Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Kirt, Camille, Janay, Indigo et Honeybear nous font vibrer au rythme de leurs émotions et de leurs interrogations. La mise en scène de Crystal Moselle (qui prolonge ici son film « Skate Kitchen » de 2018) est lumineuse et entraînante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Los Angeles Times
par Robert Lloyd
Cette série parle de la jeunesse. Elle semble innocente, mais ça ne veut pas dire naïf. Et c'est, presque mine de rien, exaltant. La force de Betty n'est pas dans ses intrigues, mais dans ses moments plus existentiels, évocateurs de cet âge où de petites choses peuvent sembler terriblement importantes, et inversement de grandes choses trop lointaines pour qu'on y pense, quand le temps et l'espace n'ont pas de limites.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Variety
par Caroline Framke
Les actrices sont tout de suite très à l'aise dans leur rôle et dans le rythme de la série, à tel point qu'elle ressemble plus à un documentaire qu'à une fiction scénarisée. Mais tout est bien construit, de façon à ce que chaque personnage ait droit à sa propre arche, malgré le fait qu'il n'y ait que 6 épisodes.
La critique complète est disponible sur le site Variety
The Guardian
par Adrian Horton
La série, comme le film Skate Kitchen, contient de très belles séquences entraînantes de skateboard à travers New York. Mais ce rayonne le plus, ce sont ces moments dépouillés, très documentaire avec les conversations de tous les jours de ces filles.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
The Hollywood Reporter
par Robyn Bahr
Joliment et inconsciemment queer, la série réside quelque part dans un spectre brumeux entre le matriarcat et l'été sans fin... Certains téléspectateurs se plaindront peut être que Betty ne va nulle part, ou s'empêtre trop. Il y a une langueur apaisante, une célébration de l'émancipation de la femme.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Le Figaro
par Céline Fontana
On peut louer le charme et l’authenticité des comédiens, la justesse des dialogues, la fluidité de la caméra, l’excellente BO - rap mais pas que -, les performances sur les planches, et prendre plaisir à cette déambulation indolente dans une culture underground, un univers bigarré et inédit. On peut aussi s’ennuyer ferme face à un scénario qui manque de rythme et d’enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Renaud Machart
Le temps nous a semblé d’abord un peu long. (...) Et puis, le tempo s’installe ; on s’habitue à ce qu’il ne se passe pas grand-chose, et l’on finit par se laisser toucher par la finesse des bisbilles, amourettes et parties de jambes en l’air (discrètes : on n’est pas chez Larry Clark et les skateurs très sexualisés de Wassup Rockers, 2005) entre les filles et les garçons, les filles avec les filles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Vanity Fair
par Gabriel Piozza
Le show n’est pas sans défaut (...). Six épisodes, de seulement 25 à 30 minutes chacun, empêchent d’apporter une profondeur à la plupart des personnages, qui ne nous sont ni présentés, ni caractérisés. Difficile, donc, de plonger tête la première dans le quotidien de ces skateuses, de se passionner pour un personnage plus qu’un autre.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
20 Minutes
par Aude Lorriaux
C’est dans cette échappatoire que la série prend un peu de profondeur, sans toutefois parvenir à se hisser au-delà de l’exercice de microsociologie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Entre surabondance de marques et de logos, transgression policée et envolées clipesques, "Betty" donne parfois l’impression de regarder une campagne de mode streetwear et peine à nous convaincre de la marginalité de ses figures issues de l’épicentre du cool.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Parisien
Kirt, Camille, Janay, Indigo et Honeybear nous font vibrer au rythme de leurs émotions et de leurs interrogations. La mise en scène de Crystal Moselle (qui prolonge ici son film « Skate Kitchen » de 2018) est lumineuse et entraînante.
Los Angeles Times
Cette série parle de la jeunesse. Elle semble innocente, mais ça ne veut pas dire naïf. Et c'est, presque mine de rien, exaltant. La force de Betty n'est pas dans ses intrigues, mais dans ses moments plus existentiels, évocateurs de cet âge où de petites choses peuvent sembler terriblement importantes, et inversement de grandes choses trop lointaines pour qu'on y pense, quand le temps et l'espace n'ont pas de limites.
Variety
Les actrices sont tout de suite très à l'aise dans leur rôle et dans le rythme de la série, à tel point qu'elle ressemble plus à un documentaire qu'à une fiction scénarisée. Mais tout est bien construit, de façon à ce que chaque personnage ait droit à sa propre arche, malgré le fait qu'il n'y ait que 6 épisodes.
The Guardian
La série, comme le film Skate Kitchen, contient de très belles séquences entraînantes de skateboard à travers New York. Mais ce rayonne le plus, ce sont ces moments dépouillés, très documentaire avec les conversations de tous les jours de ces filles.
The Hollywood Reporter
Joliment et inconsciemment queer, la série réside quelque part dans un spectre brumeux entre le matriarcat et l'été sans fin... Certains téléspectateurs se plaindront peut être que Betty ne va nulle part, ou s'empêtre trop. Il y a une langueur apaisante, une célébration de l'émancipation de la femme.
Le Figaro
On peut louer le charme et l’authenticité des comédiens, la justesse des dialogues, la fluidité de la caméra, l’excellente BO - rap mais pas que -, les performances sur les planches, et prendre plaisir à cette déambulation indolente dans une culture underground, un univers bigarré et inédit. On peut aussi s’ennuyer ferme face à un scénario qui manque de rythme et d’enjeux.
Le Monde
Le temps nous a semblé d’abord un peu long. (...) Et puis, le tempo s’installe ; on s’habitue à ce qu’il ne se passe pas grand-chose, et l’on finit par se laisser toucher par la finesse des bisbilles, amourettes et parties de jambes en l’air (discrètes : on n’est pas chez Larry Clark et les skateurs très sexualisés de Wassup Rockers, 2005) entre les filles et les garçons, les filles avec les filles.
Vanity Fair
Le show n’est pas sans défaut (...). Six épisodes, de seulement 25 à 30 minutes chacun, empêchent d’apporter une profondeur à la plupart des personnages, qui ne nous sont ni présentés, ni caractérisés. Difficile, donc, de plonger tête la première dans le quotidien de ces skateuses, de se passionner pour un personnage plus qu’un autre.
20 Minutes
C’est dans cette échappatoire que la série prend un peu de profondeur, sans toutefois parvenir à se hisser au-delà de l’exercice de microsociologie.
Les Inrockuptibles
Entre surabondance de marques et de logos, transgression policée et envolées clipesques, "Betty" donne parfois l’impression de regarder une campagne de mode streetwear et peine à nous convaincre de la marginalité de ses figures issues de l’épicentre du cool.