Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Parisien
par Carine Didier
Chacun des six épisodes apporte sa dose de tensions et de noirceur, d'ironie aussi. Dans le rôle du père de famille aux abois, Éric Cantona par ailleurs flic marginal pour France 3 dans « Le Voyageur », se révèle tour à tour attachant, inquiétant, lucide, ou emporté par une sorte de folie jusqu'au-boutiste. Autour de lui, chapeau aussi aux comédiens dont Suzanne Clément, Alex Lutz (le grand patron), et Gustave Kervern (le bon copain), épatants dans cette fiction ultra-prenante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Câble Sat
par La rédaction
La mini-série, adaptée d’un roman de Pierre Lemaitre, offre à Eric Cantona un des meilleurs rôles de sa carrière. Qu’il soit ému, en colère, révolté ou résigné, dans tous les registres, il est parfait. La série dénonce avec vigueur et pertinence les rouages d’un système cynique et inhumain.
La critique complète est disponible sur le site Télé Câble Sat
Télé Loisirs
par La rédaction
Un sujet très fort et tristement moderne pour cette nouvelle série (...). Il faut saluer la justesse de l'interprétation d'Eric Cantona, formidable dans le rôle d'un homme résigné à la colère sourde. L'intrigue fait monter petit à petit une tension qui donne l'irrésistible envie de voir la suite.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télé Z
par S.B.
Une vision sombre mais réaliste du travail dans la société moderne. Tout le monde joue sa partition à merveille, à commencer par Suzanne Clément et Alex Lutz.
La critique complète est disponible sur le site Télé Z
Télérama
par Guillemette Odicino
On plonge sans réserve dans cette série qui mêle polar social, drame familial et chronique judiciaire, à condition d’adhérer à ses deux postulats puissants : un ton pamphlétaire, mais gorgé de dérision, porté par la voix et tout le corps d’un Cantona quasi schizophrène (chef de famille affolé d’un naturel confondant et vengeur social soliloquant), et une peinture effrayante, outrée, du cynisme libéral qu’incarne Alex Lutz en pdg glaçant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Le principal intérêt de Dérapages se joue dans son caractère hybride. La série débute comme un drame social dans la France d’aujourd’hui, où les pressions sur celles et ceux qui ne produisent pas assez de richesses aux yeux du capitalisme financier deviennent insupportables. Elle s’ébroue ensuite dans plusieurs directions, psychodrame familial, comédie pince-sans-rire, thriller financier et même judiciaire. (...) Une tentative courageuse mais inaboutie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 7 Jours
par IM
Le suspense et un casting d'excellents comédiens, Suzanne Clément et Alice de Lencquesaing en tête, sont les atouts de ce thriller, adapté du roman de Pierre Lemaitre, "Cadres noirs". Si cette mini-série rocambolesque n'évite pas toujours la caricature, on reste scotché jusqu'au dénouement.
Le Monde
par Renaud Machart
Adaptés par Pierre Lemaître (Prix Goncourt 2013) de son roman Cadres noirs (Calmann-Lévy, 2010), les dialogues sonnent souvent faux et plat en dépit de leur incarnation par Eric Cantona, à la force intranquille assez impressionnante, et par la fine actrice canadienne Suzanne Clément dans le rôle de son épouse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
Chacun des six épisodes apporte sa dose de tensions et de noirceur, d'ironie aussi. Dans le rôle du père de famille aux abois, Éric Cantona par ailleurs flic marginal pour France 3 dans « Le Voyageur », se révèle tour à tour attachant, inquiétant, lucide, ou emporté par une sorte de folie jusqu'au-boutiste. Autour de lui, chapeau aussi aux comédiens dont Suzanne Clément, Alex Lutz (le grand patron), et Gustave Kervern (le bon copain), épatants dans cette fiction ultra-prenante.
Télé Câble Sat
La mini-série, adaptée d’un roman de Pierre Lemaitre, offre à Eric Cantona un des meilleurs rôles de sa carrière. Qu’il soit ému, en colère, révolté ou résigné, dans tous les registres, il est parfait. La série dénonce avec vigueur et pertinence les rouages d’un système cynique et inhumain.
Télé Loisirs
Un sujet très fort et tristement moderne pour cette nouvelle série (...). Il faut saluer la justesse de l'interprétation d'Eric Cantona, formidable dans le rôle d'un homme résigné à la colère sourde. L'intrigue fait monter petit à petit une tension qui donne l'irrésistible envie de voir la suite.
Télé Z
Une vision sombre mais réaliste du travail dans la société moderne. Tout le monde joue sa partition à merveille, à commencer par Suzanne Clément et Alex Lutz.
Télérama
On plonge sans réserve dans cette série qui mêle polar social, drame familial et chronique judiciaire, à condition d’adhérer à ses deux postulats puissants : un ton pamphlétaire, mais gorgé de dérision, porté par la voix et tout le corps d’un Cantona quasi schizophrène (chef de famille affolé d’un naturel confondant et vengeur social soliloquant), et une peinture effrayante, outrée, du cynisme libéral qu’incarne Alex Lutz en pdg glaçant.
Les Inrockuptibles
Le principal intérêt de Dérapages se joue dans son caractère hybride. La série débute comme un drame social dans la France d’aujourd’hui, où les pressions sur celles et ceux qui ne produisent pas assez de richesses aux yeux du capitalisme financier deviennent insupportables. Elle s’ébroue ensuite dans plusieurs directions, psychodrame familial, comédie pince-sans-rire, thriller financier et même judiciaire. (...) Une tentative courageuse mais inaboutie.
Télé 7 Jours
Le suspense et un casting d'excellents comédiens, Suzanne Clément et Alice de Lencquesaing en tête, sont les atouts de ce thriller, adapté du roman de Pierre Lemaitre, "Cadres noirs". Si cette mini-série rocambolesque n'évite pas toujours la caricature, on reste scotché jusqu'au dénouement.
Le Monde
Adaptés par Pierre Lemaître (Prix Goncourt 2013) de son roman Cadres noirs (Calmann-Lévy, 2010), les dialogues sonnent souvent faux et plat en dépit de leur incarnation par Eric Cantona, à la force intranquille assez impressionnante, et par la fine actrice canadienne Suzanne Clément dans le rôle de son épouse.