Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Daily Beast
par Kevin Fallon
Aussi charmant et attachant que l'était Love, Simon, en tirant juste comme il faut sur les bonnes cordes sensibles pour vous garder investi tout au long des 10 épisodes.
La critique complète est disponible sur le site Daily Beast
Télé Loisirs
par Jérémy Mingot
Love, Victor essaye de faire passer ce simple message avec les 10 épisodes de sa première saison. Qu'on la regarde seul ou en famille, cette série permettra à certaines et certains de se reconnaitre en Victor, et aux autres de changer de perspectives et de s'ouvrir aux différences. Et c'est justement pour ça que cette fiction est très importante
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Brain Damaged
par La Rédaction
Love, Victor, aurait pu être un copié-collé du film sans rien apporter de plus, mais ce n’est pas le cas en devenant plutôt une déclinaison et suite logique du matériel dont elle est adaptée. Elle a trouvé sa force, même on note qu’elle pourrait être encore plus engagée.
La critique complète est disponible sur le site Brain Damaged
Chicago Sun-Times
par Richard Roeper
Love, Victor est une suite qui fonctionne presque comme un reboot en s'appuyant sur les différences culturelles et économiques entre Simon et Victor (...) La série est une onde positive et légère.
La critique complète est disponible sur le site Chicago Sun-Times
LCI
par Delphine De Freitas
Si les dix épisodes d’une trentaine de minutes reprennent les ingrédients qui ont fait le succès du film, ils en modifient légèrement la recette pour la rendre plus universelle encore. (...) Une suite aussi douce que nécessaire, qui a déjà été renouvelée pour une saison 2.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
La série Love, Victor reprend la même trame et le nouveau héros, Victor, correspond cette fois avec Simon, celui du film, tout en lui assurant que son histoire personnelle n'a rien à voir avec la sienne. Un peu trop prévisible, la série reste cependant franchement charmante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
TV Guide
par Krutika Mallikarjuna
Les nuances sur les questionnements identitaires, sur les expériences romantiques et sexuelles, sont un peu aplaties par le désir de s'adresser et plaire au public du film en premier lieu - queer mais hétéro aussi bien sûr, qui n'est pas forcément prêt à faire face à une myriade d'identités et de communauté alors tout est un peu mélangé derrière le drapeau arc-en-ciel.
La critique complète est disponible sur le site TV Guide
TVLine
par Rebecca Iannucci
Bien que la série ne tente pas autant de choses que je l'aurais souhaité, elle possède malgré tout un charme indéniable.
La critique complète est disponible sur le site TVLine
Rolling Stone
par Alan Sepinwall
Il y a des tas de meilleures séries sur le même thème -Angela 15 ans, One day at a time et Everything Sucks pour ne citer qu'elles- mais le coeur de celle-ci est grand et au bon endroit, et parfois la sincérité suffit.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Slant Magazine
par Josh Bell
Le rythme de cette sitcom permet un accès facile à cette histoire de quête identitaire et ses préjudices internes et externes. Mais ce qui est frustrant c'est qu'elle semble hésiter à s'assumer comme une comédie romantique mainstream avec un protagoniste gay, retournant au point de départ de Love, Simon plutôt que se développer à partir de celui-ci.
La critique complète est disponible sur le site Slant Magazine
The Guardian
par Benjamin Lee
Facilement digérable et solidement divertissante, mais il lui manque quelque chose. Le dispositif permettait de proposer bien plus que ce qui nous est offert sur le sujet du coming-out.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
Le Monde
par Audrey Fournier
La vie de lycée, les rites de passage adolescents (fêtes, matchs de basket…) et les dysfonctionnements gentillets de la famille de Victor remplissent peu à peu l’espace des 5 premiers épisodes que nous avons pu voir, jusqu’à diluer son propos. Ce n’est pas assez pour faire de Love, Victor une série qui se regarde sans plaisir, mais c’est suffisant pour éloigner du poste, au moins temporairement, les plus de 15 ans.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Variety
par Caroline Framke
Au bout du compte, Love, Victor se traîne, choisit délibèrement d'être fade, et plaisante mais pas mordante.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Même le·la fanatique de séries teen, rompu·e aux guilty pleasures et tolérant le sentimentalisme mièvre qui parfois empèse le genre, pourrait émettre un pouffement manifeste devant le classicisme ampoulé de Love, Victor, sa pudeur infantilisante et ses situations rebattues.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
The Hollywood Reporter
par Inkoo Kang
Certes, Love, Victor s'adresse à un jeune public, mais la lutte du héros reste trop en surface, comme dans le film (...) et Cimino ne parvient pas à lui donner la profondeur qui manque aux scénarios.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Daily Beast
Aussi charmant et attachant que l'était Love, Simon, en tirant juste comme il faut sur les bonnes cordes sensibles pour vous garder investi tout au long des 10 épisodes.
