Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
The Independent
par Patrick Smith
Parfois, c'est vraiment très drôle; et à d'autres moments, c'est totalement cruel. Sous son apparence peu familière et pointue, c'est une série séduisante qui devrait lancer de belles carrières, celle de ses créateurs tout particuièrement, à peine trentenaires et qui frappent déjà fort (...)
La critique complète est disponible sur le site The Independent
Time
par Judy Berman
Une vision maligne et contemporaine, joyeusement libidineuse aussi, du monde de la finance à Londres.
La critique complète est disponible sur le site Time
Wall Street Journal
par John Anderson
Un drama souvent exhaltant, qui présente le monde de la finance de manière crédible, franchement dégoûtante et toujours captivante. Et c'est en partie parce qu'elle se fiche de savoir ce que vous savez dessus : on est embarqué dans un maelstrom de chiffres, de jargon et de contrats et on se prend vite au jeu.
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
Le Figaro
par Constance Jamet
Pas moralisateur pour deux schillings, Industry vibre de la même adrénaline vitale qu’Euphoria. Réalisatrice du pilote, Lena Dunham de Girls insuffle sa crudité, une authenticité presque documentaire à l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Avec son élite de traders vingtenaires plongée dans le monde glaçant de Wall Street, Industry dénonce avec une acuité hors normes l'ultralibéralisme décomplexé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Pittsburg Post-Gazette
par Rob Owen
Industry a peu de chance de plaire au plus grand nombre -ses personnages sont uniformément détestables - mais elle mérite le coup d'oeil pour les fans de dramas de niche intrigants.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
Rolling Stone
par Alan Sepinwall
Ce n'est pas tant un nouveau Succession qu'un Grey's Anatomy plus trash et torride (...) Industry n'est peut-être pas un énorme réussite mais c'est suffisamment amusant pour être vu.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Emilie Gavoille
Au-delà de l’évident potentiel dramaturgique inhérent à l’immersion de débutants ambitieux dans un univers saturé de luttes de pouvoir, d’esprit de compétition, de stratégies machiavéliques et d’excès en tous genres, les auteurs développent quelques idées scénaristiques futées.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
Si les créateurs parviennent à lui donner plus de contexte et de texture au fil du temps, Industry pourrait évoluer en une série inexorablement jouissive, plus proche du HBO que l'on connaît (...) Elle donne parfois l'impression d'un Succession version jeunes adultes.
La critique complète est disponible sur le site Hollywood Reporter
Première
par Charles Martin
Très technique, parfois caricaturale, mais aussi follement électrique (..) Sans aucun humour ni la moindre distance, Industry nous plonge froidement dans le grand bain du capitalisme pur et dur, mais ne veut surtout pas prendre parti, dans un sens ou dans un autre.
La critique complète est disponible sur le site Première
New York Times
par Margaret Lyons
Toutes les pièces du puzze fonctionnent -son mondre gris et bruyant est parfaitement mis en place, et chaque personnage tient la route- mais la série semble parler de tout et de rien. Tout le monde veut gagner, personne ne veut perdre... mais leurs comportements et leurs ambitions ne sont pas expliqués de manière satisfaisante.
La critique complète est disponible sur le site New York Times
The Independent
Parfois, c'est vraiment très drôle; et à d'autres moments, c'est totalement cruel. Sous son apparence peu familière et pointue, c'est une série séduisante qui devrait lancer de belles carrières, celle de ses créateurs tout particuièrement, à peine trentenaires et qui frappent déjà fort (...)
Time
Une vision maligne et contemporaine, joyeusement libidineuse aussi, du monde de la finance à Londres.
Wall Street Journal
Un drama souvent exhaltant, qui présente le monde de la finance de manière crédible, franchement dégoûtante et toujours captivante. Et c'est en partie parce qu'elle se fiche de savoir ce que vous savez dessus : on est embarqué dans un maelstrom de chiffres, de jargon et de contrats et on se prend vite au jeu.
Le Figaro
Pas moralisateur pour deux schillings, Industry vibre de la même adrénaline vitale qu’Euphoria. Réalisatrice du pilote, Lena Dunham de Girls insuffle sa crudité, une authenticité presque documentaire à l’ensemble.
Les Inrockuptibles
Avec son élite de traders vingtenaires plongée dans le monde glaçant de Wall Street, Industry dénonce avec une acuité hors normes l'ultralibéralisme décomplexé.
Pittsburg Post-Gazette
Industry a peu de chance de plaire au plus grand nombre -ses personnages sont uniformément détestables - mais elle mérite le coup d'oeil pour les fans de dramas de niche intrigants.
Rolling Stone
Ce n'est pas tant un nouveau Succession qu'un Grey's Anatomy plus trash et torride (...) Industry n'est peut-être pas un énorme réussite mais c'est suffisamment amusant pour être vu.
Télérama
Au-delà de l’évident potentiel dramaturgique inhérent à l’immersion de débutants ambitieux dans un univers saturé de luttes de pouvoir, d’esprit de compétition, de stratégies machiavéliques et d’excès en tous genres, les auteurs développent quelques idées scénaristiques futées.
Hollywood Reporter
Si les créateurs parviennent à lui donner plus de contexte et de texture au fil du temps, Industry pourrait évoluer en une série inexorablement jouissive, plus proche du HBO que l'on connaît (...) Elle donne parfois l'impression d'un Succession version jeunes adultes.
Première
Très technique, parfois caricaturale, mais aussi follement électrique (..) Sans aucun humour ni la moindre distance, Industry nous plonge froidement dans le grand bain du capitalisme pur et dur, mais ne veut surtout pas prendre parti, dans un sens ou dans un autre.
New York Times
Toutes les pièces du puzze fonctionnent -son mondre gris et bruyant est parfaitement mis en place, et chaque personnage tient la route- mais la série semble parler de tout et de rien. Tout le monde veut gagner, personne ne veut perdre... mais leurs comportements et leurs ambitions ne sont pas expliqués de manière satisfaisante.