Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Figaro
par Constance Jamet
Invitation à retrouver l’émerveillement et l’imaginaire de l’enfance, portrait d’un homme en crise existentielle, ces douze épisodes, rythmés par les synthétiseurs rétro grisants de Thylacine, recréent sans nostalgie cette France des Trente Glorieuses qui se passionne pour les petits hommes verts, vénère le JT, voit les femmes s’émanciper de leurs patrons, maris et pères (...) En ce début d’année délicat, une cure d’OVNI(s) devrait être prescrite à chacun.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’agencement [d'Ovni(s)] donne naissance à cette rareté, une série comique française qui fait confiance à la faculté d’émerveillement de son public, qui préfère la poésie à la dérision sans jamais renoncer à raconter sa drôle d’histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Servie par un casting parfait et un sens du burlesque éprouvé, OVNI(S) nous plonge dans la France de Jean-Claude Bourret, que les phénomènes extraterrestres passionnaient.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Jonathan Blanchet
S’autorisant toutes les extravagances, elle est parfois à la limite de tomber dans les excès, enhardie par cet amour du genre et cette tendresse pour les années qu’elle décrit. Pourtant, elle se rattrape toujours au vol (...) Sa force ? Croire en ses capacités d’entraîner dans son univers, en toute humilité (...) Universelle et intemporelle, la série de ce début d’année.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Langlais
Comédie rétro-fantastique originale, rencontre étonnante entre Spielberg et Tati, Ovni(s) prend un temps pour nous convaincre. Comme son héros à l’inflexible moustache, on regarde d’abord, amusé, les gesticulations de son équipe farfelue. Puis, peu à peu, alors que l’intrigue se complique, un sens du merveilleux étrangement poétique et drôlement nostalgique prend le dessus.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
par Renaud Baronian
Ovni(s) (...) sort du moule habituel des séries françaises et fait figure de belle surprise de la rentrée avec ses épisodes courts de 30 minutes, le soin apporté à ses décors, son casting épatant, sa bande originale éblouissante, son humour complètement zinzin et sa mise en scène enlevée (...) malgré son côté fou-fou, Ovni(s) s'avère crédible et parvient à un équilibre rare entre fantaisie et réalisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Laura Berny
Les nostalgiques des années 1970 seront vraiment servis avec des références à la BD, à Spielberg, voire à Tati (...) Quant au casting, il est particulièrement réjouissant. En scientifique hésitant entre rationalisme scientifique et volonté d'y croire, Melvil Poupaud s'en donne à coeur joie, n'hésitant pas parfois à partir en vrille tout en restant toujours crédible.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Laura Tuillier
Bonbon pop trop sucré, la série de Canal+ peine à faire décoller son histoire de soucoupe volante inspirée des années 70 (...) Le second degré, par lequel la série paye son tribut à notre époque décillée, ne permet pas aux personnages d’exister pleinement ni aux acteurs d’y croire plus que ça.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaro
Invitation à retrouver l’émerveillement et l’imaginaire de l’enfance, portrait d’un homme en crise existentielle, ces douze épisodes, rythmés par les synthétiseurs rétro grisants de Thylacine, recréent sans nostalgie cette France des Trente Glorieuses qui se passionne pour les petits hommes verts, vénère le JT, voit les femmes s’émanciper de leurs patrons, maris et pères (...) En ce début d’année délicat, une cure d’OVNI(s) devrait être prescrite à chacun.
Le Monde
L’agencement [d'Ovni(s)] donne naissance à cette rareté, une série comique française qui fait confiance à la faculté d’émerveillement de son public, qui préfère la poésie à la dérision sans jamais renoncer à raconter sa drôle d’histoire.
Les Inrockuptibles
Servie par un casting parfait et un sens du burlesque éprouvé, OVNI(S) nous plonge dans la France de Jean-Claude Bourret, que les phénomènes extraterrestres passionnaient.
Première
S’autorisant toutes les extravagances, elle est parfois à la limite de tomber dans les excès, enhardie par cet amour du genre et cette tendresse pour les années qu’elle décrit. Pourtant, elle se rattrape toujours au vol (...) Sa force ? Croire en ses capacités d’entraîner dans son univers, en toute humilité (...) Universelle et intemporelle, la série de ce début d’année.
Télérama
Comédie rétro-fantastique originale, rencontre étonnante entre Spielberg et Tati, Ovni(s) prend un temps pour nous convaincre. Comme son héros à l’inflexible moustache, on regarde d’abord, amusé, les gesticulations de son équipe farfelue. Puis, peu à peu, alors que l’intrigue se complique, un sens du merveilleux étrangement poétique et drôlement nostalgique prend le dessus.
Le Parisien
Ovni(s) (...) sort du moule habituel des séries françaises et fait figure de belle surprise de la rentrée avec ses épisodes courts de 30 minutes, le soin apporté à ses décors, son casting épatant, sa bande originale éblouissante, son humour complètement zinzin et sa mise en scène enlevée (...) malgré son côté fou-fou, Ovni(s) s'avère crédible et parvient à un équilibre rare entre fantaisie et réalisme.
Les Echos
Les nostalgiques des années 1970 seront vraiment servis avec des références à la BD, à Spielberg, voire à Tati (...) Quant au casting, il est particulièrement réjouissant. En scientifique hésitant entre rationalisme scientifique et volonté d'y croire, Melvil Poupaud s'en donne à coeur joie, n'hésitant pas parfois à partir en vrille tout en restant toujours crédible.
Libération
Bonbon pop trop sucré, la série de Canal+ peine à faire décoller son histoire de soucoupe volante inspirée des années 70 (...) Le second degré, par lequel la série paye son tribut à notre époque décillée, ne permet pas aux personnages d’exister pleinement ni aux acteurs d’y croire plus que ça.