Gossip Girl, nouvelle génération : Critiques de la presse
Gossip Girl, nouvelle génération
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
2,3
8 titres de presse
Time
Variety
Entertainment weekly
Konbini
Télérama
Vulture
Le Parisien
TV Guide
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Time
par Judy Berman
Un reboot tout à fait acceptable pour une série qui ne devrait pas exister.
La critique complète est disponible sur le site Time
Variety
par Caroline Framke
Au-delà de réénergiser la figure de cyberharceleur de Gossip Girl, la série inscrit ses personnages centraux dans un groupe d'amis dont les dynamiques sont à la fois familières et rafraîchissantes.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Entertainment weekly
par Kristen Baldwin et Darren Franich
Ce nouveau Gossip Girl est bien plus sensible à tous les niveaux, d'une manière qui paraît à la fois tout à fait sincère et brutalement ennuyeuse. (...) On pourrait avoir envie de qualifier ce reboot de désastre, mais il pourrait en résulter quelque chose de positif si les scénaristes se mettaient d'accord pour retourner aux bases de la "garcerie".
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Konbini
par Marion Olité
Le reboot de Gossip Girl est aussi bling-bling que l’original, mais manque de mordant. (...) Un peu long, un peu bancal, ce reboot de Gossip Girl peine à récupérer sa couronne de teen drama qui assume sa silliness et son côté sassy. Un peu comme si les scénaristes avaient peur de rendre leurs personnages issus de la diversité et de minorités trop bitchy.
La critique complète est disponible sur le site Konbini
Télérama
par Marion Michel
On reprend presque les mêmes et on recommence. Moins blanc, moins hétéro, ce faux reboot laisse songeur. À force de name-dropping et de précautions scénaristiques criantes de progressisme, le drama perd en méchanceté et s’amollit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Vulture
par Kathryn VanArendonk
Une grande partie de la nouvelle Gossip Girl est une refonte familière de ce qui avait fait l’intérêt de la première série. Et pourtant, elle veut aussi être une révolution, et pense qu’elle doit en être une, même si elle n’a aucune idée de ce que cela veut dire et de contre quoi elle devrait s’élever. Elle est fondamentalement creuse et frivole, parsemée de paillettes, d’infidélité et d’étudiants qui convoitent leurs professeurs.
La critique complète est disponible sur le site Vulture
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Le principal problème de cette nouvelle version est qu’aucun des héros n’est attachant. Même si une once de sympathie se dessine pour l’un, elle est très vite anéantie par un virage dans le scénario. Celui-ci veut d’ailleurs aller trop vite, enchaînant les retournements de situations sans même prendre le temps d’en explorer les ramifications.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Time
Un reboot tout à fait acceptable pour une série qui ne devrait pas exister.
Variety
Au-delà de réénergiser la figure de cyberharceleur de Gossip Girl, la série inscrit ses personnages centraux dans un groupe d'amis dont les dynamiques sont à la fois familières et rafraîchissantes.
Entertainment weekly
Ce nouveau Gossip Girl est bien plus sensible à tous les niveaux, d'une manière qui paraît à la fois tout à fait sincère et brutalement ennuyeuse. (...) On pourrait avoir envie de qualifier ce reboot de désastre, mais il pourrait en résulter quelque chose de positif si les scénaristes se mettaient d'accord pour retourner aux bases de la "garcerie".
Konbini
Le reboot de Gossip Girl est aussi bling-bling que l’original, mais manque de mordant. (...) Un peu long, un peu bancal, ce reboot de Gossip Girl peine à récupérer sa couronne de teen drama qui assume sa silliness et son côté sassy. Un peu comme si les scénaristes avaient peur de rendre leurs personnages issus de la diversité et de minorités trop bitchy.
Télérama
On reprend presque les mêmes et on recommence. Moins blanc, moins hétéro, ce faux reboot laisse songeur. À force de name-dropping et de précautions scénaristiques criantes de progressisme, le drama perd en méchanceté et s’amollit.
Vulture
Une grande partie de la nouvelle Gossip Girl est une refonte familière de ce qui avait fait l’intérêt de la première série. Et pourtant, elle veut aussi être une révolution, et pense qu’elle doit en être une, même si elle n’a aucune idée de ce que cela veut dire et de contre quoi elle devrait s’élever. Elle est fondamentalement creuse et frivole, parsemée de paillettes, d’infidélité et d’étudiants qui convoitent leurs professeurs.
Le Parisien
Le principal problème de cette nouvelle version est qu’aucun des héros n’est attachant. Même si une once de sympathie se dessine pour l’un, elle est très vite anéantie par un virage dans le scénario. Celui-ci veut d’ailleurs aller trop vite, enchaînant les retournements de situations sans même prendre le temps d’en explorer les ramifications.
TV Guide
Un reboot toxique.