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Votre avis sur The Haunting of Bly Manor ?
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Cette histoire de fantôme est décevante.
Certes les images sont superbes, la réalisation soignée, les acteurs convaincants mais l'histoire semble interminable . Après les deux premiers épisodes qui capte notre attention par son atmosphère savamment entretenue , on attend quelques chose de consistant et rien ne se passe si ce n'est quelques effets horrifiques qui nous réveille de temps en temps.
Le huitième épisode apporte enfin des éclaircissements sur cette suite d'épisodes qui nous mène maladroitement sur de fausses pistes...
Une mini série à l'écriture simplifiée aurait été suffisante ...
Certes les images sont superbes, la réalisation soignée, les acteurs convaincants mais l'histoire semble interminable . Après les deux premiers épisodes qui capte notre attention par son atmosphère savamment entretenue , on attend quelques chose de consistant et rien ne se passe si ce n'est quelques effets horrifiques qui nous réveille de temps en temps.
Le huitième épisode apporte enfin des éclaircissements sur cette suite d'épisodes qui nous mène maladroitement sur de fausses pistes...
Une mini série à l'écriture simplifiée aurait été suffisante ...
Cette série est vraiment bien mais le problème c est que the haunting of hill house était tellement excellente qu on sort de celle ci déçu même si elle est de très bonne qualité !
Déjà il faut faire la part des choses, cette série n'a aucun lien avec 'The haunting of hill house" comme certains l'ont écrits dans les critiques, donc si vous vous attendez à la suite de cette dernière, vous allez être déçus. The haunting of bly manor est en effet très différent. C'est loin d'être une série d'horreur, comme je l'imaginais. Les flash-backs sont pas toujours évidents à suivre... Mais au fur et à mesure que l'histoire avance on découvre une histoire d'amour émouvante et angoissante hors du temps. Des personnages attachants aux caractères très différents. Certains sont émouvants d'autres dans l'envie et la jalousie qui les aveugle au point de leur faire faire les mauvais choix. Une série assez psychologique. Si vous êtes prêts à patienter pour comprendre toute les trames de l'histoire et si vous souhaitez être touché, je vous conseille fortement cette série :)
Face au succès public et médiatique de Hill House, Netflix a évidemment commandé une deuxième saison. Et fort heureusement, ils ont décidé d’en faire une série d’anthologie (à savoir, chaque saison raconte une histoire indépendante sur le même thème). La série va s’inspirer du roman « La tour d’écrou » qui avait été adapté en 1961 avec « Les innocents », film qui aura traumatisé mon enfance, au même titre que le chef d’œuvre de Clouzot « Les diaboliques » (Tu n’as pas vu ce film ? Il faut que tu voies ce film !!!).
Un des grands atouts de Bly Manor (si ce n’est le meilleur) est de proposer quelque chose de radicalement différent sur la plupart des points. Le souci, c’est que c’est bien souvent en dessous de la saison 1, même si au final cette saison garde assez de qualités pour en faire quelque chose d’intéressant (mais je doute, qu’à l’inverse de sa grande sœur, elle marque les esprits…)
Déjà, la série nous offre le retour de plusieurs acteurs de la saison 1 mais dans des rôles vraiment différents. Et même si j’ai du mal avec le petit garçon de « E.T. l’extra-terrestre » (oui parce que Henry Thomas « Wingrave », c’est lui), pour les autres, ces retrouvailles sont un vrai plaisir. Auxquels viennent s’ajouter une T’Nia Miller aussi parfaite que dans la fabuleuse série « Years and Years » et les deux gamins flippants dans leurs interprétations.
Ensuite, et c’est sûrement ce qui va en décevoir pas mal de fans de la saison 1, c’est que là où la précédente jouait énormément avec nos nerfs, Bly Manor ne va pas beaucoup vous stresser… voir pas du tout… (Malgré quelques rares passages marquants) Au final, ce n’est pas une histoire de fantômes, mais une histoire d’amour avec des fantômes. Cela rend l’ensemble bien moins terrifiant, mais au final, plus envoutant.
L’histoire va bien plus se concentrer sur les personnages et leurs ressentis concernant des amours présents ou passés. Car oui, Bly Manor, va elle aussi joué avec les temporalités, avec des transitions toujours aussi inspirées (l’épisode 5 est un modèle du genre).
