Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Télé Câble Sat
par La rédaction
Inspiré de faits réels, ce récit est aussi instructif et passionnant que glaçant et nécessaire.
Télé Loisirs
par La rédaction
Une mini-série d'espionnage palpitante dans le Swinging London des années 60. Le traitement historique de la menace extrême droite britannique incarnée par Colin Jordan est traitée avec réalisme. Agnès O'casey campe avec un naturel touchant cette jeune anglaise plongée contre son gré dans une aventure politique dense et inquiétante.
Télé 7 Jours
par La rédaction
Si l'histoire est passionnante et inspirée de faits réels, le déroulé de Ridley Road manque parfois de fluidité, trop corsetée ou amidonnée dans la reconstitution de son époque. Mais ce serait dommage de ne pas aller au bout de ces 4 épisodes de cette mini-série singulière.
Télérama
par Marianne Levy
Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Télé Câble Sat
Inspiré de faits réels, ce récit est aussi instructif et passionnant que glaçant et nécessaire.
Télé Loisirs
Une mini-série d'espionnage palpitante dans le Swinging London des années 60. Le traitement historique de la menace extrême droite britannique incarnée par Colin Jordan est traitée avec réalisme. Agnès O'casey campe avec un naturel touchant cette jeune anglaise plongée contre son gré dans une aventure politique dense et inquiétante.
Télé 7 Jours
Si l'histoire est passionnante et inspirée de faits réels, le déroulé de Ridley Road manque parfois de fluidité, trop corsetée ou amidonnée dans la reconstitution de son époque. Mais ce serait dommage de ne pas aller au bout de ces 4 épisodes de cette mini-série singulière.
Télérama
Mais en oscillant constamment entre réalisme et dystopie, Ridley Road provoque l’effet opposé à celui recherché. Au lieu d’embarquer, elle lasse. Jusqu’à désintéresser du sort d’une galerie de personnages pourtant incarnés par de solides comédiens. Pions d’un jeu d’échec auto-contemplatif et sophistiqué jusqu’à la posture, ils se révèlent impuissants à nous retenir. Dommage.