Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Télérama
par Marjolaine Jarry
Le résultat est un déploiement magistral en douze épisodes : à la fois enquête sous tension, au côté d’un magistrat (Vincent Lindon) qui cavale sur la piste des escrocs ; réflexion indignée sur un ultralibéralisme sans scrupules ; peinture fervente des passions humaines.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Laure Beaudonnet
D’argent et de sang est certainement la meilleure proposition sérielle française depuis Le Bureau des Légendes. Et de très loin.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Sophie Rosemont
Difficile de décrocher, même pour ceux qui connaissent déjà cette combine qui a dépouillé l'Etat français d'au moins 1,6 milliard d'euros. Les coupables ? Des personnages dignes d'un film de Scorsese : Samy Souied et Marco Mouly, deux petites frappes du microcosme juif tunisien de Belleville, acoquinés à Arnaud Mimran, magouilleur des beaux quartiers marié à une riche héritière.
Le Parisien
par Sandrine Bajos
D’un sujet complexe et rébarbatif pour ceux que la finance ne passionne pas, Xavier Giannoli en fait une fiction pédagogique et limpide.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Une série qui s'engloutit d'une traite. Musique énergique et addictive, qui suscite une question ultime : jusqu'où sont-ils capables d'aller ?
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télé Loisirs
par Agathe Moreaux
La seconde partie, diffusée prochainement, s’enfonce dans une noirceur intense. Le tout formant une œuvre saisissante et captivante à ne surtout pas rater !
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Téléstar
par Romain Nigita
Pour sa première série, le cinéaste Xavier Giannoli s'inspire du livre-enquête du journaliste Fabrice Arfi (Mediapart) pour donner naissance à un thriller financier captivant. Il rend palpable cette histoire vraie basée sur un marché totalement virtuel.
L'Humanité
par Grégory Marin
La série, aussi froide et clinique lorsqu’elle suit les enquêteurs dans leur travail de fourmi que colorée quand elle emmène le spectateur dans l’entourage des trafiquants, repose autant sur un scénario très détaillé que sur le jeu de ses acteurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Le thriller de Xavier Giannoli sur l’escroquerie des quotas carbone est, malgré des redondances et une forme de grandiloquence, une fresque brûlante et morale servie par une distribution prestigieuse menée par Vincent Lindon.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro Magazine
par Céline Fontana
Xavier Giannoli met en scène cette vaste comédie humaine avec l'ampleur, la démesure même, dont on le sait capable depuis Illusions perdues.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Il y a quelque chose de balzacien dans la trajectoire de ces filous jouant à un jeu qui va les dépasser. Des personnages romanesque à souhait, à l'image de ce thriller foisonnant, habilement réalisé et emmené par un casting de haute volée.
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
On pense souvent à "Casino", le chef d'oeuvre de l'auteur des "Affranchis", ainsi qu'au "Loup de Wall Street", mais il manque une forme de précision et de férocité à la série pour vraiment réussir ce pari.
Première
par Gael Golhen
Pour sa première incursion dans l'univers sériel, Xavier Giannoli s'empare de l'arnaque à la taxe carbone et signe un thriller rutilant qui explore la folie d'un capitalisme vorace. Derrière des personnages hauts en couleur, un polar moral et politique.
Télé 7 Jours
par Frédérick Rapilly
Avec Xavier Giannoli aux commandes, on passe dans une autre dimension. Aussi flamboyante que mélancolique, cette série en apparence sur une arnaque se distingue autant par son casting, son montage, que son ambition consistant à raconter une époque sans la juger.
Le Monde
par Audrey Fournier
Dommage que D’argent et de sang ne fasse qu’effleurer ce qui doit être réparé, à travers quelques images évoquant à gros traits le réchauffement climatique. C’est l’unique point aveugle d’une série qui, pour le reste, ne baisse pas les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télé Câble Sat
par Cédric Melon
Les plans sont précis, le montage ultra-ryhtmé, la photo absolument magnifique, la bande-originale envoûtante. Aucun temps mort. Du grand art !
Libération
par Olivier Lamm
Une série sérieuse à mort et grave, risiblement, comme le visage de Vincent Lindon, en roue libre et enroué dans le rôle de l’enquêteur des douanes intraitable et torturé. Qualité française, et gros sabots de Frédéric Planchon et Xavier Giannoli, ce dernier n’ayant jamais tâté du thriller à proprement parler et qui tombe dans tous les écueils du polar qui fronçe des sourcils, balance le clavier de l’ordinateur pour dire qu’il est frustré et regarde l’horizon dans les moments de poésie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
Le résultat est un déploiement magistral en douze épisodes : à la fois enquête sous tension, au côté d’un magistrat (Vincent Lindon) qui cavale sur la piste des escrocs ; réflexion indignée sur un ultralibéralisme sans scrupules ; peinture fervente des passions humaines.