Malheureusement la première partie souffre de pas mal de longueurs jusqu’à ce fameux épisode 5 où la série bascule offrant une deuxième partie bien plus attractive. La deuxième moitié de saison offre même de très beaux moments de poésie faisant tendre l’ensemble vers la fable gothique (magnifié par une musique toujours aussi magnifique, qui reprendra le thème du film « les innocents »). Le problème, c’est que ça arrive bien tard…
Niveau, mise en scène, Flanagan n’a réalisé que le premier épisode et ça se ressent. Alors, oui l’ensemble reste très propre, il y a toujours le même travail sur les décors ou cette petite « chasse aux fantômes cachés », mais ça nous offre moins de fulgurance, même si la saison ose un passage en noir et blanc (malheureusement pas assez travaillé visuellement, même si l’histoire de ce chapitre est captivante…)
Bref, ça n’en fait pas une mauvaise saison, loin de là, mais forcément, comparé au coup de maître d’il y a deux an, il y a moyen d’être déçu…
https://www.facebook.com/CritiquesCinemaetFestivaldAvignon
Un des grands atouts de Bly Manor (si ce n’est le meilleur) est de proposer quelque chose de radicalement différent sur la plupart des points. Le souci, c’est que c’est bien souvent en dessous de la saison 1, même si au final cette saison garde assez de qualités pour en faire quelque chose d’intéressant (mais je doute, qu’à l’inverse de sa grande sœur, elle marque les esprits…)
Déjà, la série nous offre le retour de plusieurs acteurs de la saison 1 mais dans des rôles vraiment différents. Et même si j’ai du mal avec le petit garçon de « E.T. l’extra-terrestre » (oui parce que Henry Thomas « Wingrave », c’est lui), pour les autres, ces retrouvailles sont un vrai plaisir. Auxquels viennent s’ajouter une T’Nia Miller aussi parfaite que dans la fabuleuse série « Years and Years » et les deux gamins flippants dans leurs interprétations.
Ensuite, et c’est sûrement ce qui va en décevoir pas mal de fans de la saison 1, c’est que là où la précédente jouait énormément avec nos nerfs, Bly Manor ne va pas beaucoup vous stresser… voir pas du tout… (Malgré quelques rares passages marquants) Au final, ce n’est pas une histoire de fantômes, mais une histoire d’amour avec des fantômes. Cela rend l’ensemble bien moins terrifiant, mais au final, plus envoutant.
L’histoire va bien plus se concentrer sur les personnages et leurs ressentis concernant des amours présents ou passés. Car oui, Bly Manor, va elle aussi joué avec les temporalités, avec des transitions toujours aussi inspirées (l’épisode 5 est un modèle du genre).
Malheureusement la première partie souffre de pas mal de longueurs jusqu’à ce fameux épisode 5 où la série bascule offrant une deuxième partie bien plus attractive. La deuxième moitié de saison offre même de très beaux moments de poésie faisant tendre l’ensemble vers la fable gothique (magnifié par une musique toujours aussi magnifique, qui reprendra le thème du film « les innocents »). Le problème, c’est que ça arrive bien tard…
Niveau, mise en scène, Flanagan n’a réalisé que le premier épisode et ça se ressent. Alors, oui l’ensemble reste très propre, il y a toujours le même travail sur les décors ou cette petite « chasse aux fantômes cachés », mais ça nous offre moins de fulgurance, même si la saison ose un passage en noir et blanc (malheureusement pas assez travaillé visuellement, même si l’histoire de ce chapitre est captivante…)
Bref, ça n’en fait pas une mauvaise saison, loin de là, mais forcément, comparé au coup de maître d’il y a deux an, il y a moyen d’être déçu…
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J'adore cette série !
rien à redire de plus
Une très belle histoire bien raconter et surtout qui plonge le spectateur au cœur de l'histoire ! 😉
rien à redire de plus
Une très belle histoire bien raconter et surtout qui plonge le spectateur au cœur de l'histoire ! 😉
Bien que n'ayant aucunement sursauté ou frissonné pendant cette saison (contrairement à la saison 1) j'ai été porté par l'histoire et par cette musique. Je comprends que certains puissent être déçus par cet aspect-là. C'est clairement différent de la première saison mais cela n'en reste pas moins très bien réalisé. Le casting est parfait, j'ai particulièrement apprécié la performance de Kate Siegel dans l'épisode 7. Il faut bien faire attention aux petits détails dans les premiers épisodes. Mike Flanagan est décidément un réalisateur à suivre !
C'est franchement moyen ! Mise à part de rare scènes. Je me suis plus ennuyé jusqu'à même m'endormir devant. Pour les amateurs de frissons ça convient sûrement. Pour les vétérans fuyez assurément !
Franchement j'avais adoré le 1... la j'ai pas tout compris, ça part dans tous les sens et surtout ça ne fait pas peur... plus ça va moins les épisodes sont intrigants et sont plats, invraisemblables... j'ai l'impression qu'on est descendu de 2 ou 3 étages la
Le scénario est très bien ficelé, la mise en scène est maîtrisée. Les décors sont flamboyants. La bande son est émouvante. Seul point noir : Victoria Pedretti. Elle est inerte, ne cesse de geindre. Le seul timbre de sa voix et de son accent de hillbilly du midwest est irritant. Autant elle jouait très bien dans You, autant ici elle gâche substantiellement une partie de la saison.