Télé Loisirs
Love, Victor essaye de faire passer ce simple message avec les 10 épisodes de sa première saison. Qu'on la regarde seul ou en famille, cette série permettra à certaines et certains de se reconnaitre en Victor, et aux autres de changer de perspectives et de s'ouvrir aux différences. Et c'est justement pour ça que cette fiction est très importante
Brain Damaged
Love, Victor, aurait pu être un copié-collé du film sans rien apporter de plus, mais ce n’est pas le cas en devenant plutôt une déclinaison et suite logique du matériel dont elle est adaptée. Elle a trouvé sa force, même on note qu’elle pourrait être encore plus engagée.
Chicago Sun-Times
Love, Victor est une suite qui fonctionne presque comme un reboot en s'appuyant sur les différences culturelles et économiques entre Simon et Victor (...) La série est une onde positive et légère.
LCI
Si les dix épisodes d’une trentaine de minutes reprennent les ingrédients qui ont fait le succès du film, ils en modifient légèrement la recette pour la rendre plus universelle encore. (...) Une suite aussi douce que nécessaire, qui a déjà été renouvelée pour une saison 2.
Le Parisien
La série Love, Victor reprend la même trame et le nouveau héros, Victor, correspond cette fois avec Simon, celui du film, tout en lui assurant que son histoire personnelle n'a rien à voir avec la sienne. Un peu trop prévisible, la série reste cependant franchement charmante.
TV Guide
Les nuances sur les questionnements identitaires, sur les expériences romantiques et sexuelles, sont un peu aplaties par le désir de s'adresser et plaire au public du film en premier lieu - queer mais hétéro aussi bien sûr, qui n'est pas forcément prêt à faire face à une myriade d'identités et de communauté alors tout est un peu mélangé derrière le drapeau arc-en-ciel.
TVLine
Bien que la série ne tente pas autant de choses que je l'aurais souhaité, elle possède malgré tout un charme indéniable.
Rolling Stone
Il y a des tas de meilleures séries sur le même thème -Angela 15 ans, One day at a time et Everything Sucks pour ne citer qu'elles- mais le coeur de celle-ci est grand et au bon endroit, et parfois la sincérité suffit.
Slant Magazine
Le rythme de cette sitcom permet un accès facile à cette histoire de quête identitaire et ses préjudices internes et externes. Mais ce qui est frustrant c'est qu'elle semble hésiter à s'assumer comme une comédie romantique mainstream avec un protagoniste gay, retournant au point de départ de Love, Simon plutôt que se développer à partir de celui-ci.
The Guardian
Facilement digérable et solidement divertissante, mais il lui manque quelque chose. Le dispositif permettait de proposer bien plus que ce qui nous est offert sur le sujet du coming-out.
Le Monde
La vie de lycée, les rites de passage adolescents (fêtes, matchs de basket…) et les dysfonctionnements gentillets de la famille de Victor remplissent peu à peu l’espace des 5 premiers épisodes que nous avons pu voir, jusqu’à diluer son propos. Ce n’est pas assez pour faire de Love, Victor une série qui se regarde sans plaisir, mais c’est suffisant pour éloigner du poste, au moins temporairement, les plus de 15 ans.
Variety
Au bout du compte, Love, Victor se traîne, choisit délibèrement d'être fade, et plaisante mais pas mordante.
Les Inrockuptibles
Même le·la fanatique de séries teen, rompu·e aux guilty pleasures et tolérant le sentimentalisme mièvre qui parfois empèse le genre, pourrait émettre un pouffement manifeste devant le classicisme ampoulé de Love, Victor, sa pudeur infantilisante et ses situations rebattues.
The Hollywood Reporter
Certes, Love, Victor s'adresse à un jeune public, mais la lutte du héros reste trop en surface, comme dans le film (...) et Cimino ne parvient pas à lui donner la profondeur qui manque aux scénarios.