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    Sex/Life
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    88 critiques spectateurs

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    Dana
    Dana

    3 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 8 août 2021
    Difficile de regarder cette série tant le personnage principal est égoïste et détestable. Malgré le surplus de scènes sexuelles et des moments qui traînent en longueur, je l’ai tout de même regardé jusqu’au bout et la fin est tout aussi mauvaise. Seul point positif : spoiler: la fin laissé entendre que Cooper va entretenir une relation avec une femme bien bien meilleure et respectueuse que la sienne.
    Xbethdm99
    Xbethdm99

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 26 juin 2021
    Je met 3 et non 0 car enfin, ENFIN nous avons accès à une série qui se concentre sur le regard d’une femme sur son monde. Une série qui questionne la sainteté Maternité, la sainteté Monogamie, la sainteté Fidelité, la question du désir, du prix de nos choix. Faire des enfants au chouette type à la libido moyenne, quitter la ville pour la banlieue, devenir mère + que femme ? Le bonheur se trouve t il dans la sécurité ? La sécurité est elle plus valable que le sentiment d’être vivant ? Qu’est ce qui compte ? Est ce que ça change ? Je ne met pas 5 car la conclusion de la série penche du côté puritain du choix, et que ça me gave. Hâte de voir les futurs femmes de notre société oser défendre leurs instincts et leur passion au prix de la sécurité. Hâte de voir les femmes oser vivre fort et être elles mêmes. Ps : aux femmes qui me lisent : faites vos études, ou reprenez les, faites l’amour, faites de l’argent et devenez libre de choisir réellement le genre de vie que vous souhaitez expérimenter. Vous avez le devoir de choisir pour vous mêmes !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 2 juillet 2021
    J'ai adoré.
    Il est vrai que l'on peut retrouver beaucoup de clichés. Que cette série peut être vu comme une histoire de sexe, un bad boy et un gentleman etc...
    Mais quand on vit cette situation, on comprend que celui qui a écrit le scénario doit avoir vécu ces sentiments d'attirances inexplicables.
    J'ai été ce connard de Brad. Mais j'ai laissé filé l'amour de ma vie par manque d'investissement. Ma p'tite femme était complètement sous emprise de mon charme et moi du sien. Il y avait une attirance qui nous poussait à faire ce dont on n'aurait jamais fait avec quelqu'un d'autre. Quand nous faisions l'amour nous ne formions plus qu'une seul personne, totalement abandonné l'un à l'autre. Je connaissais parfaitement son corps et elle de même...
    Mais il n'y a pas que le sexe dans la vie. Même si pour nous deux c'était tellement intense que ça effaçait tout le reste.
    J'ai essayé de la récupérer. Je n'étais plus le même homme. Je me suis promis d'être bien meilleur mais il était trop tard. Comme dans la série elle m'a dit mais pourquoi tu n'étais cet homme quand nous étions ensemble...? Parce que c'est cette relation qui m'a rendu bien meilleur. Sans elle je serais resté un connard irresponsable.
    Je l'ai poussé dans les bras d'un homme comme Cooper. Je l'ai perdu et je ne me le pardonnerai jamais. Moralité soyez un Cooper. Pas un Brad.
    Cette série, du moins cette saison, est le récit de mon grand amour perdu.
    Melissa k.
    Melissa k.

    12 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 9 juillet 2021
    J'espère qu'il y aura une saison 2. Parce que même si c'est hyper cliché (belle maison, jolie petite famille etc...) et que les scènes sont un peu crues, la série mets bien en avant toutes les questions qu'un couple peut se poser durant une longue relation. J'ai adoré ! Merci.
    Espoir-cm
    Espoir-cm

    2 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 9 juillet 2021
    Bonsoir,
    Quelle déception ! Quel cliché ! Mais quell nullité !!Une nana en dépendance affective limite nymphomane n’arrive pas à s.en défaire face un perverts manipulateur. Alors qu’elle avait tout pour été heureuse. La saison 2 , je ne la regarderai pas .
    Amine Diouri
    Amine Diouri

