Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Télé Câble Sat
par Thomas Destouches
Si elle ne s'éloigne jamais de son assise historique, Marie-Antoinette est avant tout un portrait intime de la jeune princesse autrichienne, épouse désignée par une alliance géopolitique, femme délaissée sexuellement par son mari et objet de haine à la cour. De ce point de vue, le traitement scénaristique, patient et cru, de la naissance du couple [...] est une réussite, donnant à la série un souffle émotionnel.
Télé 7 Jours
par HC
Les jeunes années de Marie-Antoinette revisitées par une scénariste anglaise. Une solide base historique saupoudrée d'un zest de fantaisie "so british". Une œuvre flamboyante et captivante.
Téléstar
par La Rédaction
Une relecture féministe de l'Histoire qui se suit avec plaisir.
Le Monde
par Audrey Fournier
L’exercice est filmé à hauteur de mains et de regards, comme si le mystère de l’époque résidait dans les gestes délicats de ces demoiselles et damoiseaux en perruque et jarretière. [...] Ce n’est pas forcément une raison pour s’imposer huit fois cinquante-deux minutes, d’autant plus que la narration est extrêmement diluée, mais c’est assez pour justifier qu’on y passe une soirée, et, pourquoi pas, qu’on se laisse conquérir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Loisirs
par La Rédaction
Un scénario dense animé par les intrigues politiques à la cour de Versailles, les amours et les jalousies. Emilia Schüle compose avec talent une jeune princesse sensible, émouvante et terrorisée face à la lourde charge que lui impose le destin : devenir la future reine de France. La mise en scène stylisée met en valeur les décors et les costumes somptueux.
Le Figaro
par Blaise De Chabalier
La créatrice britannique Deborah Davis plaque des préoccupations féministes actuelles sur la princesse autrichienne tout juste mariée à Louis XVI. L’histoire sert alors de prétexte à des scènes à la fois ridicules et vulgaires, voire obscènes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
La nouvelle création originale de Canal+ entreprend de réhabiliter la reine de France en faisant le portrait d’une jeune femme victime du patriarcat et des intérêts stratégiques des hommes… mais occulte totalement la souffrance du peuple.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Caroline Veunac
Mais l’ensemble, faussement novateur, reste empesé par les clichés de la modernisation historique. Un peu de stupre avec Mme du Barry, des intrigues familiales à la succession… La série ne pousse assez les curseurs et, faute d’idées vraiment originales, peine à rendre convaincante sa relecture féministe de l’histoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé Câble Sat
Si elle ne s'éloigne jamais de son assise historique, Marie-Antoinette est avant tout un portrait intime de la jeune princesse autrichienne, épouse désignée par une alliance géopolitique, femme délaissée sexuellement par son mari et objet de haine à la cour. De ce point de vue, le traitement scénaristique, patient et cru, de la naissance du couple [...] est une réussite, donnant à la série un souffle émotionnel.
Télé 7 Jours
Les jeunes années de Marie-Antoinette revisitées par une scénariste anglaise. Une solide base historique saupoudrée d'un zest de fantaisie "so british". Une œuvre flamboyante et captivante.
Téléstar
Une relecture féministe de l'Histoire qui se suit avec plaisir.
Le Monde
L’exercice est filmé à hauteur de mains et de regards, comme si le mystère de l’époque résidait dans les gestes délicats de ces demoiselles et damoiseaux en perruque et jarretière. [...] Ce n’est pas forcément une raison pour s’imposer huit fois cinquante-deux minutes, d’autant plus que la narration est extrêmement diluée, mais c’est assez pour justifier qu’on y passe une soirée, et, pourquoi pas, qu’on se laisse conquérir.
Télé Loisirs
Un scénario dense animé par les intrigues politiques à la cour de Versailles, les amours et les jalousies. Emilia Schüle compose avec talent une jeune princesse sensible, émouvante et terrorisée face à la lourde charge que lui impose le destin : devenir la future reine de France. La mise en scène stylisée met en valeur les décors et les costumes somptueux.
Le Figaro
La créatrice britannique Deborah Davis plaque des préoccupations féministes actuelles sur la princesse autrichienne tout juste mariée à Louis XVI. L’histoire sert alors de prétexte à des scènes à la fois ridicules et vulgaires, voire obscènes.
Les Inrockuptibles
La nouvelle création originale de Canal+ entreprend de réhabiliter la reine de France en faisant le portrait d’une jeune femme victime du patriarcat et des intérêts stratégiques des hommes… mais occulte totalement la souffrance du peuple.
Télérama
Mais l’ensemble, faussement novateur, reste empesé par les clichés de la modernisation historique. Un peu de stupre avec Mme du Barry, des intrigues familiales à la succession… La série ne pousse assez les curseurs et, faute d’idées vraiment originales, peine à rendre convaincante sa relecture féministe de l’histoire.