Winning Time: The Rise of the Lakers Dynasty : Critiques de la presse
Winning Time: The Rise of the Lakers Dynasty
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,4
6 titres de presse
Les Echos
Marianne
Le Figaro
The Hollywood Reporter
Les Inrockuptibles
Variety
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Les Echos
par Cecilia Delporte
Plus qu'une série pour les afficionados de sport, Winning Time est un voyage nostalgique dans une époque fantasmée. Et ce, autant par son esthétique surannée puisant dans la photographie des images d'archives, que par sa bande originale savoureusement rétro.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Benoît Franquebalme
Mise au monde sous le double patronage hautement qualitatif de la chaîne américaine HBO et du prodige philadelphien Adam McKay, Winning Time avait le droit d’être décevante, trop attendue, surestimée… tout ce que l’on veut en fait. Mais mauvaise non. Fort heureusement, elle ne l’est pas et le doit en grande partie à l’auteur, à l’écran, de la sentence susnommée.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Le Figaro
par Constance Jamet
Winning Time déborde d’une énergie que la série ne sait pas toujours canaliser. Toutes les intrigues ne se valent pas en termes de tension dramatique. Reste le portrait d’une Amérique parcourue par le sexisme, les discriminations de classe et le racisme ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
The Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
Il n’y a pas assez de matière pour transformer cette idée en quelque chose d’autre qu’un cliché sur la ville de Los Angeles et sur le monde du sport. Des sujets plus important sont abordés par le biais de certains personnages, mais les opinions idéologiques et religieuses de Kareem, par exemple, ou encore l’obsesssion de Jack McKinney pour l’aspect mathématique d’un match de basket font de Winning Time une série divertissante mais convenue qui dresse le portrait d’hommes géniaux et torturés.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Malgré quelques tocs de mise en scène un peu encombrants, un soupçon de complaisance et des intrigues secondaires à l’intérêt variable, la série pilotée de loin par Adam McKay se binge gloutonnement et devrait ravir les amateurs de séries sportives, quand bien même le sport n’est pas son sujet central.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Variety
par Daniel D’Addario
Ce qui nous est montré est soit beaucoup trop banal (l’idée que l’amour est comme le sport : tous deux suivent un même rythme) soit la copie de quelque chose que nous avons déjà vu mais sous une autre forme. Le soupçon de lubricité qui saupoudre l’ensemble – aspect que l’on retrouve assez rarement dans les séries HBO d’aujourd’hui – donne l’impression de chercher à détourner notre attention plutôt qu’à nous proposer de vraies bonnes idées.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Les Echos
Plus qu'une série pour les afficionados de sport, Winning Time est un voyage nostalgique dans une époque fantasmée. Et ce, autant par son esthétique surannée puisant dans la photographie des images d'archives, que par sa bande originale savoureusement rétro.
Marianne
Mise au monde sous le double patronage hautement qualitatif de la chaîne américaine HBO et du prodige philadelphien Adam McKay, Winning Time avait le droit d’être décevante, trop attendue, surestimée… tout ce que l’on veut en fait. Mais mauvaise non. Fort heureusement, elle ne l’est pas et le doit en grande partie à l’auteur, à l’écran, de la sentence susnommée.
Le Figaro
Winning Time déborde d’une énergie que la série ne sait pas toujours canaliser. Toutes les intrigues ne se valent pas en termes de tension dramatique. Reste le portrait d’une Amérique parcourue par le sexisme, les discriminations de classe et le racisme ordinaire.
The Hollywood Reporter
Il n’y a pas assez de matière pour transformer cette idée en quelque chose d’autre qu’un cliché sur la ville de Los Angeles et sur le monde du sport. Des sujets plus important sont abordés par le biais de certains personnages, mais les opinions idéologiques et religieuses de Kareem, par exemple, ou encore l’obsesssion de Jack McKinney pour l’aspect mathématique d’un match de basket font de Winning Time une série divertissante mais convenue qui dresse le portrait d’hommes géniaux et torturés.
Les Inrockuptibles
Malgré quelques tocs de mise en scène un peu encombrants, un soupçon de complaisance et des intrigues secondaires à l’intérêt variable, la série pilotée de loin par Adam McKay se binge gloutonnement et devrait ravir les amateurs de séries sportives, quand bien même le sport n’est pas son sujet central.
Variety
Ce qui nous est montré est soit beaucoup trop banal (l’idée que l’amour est comme le sport : tous deux suivent un même rythme) soit la copie de quelque chose que nous avons déjà vu mais sous une autre forme. Le soupçon de lubricité qui saupoudre l’ensemble – aspect que l’on retrouve assez rarement dans les séries HBO d’aujourd’hui – donne l’impression de chercher à détourner notre attention plutôt qu’à nous proposer de vraies bonnes idées.