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timfun1211
52 abonnés
126 critiques
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Critique de la série
5,0
Publiée le 21 février 2023
Un duo magique et magnifique, un couple à fleur de peau bourrée de délicatesse et d'écoute sur plusieurs années que la vie n'épargnera pas , ça pousse à réfléchir sur les gens que nous avons rencontré et aimer et laissez de côté , grande série sur le destin de chacun d'entre nous , qui donne envie d'aimer son prochain
La série coche toutes les cases de la recette des grandes séries. C'est efficace, du début à la fin. Les personnages principaux sont attachants. La série nous garde en haleine.
L’amour de deux adolescents puis jeunes adultes, Marianne (Daisy Edgar-Jones) et Connell (Paul Mescal). Dans la même classe au lycée de Sligo, petite ville du nord-ouest de l’Irlande, ils sont singuliers. Elle, issue d’une famille aisée, brillante élève, arrogante, solitaire ; lui, fils d’une femme de ménage chaleureuse, brillant, apprécié des autres mais introverti. Ils sont attirés l’un vers l’autre mais ne veulent pas se l’avouer et le laisser paraître. Ils jouent à un jeu de chat et souris sentimental qui les pousse à s’aimer et à se séparer, à Sligo mais aussi plus tard à Trinity college, Dublin où ils sont étudiants. Une série extrêmement délicate. Une histoire d’amour puissante qui cerne magnifiquement l’intime et la douleur des deux personnages en lien avec les dysfonctionnements de leur famille (Marianne) ou leur manque de confiance (Connell et « son syndrome de l’imposteur »). Les deux acteurs sont éblouissants, profondément attachants avec une mention spéciale pour Daisy Edgar-Jones. On est passionné par les hauts et les bas de leur amour. La meilleure série vue depuis longtemps. Le rebondissement du dernier épisode annonce une deuxième saison que l’on attend impatiemment.
Beaucoup d'hésitations chez ces deux personnages, parfois frustrantes pour le spectateur, mais ils restent attachants grâce au jeu exceptionnel des deux acteurs. Superbes musiques (j'ai cru entendre ma playlist personnelle...).
Parfois une histoire simplement humaine, mettant en scène des gens ordinaires vivant une vie ordinaire peut toucher sincèrement parce qu'elle parle à tout le monde. En dix épisodes, Normal People développe une connexion amoureuse complexe sur plusieurs années entre deux êtres fusionnels, avec ses hauts et ses bas. Portée par deux excellents acteurs très prometteurs, elle va réussir à tirer de leur relation sentimentale un drame émouvant et intense.Une très bonne série irlandaise.
J'ai regardé cette série tiré de la nouvelle de Sally Rooney, j'ai trouvé ca mignon et facile a regarder, les épisodes font une petite trentaine de minutes et sont vraiment facile d'accès. J'ai aimé les personnages. La série démarre vraiment tres bien, il y a un petit plat cependant et c'est un peu tiré en longueur a certain moment, cependant j'ai bien aimé dans l'ensemble, j'ai mis la note de 7 sur 10.
Pas aussi bien que ce que j'en attendais. Et on tourne un peu beaucoup en rond. Pourtant, cette relation de freaks intellos est particulièrement subtile. Ils sont attachants en dépit ou grâce à leurs défauts. Une sorte d'hymne à l'amour et à ses tourments.
Rare sont les séries de ce genre, qui arrivent à se demarquer. Cette série là est l Exception !
Rare sont les oeuvres, qui ont une écriture si parfaite.
Une séries des plus belles ! Tout est exceptionnel et marquant ! Le duo Mescal-Jones fonctionnent à merveille et ont des personnages attachants ! Ils sont si attachants qu'on ressent à travers leur histoire : leurs émotions, leurs colères, leurs compassions, leurs tristesses et leurs vies !
Une histoire magnifique à l'eau de rose, qui peut être au premier abord, du "deja-vu" mais ce n est pas le cas. C'est une série qui va au-delà du romantisme.
Tout en douceur et en subtilité, Normal People est une série qui a un goût vraiment particulier. L'histoire semble au premier abord assez typique, mais raconte avec sensibilité et intelligence quelque chose d'au final assez commun. J'ai beaucoup aimé la manière de filmer, qui s'attarde sur des détails mais bondit de scène en scène rapidement, montrant tout juste ce qu'il faut. Le sentiment qu'on en garde est celui de la balance. Les personnages sont très subtils tous les deux et ne font qu'évoluer au fil des épisodes, de sorte qu'on a jamais vraiment fini d'être surpris par eux. Les performances sont également à la hauteur Un peu de longueur vers le milieu de la série, où la relation entre les personnages devient plus floue et abstraite, mais la fin comme le début sont excellents. Très bonne série
Lassée par ce type d'histoire relatant les amours adolescentes j'ai commencé cette série avec tous les a priori possibles. Et pourtant, pourtant ! Quelle finesse, quelle délicatesse ! On se laisse bercer par la douceur des personnages, troubler par la complexité des sentiments, emporter par des dialogues si précis et si justes. Partant d'une histoire ordinaire d'adolescents amoureux l'auteur a créé une pépite.
Une série de grande qualité qui traite de la complexité du sentiment amoureux avec intelligence et finesse. Les deux acteurs principaux sont juste parfaits et livrent ici une interprétation toute en subtilité.
tout en clair-obscur, parsemé de non-dits dévastateurs, de bagages très lourds à porter, cette histoire "normale" va droit au cœur. Le tout sublimé par des interprètes en état de grâce. de la dentelle britannique
Une série d'une justesse qui nous emporte. Beaucoup de thèmes traités furtivement et pourtant de façon très subtile et pas si légère que l'on aurait pu le craindre. Un vrai coup de cœur.
Un gentil petit ramassis de clichés même pas développés, des personnages superficiels dont on ne comprend pas les enjeux. Le rejet et les moqueries dont Marianne fait l’objet semblent bien insaisissables et peu crédibles. On ne comprend pas bien pourquoi elle subit des moqueries si ce n’est parce que les scénaristes lui ont collé l’étiquette de « collégienne qui se fait harceler par ses pairs ». Parce qu’elle est grande gueule ? Ses quelques remarques aux profs sonnent faux et arrivent comme des cheveux sur la soupe. Pourquoi Connell tient-il absolument à cacher sa relation avec elle ? Ses camarades ne semblent pas si féroces. Et on est dans les années 2000 ! Je n’ai réalisé qu’au bout d’une bonne demi-heure, en voyant les personnages utiliser des téléphones portables que la série se situait à notre époque et non dans les années 50. Aussi parce qu’elle transpire les clichés des séries américaines. Les scènes de sexe ont apparemment enflammé les spectateurs. Mais que se passe-t-il donc dans les chambres des Français ?? Au moins ces scènes ont-elles le mérite de refléter les sentiments très intenses que les personnages éprouvent l’un envers l’autre. C’est une micro-réussite.
Globalement, on dirait une juxtaposition d’inspirations glanées à droite et à gauche des succès commerciaux actuels. Des ados, un peu de harcèlement, une histoire d’amour, des problèmes, des enfances difficiles, des étudiants érudits (morte de rire) dans une université prestigieuse, : une recette maladroitement assemblée, aux ingrédients embryonnaires et insipides. Je me sens un peu seule et très perplexe.