Sinon j'aurais mis 5 étoiles. Le reste est juste parfait.
Sinon j'aurais mis 5 étoiles. Le reste est juste parfait.
On se demandé si ils pourraient faire aussi bien que la saison précédente ? Et bien oui ! Bly Manor est, tout en étant très différent de Hill house, aussi intéressante, inquiétante et perturbante.
Magnifique histoire d'horreur... pardon magnifique histoire d'amour :) décors superbes acteurs jouants magnifiquement leurs rôles ...
bref une magnifique série (comme quoi netflix arrive encore à faire quelque chose de potable)
Cette série reste toutefois moins effrayante que haunting of hill housse mais elle reste une histoire magnifique
Petit clin d'œil au film de 1961 les innocents pour lequel cette saison a une grande ressemblance
bref une magnifique série (comme quoi netflix arrive encore à faire quelque chose de potable)
Cette série reste toutefois moins effrayante que haunting of hill housse mais elle reste une histoire magnifique
Petit clin d'œil au film de 1961 les innocents pour lequel cette saison a une grande ressemblance
L'AlsacienParisien
Deux ans après "The Haunting of Hill House", série horrifique qui en a fait trembler plus d’un, Mike Flanagan réitère son concept de maison hantée en s'inspirant cette fois de la nouvelle fantastique "Le tour d'écrou" de Henry James. Les amateurs d'horreur seront sans doute étonnés car "The Haunting of Bly Manor" est bien moins effrayante que la première histoire mais elle n'en reste pas moins intriguante.
C'est vraiment une série qui fait plaisir à regarder en cette période automnale car visuellement, elle est impeccable. Les premiers épisodes mettent en place un sublime univers gothique à la lumière blafarde, qui fût déjà un gage de qualité de "Hill House", et présente une palette de personnages mystérieux dont on questionne les secrets. Une jeune femme sans expérience décroche un job de nourrice dans un manoir reculé en pleine campagne anglaise, suite au décès de la précédente. Son rôle consiste à s'occuper de deux jeunes orphelins qui font preuve d'une surprenante maturité pour leur âge. Bien que n'étant pas la seule employée au sein de cet imposant manoir, elle va se rendre compte que quelque chose cloche avec ce lieu... Très vite, on s'aperçoit que l'accent est davantage mis sur la psychologie des protagonistes plutôt que sur l'effroi du spectateur. Via de nombreux flashbacks, les démons des personnages sont auscultés afin de lever le voile sur la malédiction qui hante les murs de cette résidence.
Assez envoutante dans son démarrage, servie par une narration parfaitement maitrisée, bien que parsemée de quelques longueurs à mi-chemin, "Bly Manor" nous happe par la densité et la rigueur de son récit, riche en émotions et en révélations. L'épouvante s'entremêle ici au mélodrame, où l'amour devient un véritable moteur, qu'il soit partagé, inavoué, maudit ou malsain. En effet, tous les résidents sont grignotés par leur passé, gangrénés par des traumatismes qui se réactivent sous l'énergie particulière de ces murs. Les thèmes du deuil, de la perte d'un être aimé, de l'oubli et de la mort sont traitées avec justesse et subtilités. A défaut de nous faire sursauter toutes les cinq minutes, le scénario de Mike Flanagan est ambitieux, dense et apporte complexité et profondeur aux personnages. Certains épisodes nous accrochent, confondant poésie de l'écriture et tragédie, alors que d'autres, étonnamment plutôt anecdotiques, s'étalent et nous ennuient. Heureusement, le dernier épisode apporte une conclusion à la hauteur, faisant converger un scénario qui peut paraitre disparate, et un peu long sur la fin. Ça n'en reste pas moins une belle histoire de fantômes, originale et prenante.
Un peu comme le fait Ryan Murphy avec "American Horror Story", Flanagan embarque à nouveau des comédiens de "Hill House" : Victoria Pedretti, Oliver Jackson-Cohen, Henry Thomas et Carla Gugino. Le concept fonctionne parce qu'on prend plaisir à découvrir un acteur dans un contre-emploi, à l'opposé de son précédent rôle. En tête, on retrouve Victoria Pedretti qui incarne une héroïne tourmentée, ambiguë, entre force et fragilité tandis que Jackson-Cohen s'empare d'un rôle dur et violent. Face à eux, il faut noter la performance T'Nia Miller, incroyablement juste, ainsi que celles des enfants qui s'avèrent parfois troublantes.