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 6 juillet 2021
    Une merde intersidérale. Une vulgaire série érotique sans aucune intrigue, qui fait passer 50 nuances de Grey pour un chef d'oeuvre du cinéma
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 17 juillet 2021
    Enfin une série qui ose aborder un point de vue féminin, un point de vue où la femme, malgré le bonheur qui l'entoure, a besoin de plus. Oui ça arrive, c'est peut être clichés mais cela arrive. Et à mes yeux, cette série n'est pas malsaine. Au contraire, il est important de rappeler qu'une femme peut aussi avoir des désirs, être perdue, ne pas être sûre de la vie qu'elle mène. Je remercie Netflix pour ENFIN avoir amené ce débat, cette discussion autour d'un sujet, aujourd'hui encore, beaucoup trop tabou !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 10 juillet 2021
    Cliché land, les protagonistes sont ultra caricaturaux. Triangle amoureux vu et revu entre "le parfait mari bien rangé" et le "bad boy instable", sauf que le bad boy baise (désolé) bien et le mari est un peu en panne sur ce point de vue. Si la vie ne se résumait qu'à une taille de sexe et comment s'en servir ce serait bien triste et c'est ce que cette série essaie de démontrer au fil de ses épisodes, dommage.
    Louis C
    Louis C

    14 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 2 juillet 2021
    Une femme en couple avec des enfants et son mari vivent le bonheur sauf qu'elle est légèrement nymphomane et polyandrie ,elle va tout gâcher ou de la va s'en dérouler 8 épisodes ,long, limite pénible.Serie sentimentale ,sexe, plus pour la gente féminine .En gros c'est pas mon style de série.Ma note:2
    Kazaki
    Kazaki

    9 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 10 juillet 2021
    Une série qui montre à quel point la femme à un sérieux problème d'hypergamie. Un problème qu'il est urgent de régler quand on prône aux hommes le féminisme jour et nuit. Le plus dingue, c'est que ce soit Netflix qui diffuse une série de ce genre. La prémisse de celle-ci ne tient que sur le fait qu'une femme décide de tromper son mari qu'elle trouve trop « doux, gentil, attentionné… » le parfait provider avec le beau mâle alpha un peu « bad boy, dangereux, …». Netflix a réussi à romancer ce genre de pratique ultra malsaine et toxique pour en faire une série (en espérant qu'il n'y ait pas de saison 2). Si les sexes auraient été inversés entre les protagonistes, jamais on aurait une telle daube sur la plateforme et tout le monde crierait au sexisme.

    Ceci dit, il faut reconnaitre que les femmes sont plus que jamais conscientes de leurs défauts et de leurs dons de manipulatrice, on le sent avec cette série. Car il n'y a rien de plus vrai qu'une femme qui va user de sa beauté et de sa fertilité pour sauter avec le mâle alpha et profiter des ressources et de l'argent du bêta. Que cette série permettent aux hommes de se réveiller et d'arrêter de prôner l'égalité homme-femme à tout va pour des femmes qui veulent les transformer en sac à main empli de frustration. Un mâle alpha n'est jamais le féministe à la botte des femmes (et c'est ça qu'elles aiment), mais un bêta l'est sans problème (et c'est là tout l'inconvénient).
    Sandrine P
    Sandrine P

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 2 juillet 2021
    N’empêche son mari il est trop beau, je l’imagine trop dire « ich bin ein Berliner » avec un accent sexy.
    Mais cliché obligé, elle préfère la petite frappe avec ses jean en cuir; moi aussi.
    Miléna GASPARIAN
    Miléna GASPARIAN

