Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
La Voix du Nord
par Théodore Terschlusen
On se laisse prendre au piège, sans mauvais jeu de mot, et on suit, avant-arrière, et retour, son chemin de Petit Poucet parsemé de cadavres carbonisés.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Constance Jamet
Au-delà, Le Serpent ébauche en filigrane la désillusion du rêve hippie plus âpre et ambitieux que les clichés Woodstock « peace, love et fumette ». Il montre l’emprise de Sobhraj sur ses complices et sa compagne québécoise souffre-douleur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Au final, l’acteur, méconnaissable, s’avère carrément bluffant. Tout comme la mise en scène, qui parvient à nous plonger totalement dans l’ambiance, aussi exotique que dérangeante, et l’imagerie de cette époque d’insouciance « peace and love » en Asie… qui a alors basculé dans l’épouvante. Une très grande réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
Le venimeux Serpent offre à un Tahar Rahim métamorphosé un vrai rôle de méchant digne de son talent. Et nous embarque dans un thriller envoûtant et additif.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Jouant habilement de la fascination trouble exercée par le personnage et orchestrant des moments de tension délicieusement insoutenables, Le Serpent est l’une de ces séries qui vous cueillent sans crier gare et mettent votre sommeil en danger, une œuvre dont le venin ne se dissipera qu’après en être venu à bout – le plus vite possible.
Marianne
par Myriam Perfetti
En recréant très justement l’époque – décors, accessoires, costumes et bande-son – et en tissant une ambiance poisseuse, malsaine et angoissante, Le Serpent distille à merveille son venin.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Le Monde
par Audrey Fournier
Le marketing de cette coproduction Netflix/BBC, dont les manettes ont été confiées à deux scénaristes issus du polar british, a beau jouer sur le pouvoir d’attraction de la figure du tueur en série, la principale faiblesse du Serpent est peut-être de ne pas tout à fait élucider les raisons pour lesquelles ce petit truand débrouillard voue ses victimes à la mort après les avoir détroussées.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par François Léger
A priori, le thriller s’annonce implacable, huit épisodes qui devraient défiler à la vitesse de l’éclair. Sauf que la photographie du Serpent, absolument immonde et pas très loin d’une production TF1, met à mal la machine à suspense, rendant grotesques des scènes qui devaient être un sommet de tension.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Langlais
À force de vouloir être vénéneuse, la série se complaît dans la mise en scène classique (et problématique) du serial killer comme un monstre fascinant, ne laissant qu’un espace réduit pour rappeler son côté pathétique et la brutalité du traitement qu’il réserve à Marie-Andrée – une victime plus ou moins consentante, dont le calvaire est sous-exploité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
On se laisse prendre au piège, sans mauvais jeu de mot, et on suit, avant-arrière, et retour, son chemin de Petit Poucet parsemé de cadavres carbonisés.
Le Figaro
Au-delà, Le Serpent ébauche en filigrane la désillusion du rêve hippie plus âpre et ambitieux que les clichés Woodstock « peace, love et fumette ». Il montre l’emprise de Sobhraj sur ses complices et sa compagne québécoise souffre-douleur.
Le Parisien
Au final, l’acteur, méconnaissable, s’avère carrément bluffant. Tout comme la mise en scène, qui parvient à nous plonger totalement dans l’ambiance, aussi exotique que dérangeante, et l’imagerie de cette époque d’insouciance « peace and love » en Asie… qui a alors basculé dans l’épouvante. Une très grande réussite.
Le Point
Le venimeux Serpent offre à un Tahar Rahim métamorphosé un vrai rôle de méchant digne de son talent. Et nous embarque dans un thriller envoûtant et additif.
Les Inrockuptibles
Jouant habilement de la fascination trouble exercée par le personnage et orchestrant des moments de tension délicieusement insoutenables, Le Serpent est l’une de ces séries qui vous cueillent sans crier gare et mettent votre sommeil en danger, une œuvre dont le venin ne se dissipera qu’après en être venu à bout – le plus vite possible.
Marianne
En recréant très justement l’époque – décors, accessoires, costumes et bande-son – et en tissant une ambiance poisseuse, malsaine et angoissante, Le Serpent distille à merveille son venin.
Le Monde
Le marketing de cette coproduction Netflix/BBC, dont les manettes ont été confiées à deux scénaristes issus du polar british, a beau jouer sur le pouvoir d’attraction de la figure du tueur en série, la principale faiblesse du Serpent est peut-être de ne pas tout à fait élucider les raisons pour lesquelles ce petit truand débrouillard voue ses victimes à la mort après les avoir détroussées.
Première
A priori, le thriller s’annonce implacable, huit épisodes qui devraient défiler à la vitesse de l’éclair. Sauf que la photographie du Serpent, absolument immonde et pas très loin d’une production TF1, met à mal la machine à suspense, rendant grotesques des scènes qui devaient être un sommet de tension.
Télérama
À force de vouloir être vénéneuse, la série se complaît dans la mise en scène classique (et problématique) du serial killer comme un monstre fascinant, ne laissant qu’un espace réduit pour rappeler son côté pathétique et la brutalité du traitement qu’il réserve à Marie-Andrée – une victime plus ou moins consentante, dont le calvaire est sous-exploité.