans I May Destroy You. C'est touchant, parfois hilarant, tout du long, et Coel parvient à toujours s'en tirer là où d'autres scénaristes auraient échoué, et elle le fait toujours avec consistance.
Time
ll y a un degré de complexité dans le récit et les points de vue qui suffisent à eux-seuls à distinguer la série de tout ce qui a déjà été fait sur le sujet. Ce qui est remarquable c'est qu'elle devient encore plus ambitieuse au fur et à mesure, sans tomber dans la leçon de morale et la condescendance.
Le Parisien
Une série percutante.
Les Inrockuptibles
A partir du trauma d’une jeune londonienne, droguée puis violée, "I May Destroy You" déroule une narration d’une inventivité folle et laisse exister ses personnages dans toute leur complexité.
The Hollywood Reporter
Une série furieuse et confuse de manière intentionnelle, bordélique et concentrée sur son sujet en toute logique; elle est la garantie de l'ouverture d'un dialogue nécessaire, et devrait susciter autant de dévotion que de rejet.
Wall Street Journal
Mlle Coel a non seulement une vraie modernité dans sa manière de raconter une histoire, mais elle sait aussi défier les conventions (...) I May Destroy You attirera peut-être les téléspectateurs sur son titre énigmatique mais c'est pour son style qu'ils resteront.
Entertainment weekly
On peut avoir le sentiment que l'histoire ne va pas tenir sur 12 épisodes et il faut admettre que le rythme peut être léthargique parfois (...) Mais même si I may destroy you se traîne un peu, la voix de Coel transcende toujours le récit.
Newsday
Coel a beaucoup de talent -aucun doute là-dessus- mais cette série part un peu dans tous les sens, une sorte d'accumulation aggravante.