    2 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 5 août 2021
    Ce qui me révolte le plus, c'est les avis positifs des femmes qui disent "enfin une série vue du point de vue féminin". Non! Non! Non! Je suis une femme mais non je ne suis pas nymphomane moins encore infidèle.
    C'est triste de constater qu'en 2021 on confond le féminisme avec l'infidélité, le débat égalité homme/femme avec une histoire de goût médiocre démontrant une femme qui ne mériterait pas le respect.
    Peu importe l'ère, le respect et l'honnêteté ne peuvent être oubliés.
    Le problème dans cette série n'est pas le fait, pour Billie, de passer de son mari à son ex dans un cercle vicieux. En fait, comme une femme et un être humain, je peux comprendre: l'ennui installé dans le couple après les enfants; le sentiment de nostalgie envers son ex; les sentiments remontés avec le temps... En revanche, ce que je ne comprends pas c'est : spoiler: se faire un petit plais' en regardant son ex baiser sa meilleure amie (amitié douteuse à mon gout, je suis peut être trop vieille-école) et surtout ! surtout ! l'infidélité.
    spoiler: T'as envie d’être avec ton ex? Vas y ! Mais le faire en disant j'ai un mec et ne le quitterai pas,
    et avoir des nanas qui trouvent ça géniale et le justifient, parce qu'elle fait ce qu'elle veut, c'est non.
    Parlez pour vous-mêmes mesdames, lorsque vous dites qu'elle a fait ce qu'il fallait faire. Non, spoiler: elle s'est comportée comme une salope ne méritant ni son mec ni son ex
    , c'est la personne la plus déloyale de la série, qui veut avoir le beurre et l'argent du beurre. spoiler: Si elle suivait son cœur et quittait son mari, je comprendrais encore
    . Mais pitié il faut arrêter de se ridiculiser au nom du féminisme (un faux débat d'ailleurs, rien à voir, celles à l'origine du féminisme doivent avoir honte de ce que c'est devenu aujourd'hui) et au nom de la libération de la pensée.
    Il y a une différence entre être libre / féministe et spoiler: être une nymphomane malade et déloyale
    :)
    Voilà pour moi, j'ai trouvé la série particulièrement nulle, j'ai même créé un compte pour émettre un avis, pour contrer les avis des femmes qui disent que c'est bien. C'était pour dire que moi, une femme, émancipée, gagnant ma vie très bien, en couple, je ne suis pas dans le même pot d'infidélité et d'instabilité que vous ;)
    Sur ce...
    NickCarrca
    NickCarrca

    1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 15 juillet 2021
    Billie a une vie rêvée : un mari parfait, deux enfants parfaits, une maison superbe dans une « banlieue » superbe, bref une vie bien rangée dans un quartier type Wisteria Lane. Problème ? Si sa vie de femme/mère parfaite ne laisse aucun doute à l’extérieur, à l’intérieur elle bouillonne et se remémore ses grandes frasques de jeunesse notamment avec Brad, son amant tête brûlée, bombe à retardement, de l’époque. Elle commence la rédaction de son journal sans omettre les détails les plus explicites de son passé sexuel avec le bad boy. Les ennuis commencent lorsque que Cooper (le mari) tombe sur la prose de son épouse. Beaucoup de flash back pour expliquer le passé des uns et des… non en fait surtout celui de Billie

    Comme 50 Nuance de Grey il pouvait être intéressant d’explorer un sujet avec authenticité et originalité mais hélas Sex Life jour sur le même tableau : clichés en tout genre, pauvreté des profils des personnages, signes de richesses ostentatoires, scénario prévisible, image des hommes et des femmes bien ternes.
    Le journal de Billie tient sur un MacBook Pro. Cooper a plus le look du quaterback de l’équipe nationale en fin de carrière que d’un banquier dans la finance. Billie a eu deux enfants mais a le corps d’une jeune fille de vingt ans. Sa meilleure amie black, est suuuuper compréhensive alors que le collègue/bon pote de Cooper est lourd, voir machiste. Dans le voisinage il y a la cul bénite qui voit New York comme un eldorado, la Milf façon porno BCBG qui a clairement des vues sur Cooper. Et bien sur Brad, qui n’a en tout et pour tout du bad boy qu’une veste en cuir et un débardeur. So risky !
    Ils sont tous aussi écervelés les uns que les autres, surtout Billie qui remporte la palme de l’égoïsme, l’immaturité et bien entendu l’incapacité à prendre une décision. Elle a pratiquement un doctorat en psychologie mais il faut croire que les cordonniers sont réellement les plus mal chaussés. Le seul qui tire son épingle du jeu est Cooper. Pas parce qu’il a le sens moral le plus aiguisé mais parce qu’il s’adonne régulièrement à une pratique inconnue des autres : réfléchir.

