Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Télé Loisirs
par Roxane Mansano
À travers les portraits de ces adolescents, Genera+ion relaie des histoires réalistes, intimes et extrêmement pertinentes pour la jeunesse d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Pierre Langlais
Oscillant entre bavardages décousus et séquences musicales, elle bondit d’un personnage à l’autre, change de point de vue pour exprimer toute la diversité d’une jeunesse en perpétuelle redéfinition de son identité, tiraillée entre engagements politiques maladroits et consumérisme, sexualité décomplexée et immaturité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Jonathan Blanchet
Il faut une poignée d’épisodes (sur seize) pour atteindre le coeur de la série, beaucoup moins inconséquente qu’en apparence. (...) Mise bout à bout, la matière est hautement inflammable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Entertainment weekly
par Kyle Fowle
Sexe, drogue, des rencontres maladroites et des coups de foudre déjoués abondent dans cette nouvelle série, mais là où Euphoria était particulièrement stylisée et sinistre, Generation est beaucoup plus légère.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Le Monde
par Audrey Fournier
Diffusée sur HBO Max, Genera+ion semble s’adresser à un public un peu plus jeune, d’où peut-être ces blagues scatologiques qui rappellent l’époque American Pie, ces parties d’action ou vérité terminées par des baisers en forme de trahison.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
En plongeant au sein d’un groupe de lycéen·nes queer, cette série tente de prendre acte de la déconstruction sexuelle et genrée d’une génération mais reste à la surface de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
The A.V. Club
par Saloni Gajjar
Genera+ion a tendance à se perdre dans des dispositifs narratifs fantaisistes. La série a déjà la comédie, mais elle doit s'attarder davantage sur les développements réels et sincères des personnages pour vraiment briller.
La critique complète est disponible sur le site The A.V. Club
Vulture
par Kathryn VanArendonk
Au-delà de la simple mécanique des adolescents qui s'envoient constamment des SMS, Genera+ion est, jusqu'à présent, indifférente aux conséquences émotionnelles et sociales des réseaux sociaux et de la connexion numérique permanente.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
Le Figaro
par Constance Jamet
Arrivant après Euphoria, Sex Education et l'élégiaque We Are Who We Are, Genera+ion semble presque formaté. Un comble. Le feuilleton, aux dialogues qui sonnent parfois comme une caricature de l'idéologie woke, n'a d'ailleurs pas pas été renouvelé par HBO.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
indieWIRE
par Jude Dry
Écrit par le duo père/fille Daniel et Zelda Barnz, cette série de 30 mn hyperactive essaie d'être trop de choses à la fois.
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Télé Loisirs
À travers les portraits de ces adolescents, Genera+ion relaie des histoires réalistes, intimes et extrêmement pertinentes pour la jeunesse d'aujourd'hui.
Télérama
Oscillant entre bavardages décousus et séquences musicales, elle bondit d’un personnage à l’autre, change de point de vue pour exprimer toute la diversité d’une jeunesse en perpétuelle redéfinition de son identité, tiraillée entre engagements politiques maladroits et consumérisme, sexualité décomplexée et immaturité.
Première
Il faut une poignée d’épisodes (sur seize) pour atteindre le coeur de la série, beaucoup moins inconséquente qu’en apparence. (...) Mise bout à bout, la matière est hautement inflammable.
Entertainment weekly
Sexe, drogue, des rencontres maladroites et des coups de foudre déjoués abondent dans cette nouvelle série, mais là où Euphoria était particulièrement stylisée et sinistre, Generation est beaucoup plus légère.
Le Monde
Diffusée sur HBO Max, Genera+ion semble s’adresser à un public un peu plus jeune, d’où peut-être ces blagues scatologiques qui rappellent l’époque American Pie, ces parties d’action ou vérité terminées par des baisers en forme de trahison.
Les Inrockuptibles
En plongeant au sein d’un groupe de lycéen·nes queer, cette série tente de prendre acte de la déconstruction sexuelle et genrée d’une génération mais reste à la surface de ses personnages.
The A.V. Club
Genera+ion a tendance à se perdre dans des dispositifs narratifs fantaisistes. La série a déjà la comédie, mais elle doit s'attarder davantage sur les développements réels et sincères des personnages pour vraiment briller.
Vulture
Au-delà de la simple mécanique des adolescents qui s'envoient constamment des SMS, Genera+ion est, jusqu'à présent, indifférente aux conséquences émotionnelles et sociales des réseaux sociaux et de la connexion numérique permanente.
Le Figaro
Arrivant après Euphoria, Sex Education et l'élégiaque We Are Who We Are, Genera+ion semble presque formaté. Un comble. Le feuilleton, aux dialogues qui sonnent parfois comme une caricature de l'idéologie woke, n'a d'ailleurs pas pas été renouvelé par HBO.
indieWIRE
Écrit par le duo père/fille Daniel et Zelda Barnz, cette série de 30 mn hyperactive essaie d'être trop de choses à la fois.