20 Minutes
D’argent et de sang est certainement la meilleure proposition sérielle française depuis Le Bureau des Légendes. Et de très loin.
Elle
Difficile de décrocher, même pour ceux qui connaissent déjà cette combine qui a dépouillé l'Etat français d'au moins 1,6 milliard d'euros. Les coupables ? Des personnages dignes d'un film de Scorsese : Samy Souied et Marco Mouly, deux petites frappes du microcosme juif tunisien de Belleville, acoquinés à Arnaud Mimran, magouilleur des beaux quartiers marié à une riche héritière.
Le Parisien
D’un sujet complexe et rébarbatif pour ceux que la finance ne passionne pas, Xavier Giannoli en fait une fiction pédagogique et limpide.
Le Point
Une série qui s'engloutit d'une traite. Musique énergique et addictive, qui suscite une question ultime : jusqu'où sont-ils capables d'aller ?
Télé Loisirs
La seconde partie, diffusée prochainement, s’enfonce dans une noirceur intense. Le tout formant une œuvre saisissante et captivante à ne surtout pas rater !
Téléstar
Pour sa première série, le cinéaste Xavier Giannoli s'inspire du livre-enquête du journaliste Fabrice Arfi (Mediapart) pour donner naissance à un thriller financier captivant. Il rend palpable cette histoire vraie basée sur un marché totalement virtuel.
L'Humanité
La série, aussi froide et clinique lorsqu’elle suit les enquêteurs dans leur travail de fourmi que colorée quand elle emmène le spectateur dans l’entourage des trafiquants, repose autant sur un scénario très détaillé que sur le jeu de ses acteurs.
La Croix
Le thriller de Xavier Giannoli sur l’escroquerie des quotas carbone est, malgré des redondances et une forme de grandiloquence, une fresque brûlante et morale servie par une distribution prestigieuse menée par Vincent Lindon.
Le Figaro Magazine
Xavier Giannoli met en scène cette vaste comédie humaine avec l'ampleur, la démesure même, dont on le sait capable depuis Illusions perdues.
Le Journal du Dimanche
Il y a quelque chose de balzacien dans la trajectoire de ces filous jouant à un jeu qui va les dépasser. Des personnages romanesque à souhait, à l'image de ce thriller foisonnant, habilement réalisé et emmené par un casting de haute volée.
Les Inrockuptibles
On pense souvent à "Casino", le chef d'oeuvre de l'auteur des "Affranchis", ainsi qu'au "Loup de Wall Street", mais il manque une forme de précision et de férocité à la série pour vraiment réussir ce pari.
Première
Pour sa première incursion dans l'univers sériel, Xavier Giannoli s'empare de l'arnaque à la taxe carbone et signe un thriller rutilant qui explore la folie d'un capitalisme vorace. Derrière des personnages hauts en couleur, un polar moral et politique.
Télé 7 Jours
Avec Xavier Giannoli aux commandes, on passe dans une autre dimension. Aussi flamboyante que mélancolique, cette série en apparence sur une arnaque se distingue autant par son casting, son montage, que son ambition consistant à raconter une époque sans la juger.
Le Monde
Dommage que D’argent et de sang ne fasse qu’effleurer ce qui doit être réparé, à travers quelques images évoquant à gros traits le réchauffement climatique. C’est l’unique point aveugle d’une série qui, pour le reste, ne baisse pas les yeux.
Télé Câble Sat
Les plans sont précis, le montage ultra-ryhtmé, la photo absolument magnifique, la bande-originale envoûtante. Aucun temps mort. Du grand art !
Libération
Une série sérieuse à mort et grave, risiblement, comme le visage de Vincent Lindon, en roue libre et enroué dans le rôle de l’enquêteur des douanes intraitable et torturé. Qualité française, et gros sabots de Frédéric Planchon et Xavier Giannoli, ce dernier n’ayant jamais tâté du thriller à proprement parler et qui tombe dans tous les écueils du polar qui fronçe des sourcils, balance le clavier de l’ordinateur pour dire qu’il est frustré et regarde l’horizon dans les moments de poésie.