C'est vraiment une série qui fait plaisir à regarder en cette période automnale car visuellement, elle est impeccable. Les premiers épisodes mettent en place un sublime univers gothique à la lumière blafarde, qui fût déjà un gage de qualité de "Hill House", et présente une palette de personnages mystérieux dont on questionne les secrets. Une jeune femme sans expérience décroche un job de nourrice dans un manoir reculé en pleine campagne anglaise, suite au décès de la précédente. Son rôle consiste à s'occuper de deux jeunes orphelins qui font preuve d'une surprenante maturité pour leur âge. Bien que n'étant pas la seule employée au sein de cet imposant manoir, elle va se rendre compte que quelque chose cloche avec ce lieu... Très vite, on s'aperçoit que l'accent est davantage mis sur la psychologie des protagonistes plutôt que sur l'effroi du spectateur. Via de nombreux flashbacks, les démons des personnages sont auscultés afin de lever le voile sur la malédiction qui hante les murs de cette résidence.
Assez envoutante dans son démarrage, servie par une narration parfaitement maitrisée, bien que parsemée de quelques longueurs à mi-chemin, "Bly Manor" nous happe par la densité et la rigueur de son récit, riche en émotions et en révélations. L'épouvante s'entremêle ici au mélodrame, où l'amour devient un véritable moteur, qu'il soit partagé, inavoué, maudit ou malsain. En effet, tous les résidents sont grignotés par leur passé, gangrénés par des traumatismes qui se réactivent sous l'énergie particulière de ces murs. Les thèmes du deuil, de la perte d'un être aimé, de l'oubli et de la mort sont traitées avec justesse et subtilités. A défaut de nous faire sursauter toutes les cinq minutes, le scénario de Mike Flanagan est ambitieux, dense et apporte complexité et profondeur aux personnages. Certains épisodes nous accrochent, confondant poésie de l'écriture et tragédie, alors que d'autres, étonnamment plutôt anecdotiques, s'étalent et nous ennuient. Heureusement, le dernier épisode apporte une conclusion à la hauteur, faisant converger un scénario qui peut paraitre disparate, et un peu long sur la fin. Ça n'en reste pas moins une belle histoire de fantômes, originale et prenante.
Un peu comme le fait Ryan Murphy avec "American Horror Story", Flanagan embarque à nouveau des comédiens de "Hill House" : Victoria Pedretti, Oliver Jackson-Cohen, Henry Thomas et Carla Gugino. Le concept fonctionne parce qu'on prend plaisir à découvrir un acteur dans un contre-emploi, à l'opposé de son précédent rôle. En tête, on retrouve Victoria Pedretti qui incarne une héroïne tourmentée, ambiguë, entre force et fragilité tandis que Jackson-Cohen s'empare d'un rôle dur et violent. Face à eux, il faut noter la performance T'Nia Miller, incroyablement juste, ainsi que celles des enfants qui s'avèrent parfois troublantes.
Nicothrash
Mike Flanagan remet ça pour une deuxième saison de sa série The Haunting of ... avec encore une fois une intrigue profonde et une histoire assez palpitante. Les premiers épisodes donnent le ton avec une belle atmosphère et des personnages attachants dont on veut en savoir plus puis le ton change au fur et à mesure que le scénario se dévoile. Petit problème, on découvre les tenants et aboutissants peut être trop tôt dans la saison et une bonne partie de la suite a beaucoup moins de saveur, d'autant que l'ensemble manque clairement de frayeur comparé à la S1. Pour autant, on ne décroche pas vraiment même si la dynamique s'est clairement cassée, et puis ce joli final vient rehausser un sentiment qui commençait quelque peu à fléchir. La qualité est toujours là, aucun problème avec ça mais l'ensemble manque de punch et de sueurs froides, un peu dommage tout de même pour une série d'épouvante.
Clémentine K.
Après le grand The haunting of Hill House, il faut se rendre à l'évidence : cette série est très différente même si elle adopte quelques mêmes signes. J'ai trouvé la première moitié très bien, avec les fameuses apparitions furtives. Puis la seconde moitié bascule dans une espèce de série de flackbacks difficiles à suivre. Le dernier épisode est très réussie, très émouvant !
Bénéficiant toujours d'une réalisation et d'une photographie soigné cette seconde saison est vraiment réussies. Si l'on retrouve cette ambiance propre à la série, elle n'es toutefois pas aussi sombres et inquiétante que la première saison. Les décors sont toujours très réussies, et les thèmes forts de Mike Flanagan sont toujours présents et maîtrisé notamment ces scènes de passé/flashbacks qui lui sont chers depuis pas mal de temps maintenant, depuis Oculus. Côté acteurs pas grand chose à reprocher tout comme la 1ere saison. Bien qu'elle soit un peu plus lente et que le côté‘‘horreur'' soit moins mis en avant au profit du développement des personnages cette seconde saison reste de qualité.