    Ca pue le fric de partout, ces gens vivent dans une bulle avec tout ce qu’il y a de plus détestable : bling bling, outrancière, frime. Si ça peut se comprendre pour Brad et Cooper qui ont des boulot qui rapportent, les deux « étudiantes », elles, n’ont clairement pas sur le dos des vêtements prêt à porter.

    On sait à peu près comment tout ça va finir étant donné que Billie n’a aucune volonté propre. Elle passe son temps à « écrire », sourire, se lamenter, chercher des conseils et… that’s it. Seul son statut de mère la protège de l’antipathie généralisée. Et bien entendu elle n’évolue jamais. Ses rapports avec Brad et Cooper sont des plus affligeants, elle dit oui à tout, ils décident elle obé…collabore. Sorry.

    Même les scène de sexe sont mornes, calquées sur de l’érotisme façon harlequin ou le plaisir des hommes prévaut sur celui des femmes. Subordonnées. Pour une série qui se voulait axé sur le féminin c’est loupé. Le fait de montrer les culs de Brad et Cooper toutes les vingt minutes ne suffit pas.

    En bref une série parfaite pour faire la vaisselle, le repassage, bricoler ou trier des papiers. Pour le plaisir voici quelques notes de scène des premiers épisodes :

    Épisode 1 : Billy et sa Best assistent à un concert, la best finit par tailler une pipe au chanteur mais s’interrompt à peine quand Billy vient lui dire : chérie je rentre. Même Samantha Jones, le personnage féminin le plus libéré sexuellement parlant, a été un chouilla mal à l’aise quand Carrie l’a surprise. Au moins le chanteur lui rend la réciproque, mais on ne voit pas la best prendre son pied comme lui l’a pris quelque secondes avant. Scusi, mais c’est pas sensé traiter du plaisir féminin ?
    Un drogué, manifestement, accoste Billy mais Brad intervient. Thanks lord, on était à deux doigts d’une véritable agression. Le prince charmant a été mandaté par la best de ramener l’héroine, comme quoi même en plein orgasme best friends forever. Billy fait alors la morale à Brad concernant l’impact environnemental d’une voiture en ville en plus du coup que cela représente alors qu’il vient de l’aider en repoussant le marginal. Logique. Devant le 4x4 de Brad toute empathie envers les ours polaires disparaît soudainement. Sorry Antartica but big penis, hmm, cars, win.
    Dans la bagnole elle le perce à jour en deux secondes, une analyse psychologique bien clichée et pompeuse. C’est le papa de Brad qui doit pas être content. Comme Mr Grey on s’attend à une explication sur son passé qui vaudra de norme absolue et la nana en face devra donc se taire. That’s it baby, those are the rules. Bref. Il aime les belles choses, but who doesn’t, alors il vit dans un studio de 300m2 avec roof top en plein Manattan. Everybody does.
    « L’intensité de nos conversations me rendait folle. » Meuf, il t’en a juste mis plein la vue en 15 minutes, vous avez à peine discuté.
    Retour au présent, et bien oui tout repose sur des allers retours passé/présent, Billie est perturbée par ces souvenir et fonce voir sa pote qui vit encore à New York, à l’improviste. En 2021 débarquer chez quelqu’un sans prévenir, même quand c’est ta best, c’est hyper mal élevée, surtout qu’elle a eu le temps pendant le transport. Mais fallait pas niquer le plot-twist : Brad est chez sa best et de toute évidence ils ont couché ensemble. Holy crap !

