Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
La performance des comédiens, ainsi que le rythme soutenu des sept épisodes (...), assurent la réussite de cette passionnante fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CNN
par Brian Lowry
Kalanick, à un moment donné, est décrit comme "un animal prédateur", et tel qu'il est dépeint, il est difficile d'argumenter autrement. Super Pumped illustre efficacement que si de telles personnalités ne sont pas forcément agréables à vivre (ou même à partager un trajet), en tant que sujets de films ou séries, elles peuvent être assez fascinantes à regarder.
La critique complète est disponible sur le site CNN
Ecran Large
par Ange Beuque
Bien emballé, très rythmé et servi par l'abattage de Gordon-Levitt en visionnaire pathétique, [le show] La face cachée d'Uber ne se prétend pas aussi disruptif que la société qu'il dépeint, mais soulève nombre de problématiques sociétales on ne peut plus contemporaines. On est super pumped !
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Céline Fontana
Difficile, pourtant, d’adhérer totalement. Non pas en raison du manque d’empathie envers le personnage principal. (...) Mais Joseph Gordon-Levitt (plus convaincant dans Looper, ou chez Oliver Stone dans la peau d’Edward Snowden) manque un rien de charisme pour le rôle. Surtout, rien de novateur dans ce type de biopic, devenu récurrent au cinéma comme en série depuis le prodigieux The Social Network de David Fincher.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Pierre Langlais
Kalanick, infect d’arrogance, de mépris et de sexisme tournoie au centre d’un récit survitaminé, porté par une solide distribution. Il se dégage pourtant de ce biopic un parfum de déjà-vu, un mélange très américain de dégoût et de fascination pour le succès déjà exploité dans deux séries récentes, WeCrashed et The Dropout.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Washington Post
par Inkoo Kang
Mais ensuite, les personnages secondaires - à commencer par le premier investisseur important de Travis, Bill Gurley (Kyle Chandler) - émergent, et Super Pumped devient une série beaucoup plus humaine, cohérente et regardable.
La critique complète est disponible sur le site Washington Post
Le Monde
par Au. F.
La démonstration n’est pas inintéressante, mais elle reste assez scolaire, surtout que la série souffre de la comparaison avec des productions précédentes plus efficaces. On ne retrouve dans Super Pumped aucun parti pris comparable à l’humour noir de WeCrashed ou à la finesse psychologique de The Dropout.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
The Hollywood Reporter
par Angie Han
Super Pumped a son lot de plaisirs, d'un casting tentaculaire de visages familiers (Kerry Bishé, Fred Armisen et Elisabeth Shue en font également partie) à une bande-son entraînante truffée de Queen et Alice in Chains. Mais sans rien de profond ou de nouveau à dire sur ce que l'on voit, tout cela ne représente pas beaucoup plus que le portrait superficiel d'un connard autoproclamé.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Variety
par Daniel D'Addario
Super Pumped n'arrive pas à savoir de quoi elle parle - c'était le risque en prenant pour sujet une entreprise dont les délits sont si multiples, et qui a été fondée et dirigée par une personne dont l'ambition est implacable, sans nuance. La série trouve finalement son rythme en racontant l'histoire de Susan Fowler (Eva Victor), l'ingénieure qui a contribué à révéler une culture de harcèlement sexuel au sein d'Uber.
La critique complète est disponible sur le site Variety
indieWIRE
par Ben Travers
Alimentée par la colère plus que par les idées, [Super Pumped] ne semble pas conçue pour offrir une vision nouvelle de l'avidité et du pouvoir au 21e siècle. (...) Kalanick prend la majeure partie de l'oxygène, ce qui place la série d'anthologie de Showtime dans une boîte bien trop familière.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Le Parisien
La performance des comédiens, ainsi que le rythme soutenu des sept épisodes (...), assurent la réussite de cette passionnante fiction.
CNN
Kalanick, à un moment donné, est décrit comme "un animal prédateur", et tel qu'il est dépeint, il est difficile d'argumenter autrement. Super Pumped illustre efficacement que si de telles personnalités ne sont pas forcément agréables à vivre (ou même à partager un trajet), en tant que sujets de films ou séries, elles peuvent être assez fascinantes à regarder.
Ecran Large
Bien emballé, très rythmé et servi par l'abattage de Gordon-Levitt en visionnaire pathétique, [le show] La face cachée d'Uber ne se prétend pas aussi disruptif que la société qu'il dépeint, mais soulève nombre de problématiques sociétales on ne peut plus contemporaines. On est super pumped !
Le Figaro
Difficile, pourtant, d’adhérer totalement. Non pas en raison du manque d’empathie envers le personnage principal. (...) Mais Joseph Gordon-Levitt (plus convaincant dans Looper, ou chez Oliver Stone dans la peau d’Edward Snowden) manque un rien de charisme pour le rôle. Surtout, rien de novateur dans ce type de biopic, devenu récurrent au cinéma comme en série depuis le prodigieux The Social Network de David Fincher.
Télérama
Kalanick, infect d’arrogance, de mépris et de sexisme tournoie au centre d’un récit survitaminé, porté par une solide distribution. Il se dégage pourtant de ce biopic un parfum de déjà-vu, un mélange très américain de dégoût et de fascination pour le succès déjà exploité dans deux séries récentes, WeCrashed et The Dropout.
Washington Post
Mais ensuite, les personnages secondaires - à commencer par le premier investisseur important de Travis, Bill Gurley (Kyle Chandler) - émergent, et Super Pumped devient une série beaucoup plus humaine, cohérente et regardable.
Le Monde
La démonstration n’est pas inintéressante, mais elle reste assez scolaire, surtout que la série souffre de la comparaison avec des productions précédentes plus efficaces. On ne retrouve dans Super Pumped aucun parti pris comparable à l’humour noir de WeCrashed ou à la finesse psychologique de The Dropout.
The Hollywood Reporter
Super Pumped a son lot de plaisirs, d'un casting tentaculaire de visages familiers (Kerry Bishé, Fred Armisen et Elisabeth Shue en font également partie) à une bande-son entraînante truffée de Queen et Alice in Chains. Mais sans rien de profond ou de nouveau à dire sur ce que l'on voit, tout cela ne représente pas beaucoup plus que le portrait superficiel d'un connard autoproclamé.
Variety
Super Pumped n'arrive pas à savoir de quoi elle parle - c'était le risque en prenant pour sujet une entreprise dont les délits sont si multiples, et qui a été fondée et dirigée par une personne dont l'ambition est implacable, sans nuance. La série trouve finalement son rythme en racontant l'histoire de Susan Fowler (Eva Victor), l'ingénieure qui a contribué à révéler une culture de harcèlement sexuel au sein d'Uber.
indieWIRE
Alimentée par la colère plus que par les idées, [Super Pumped] ne semble pas conçue pour offrir une vision nouvelle de l'avidité et du pouvoir au 21e siècle. (...) Kalanick prend la majeure partie de l'oxygène, ce qui place la série d'anthologie de Showtime dans une boîte bien trop familière.