Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Le Figaro
par La Rédaction
Il nous avait balancé un uppercut émotionnel dans Years and Years, imaginant un futur terrifiant et bien trop prophétique sur la montée du populisme en Occident. Mais Russell T. Davies sait être tout aussi dévastateur pour évoquer le passé, le sien et celui de son amie d’enfance Jill, notamment, avec ce portrait croisé d’une bande d’amis et de colocs du Londres des années 1980.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Le génie du créateur est de parvenir à donner vie à une histoire pleine de nuances qui montre bien que les héros eux-mêmes ne prennent pas la mesure du danger qui les guette. Rien n'est noir ou blanc dans ce scénario, c'est l'humanité qui l'emporte avec tous ses défauts et ses débordements d'énergie, ce flux vital qui fait tellement de bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Laura Berny
Résultat, sur une bande-son d'anthologie, une oeuvre chorale qui vous embarque dans une montagne russe émotionnelle jamais larmoyante et souvent hilarante. Une vraie claque.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
20 Minutes
par Fabien Randanne
Cette fiction chorale, souvent bouleversante, parfois drôle, toujours attachante, n’a pas forcément l’air politique au premier abord. Or, cette dimension réside dans le point de vue et la manière de raconter ces histoires. (...) Russel T. Davis, à travers sa mini-série, fait à sa manière œuvre de pédagogie et sous les atours pop de ces cinq épisodes rythmés par des tubes eighties, adresse un bras d’honneur aux homophobes, bigots et conservateurs.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Monde
par Thomas Sotinel
A la réussite constante d’une entreprise qui consiste à mettre les procédés dramatiques de la série au service d’une réflexion historique et politique, sans jamais sacrifier le plaisir qu’on peut prendre au spectacle, il faut ajouter deux autres raisons de voir It’s a Sin. D’abord la comparaison qu’elle permet entre deux pandémies. (...) Enfin, la vision d’It’s a Sin renvoie forcément à celle de 120 battements par minute (...). Non seulement la confrontation des deux œuvres met au jour les spécificités de deux manières d’être homophobe (...) mais elle dit aussi beaucoup de ce qui unit et sépare les séries et le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
Créée par l’indispensable Russel T Davis, It’s a Sin suit le quotidien de cinq jeunes londoniens confrontés à l’épidémie du sida au début des années 80. Inspiré par sa propre expérience, le showrunner plonge en cinq épisodes (...) dans une décennie charnière, et même de façon bouleversante l’extase de la fête au tragique de la maladie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Jonathan Blanchet
Imaginée comme une série chorale fébrile et énergique qui décrit la conquête exaltante de nouveaux horizons, It’s a Sin confronte une jeunesse immarcescible à l’incertitude et à la peur du lendemain, souvent dans la même scène et avec une justesse étonnante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Vanity Fair
par Norine Raja
Si Russell T. Davies lie l’intime à l’universel, la force d’It’s a Sin réside dans la mise en scène de ces destins ordinaires, symboles d’une génération sacrifiée. Au sein d'une troupe d'acteurs charismatiques et talentueux, Lydia West alias Jill Baxter, déjà vue dans Years and Years, est une véritable révélation.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Sans adhérer tout à fait à cet enthousiasme débridé – la faute à un dernier tiers, un chouïa moins inspiré –, on reste sacrément preneur. Portée par une brillante brochette de comédiens, jonglant avec une myriade de tons et de genres (comédie musicale, fable sociologique…), la série saisit avec force et simplicité les paradoxes tragiques d’une génération martyre, héritière des années hippies et pionnière à ses dépens d’une ère d’austérité et de prévention.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Figaro
Il nous avait balancé un uppercut émotionnel dans Years and Years, imaginant un futur terrifiant et bien trop prophétique sur la montée du populisme en Occident. Mais Russell T. Davies sait être tout aussi dévastateur pour évoquer le passé, le sien et celui de son amie d’enfance Jill, notamment, avec ce portrait croisé d’une bande d’amis et de colocs du Londres des années 1980.
Le Parisien
Le génie du créateur est de parvenir à donner vie à une histoire pleine de nuances qui montre bien que les héros eux-mêmes ne prennent pas la mesure du danger qui les guette. Rien n'est noir ou blanc dans ce scénario, c'est l'humanité qui l'emporte avec tous ses défauts et ses débordements d'énergie, ce flux vital qui fait tellement de bien.
Les Echos
Résultat, sur une bande-son d'anthologie, une oeuvre chorale qui vous embarque dans une montagne russe émotionnelle jamais larmoyante et souvent hilarante. Une vraie claque.
20 Minutes
Cette fiction chorale, souvent bouleversante, parfois drôle, toujours attachante, n’a pas forcément l’air politique au premier abord. Or, cette dimension réside dans le point de vue et la manière de raconter ces histoires. (...) Russel T. Davis, à travers sa mini-série, fait à sa manière œuvre de pédagogie et sous les atours pop de ces cinq épisodes rythmés par des tubes eighties, adresse un bras d’honneur aux homophobes, bigots et conservateurs.
Le Monde
A la réussite constante d’une entreprise qui consiste à mettre les procédés dramatiques de la série au service d’une réflexion historique et politique, sans jamais sacrifier le plaisir qu’on peut prendre au spectacle, il faut ajouter deux autres raisons de voir It’s a Sin. D’abord la comparaison qu’elle permet entre deux pandémies. (...) Enfin, la vision d’It’s a Sin renvoie forcément à celle de 120 battements par minute (...). Non seulement la confrontation des deux œuvres met au jour les spécificités de deux manières d’être homophobe (...) mais elle dit aussi beaucoup de ce qui unit et sépare les séries et le cinéma.
Les Inrockuptibles
Créée par l’indispensable Russel T Davis, It’s a Sin suit le quotidien de cinq jeunes londoniens confrontés à l’épidémie du sida au début des années 80. Inspiré par sa propre expérience, le showrunner plonge en cinq épisodes (...) dans une décennie charnière, et même de façon bouleversante l’extase de la fête au tragique de la maladie.
Première
Imaginée comme une série chorale fébrile et énergique qui décrit la conquête exaltante de nouveaux horizons, It’s a Sin confronte une jeunesse immarcescible à l’incertitude et à la peur du lendemain, souvent dans la même scène et avec une justesse étonnante.
Vanity Fair
Si Russell T. Davies lie l’intime à l’universel, la force d’It’s a Sin réside dans la mise en scène de ces destins ordinaires, symboles d’une génération sacrifiée. Au sein d'une troupe d'acteurs charismatiques et talentueux, Lydia West alias Jill Baxter, déjà vue dans Years and Years, est une véritable révélation.
TéléCinéObs
Sans adhérer tout à fait à cet enthousiasme débridé – la faute à un dernier tiers, un chouïa moins inspiré –, on reste sacrément preneur. Portée par une brillante brochette de comédiens, jonglant avec une myriade de tons et de genres (comédie musicale, fable sociologique…), la série saisit avec force et simplicité les paradoxes tragiques d’une génération martyre, héritière des années hippies et pionnière à ses dépens d’une ère d’austérité et de prévention.