    Épisode 2 : Billy est à Grand Central, mais si c’est cette gare immense de New-York qui relie la ville qui ne dort jamais à la banlieue et aux autres états. Mais c’est pas si grand que ça car la Best arrive quand même à la retrouver aux WC. Cimer le GPS narratif.
    Huit ans après son chanteur la best est quand même choquée de voir Billy les seins à l’air pour se débarrasser de sa montée de lait. Ok, sure.
    On en apprend un peu plus sur Cooper, dear Coop with his perfect tushy. Il a d’abord été un vilain banquier dans la finance qui roulait en Porsche et passait Noël sur une plage de sable blanc. You’re a bad man ! Mais ça c’était avant. Because now, Cooper est du bright side. C’est un financier sympa à vocation sociale. Il en a conservé tous les clichés : costumes bombants ultras cintrés, la rollex, peut-être que la Porsche c’est juste pour le week-end, for the sport, parce qu’avec des gosses un monospace c’est quand même plus usefull.
    Le coup du métro qui manque de tuer Brad et Billie : what the fuck ? À la rigueur dans un pays ou les armes à feu sont facilement accessibles, tentez la roulette russe les gars. Il y a des façons beaucoup plus saines et stimulantes si on aime jouer avec le feu. Mais Billy a trouvé ça soo amazing qu’elle ne pense qu’à embrasser Brady et lui toucher les fesses. C’pas comme si elle était étudiante et enseignante en psychologie, non non, elle se laisse influencer par un badboy because blond, 1m95, pecs et abdos saillants. Of course.
    Donc forcément quand Coop et son épouse kinky se retrouvent à un concert BCBG c’est tout de suite moins...brûlant. Seriously.
    Le trip exhib, lieu public et tout ça colle nettement plus à Billy et Coop, mais pas question de faire ça dans un parc ou une aire de stationnement. Nein. Dans la propriété d’une villa dans laquelle everyone’s welcome, on y entre easy peacy. La nounou Milf est super contente (et jalouse ?) de les voir revenir. Le héros de la soirée est congratulé par l’envieuse, good job big man.

    Épisode 3 : Le pompon. Cooper suit Brad parce que… on sait pas trop en fait. Quoi qu’il en soit le gentil papa quarantenaire, professionnellement brillant, époux exemplaire est intimidé parce que Brad en a une plus grosse que lui. This is not a joke. He saw it under the shower. Of course.

    Allez, on va s’arrêter là.
    GIJoe
    GIJoe

    107 abonnés 592 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 12 février 2022
    Cette série se regarde d'un œil distrait sans jamais décoller de la psychologie de comptoir et des twists capillotractés qui s'enchaînent. Billie, personnage "principal" est complètement creuse. Elle se prend pour une femme libérée mais n'est rien d'autre qu'une petite fille paumée qui tente péniblement de jouer à l'adulte.
    Quant à Sarah Shahi, elle est monoexpressive et parle souvent dans un souffle pour tenter de se créer un côté sexy mais tout en restant désespérément vide. Par contre son agent a dû lui vendre un forfait "seins" puisqu'elle les dénude à la moindre occasion. L'actrice est aussi pathétique dans son jeu que Billie dans sa vie. Surjouer grossièrement sa sexualité n'est pas du tout féministe car au final, ce personnage est joué au bénéfice de l'homme et pour faire croire aux femmes que c'est mieux d'être comme ça que femme "normale" ayant une vie de couple heureuse. Bref, un porno cheap qui ne restera pas dans les annales...
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 24 juillet 2021
    Probablement la pire série de tout les temps. A part du sexe il ne se passe rien c'est fade sans intérêt. Beaucoup de bruit pour une scène de douche.
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