Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Le Figaro
par Julia Baudin
Des plans diurnes et nocturnes d’une beauté sublime. Une direction et un jeu d’acteurs pointus. Une mise en scène des méandres de l’âme humaine comme l’on en voit peu (et heureusement!). Une intrigue, certes complexe, mais parfaitement équilibrée. Et toujours, lignes de forces de l’œuvre de Stephen King, les thèmes de l’enfance, de l’impulsion créatrice, des origines du mal, de la passion dévorante, du va-et-vient de la raison, jusqu’au basculement entre le réel et l’irréel.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Florence Colombani
On l'aura compris, Histoire de Lisey est un véritable condensé de l'univers de Stephen King. Dans ses meilleurs moments, la série, portée par la mise en scène inspirée de Larrain et le talent des acteurs, promet d'entrer dans le club très fermé des meilleures adaptations du romancier à l'écran, un club qui comporte au moins deux chefs-d'œuvre (Shining de Stanley Kubrick et Carrie de Brian DePalma). Mais ce qui semblait d'abord un atout – la présence de King lui-même au scénario – se révèle au fil des épisodes une faiblesse
La critique complète est disponible sur le site Le Point
20 Minutes
par Vincent Julé
Histoire de Lisey plonge ainsi spectateurs et spectatrices dans un univers mental d’obsessions, de répétitions, de confusions… au point de les perdre ? Les fans de Stephen King, l’écrivain, auront sûrement moins de difficulté à lâcher prise.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Monde
par Audrey Fournier
Cette mini-série à l’ambition cinématographique a les défauts du roman qui l’a inspirée : aux premiers épisodes parfaitement maîtrisés, truffés de signes et terrifiants, succède une résolution trop longue, qui tortille entre les genres (thriller ? romance ? fantastique ?) et se noie dans sa propre complexité. Et la grande beauté formelle des mondes entre lesquels Lisey navigue au gré des huit épisodes ne suffit pas tout à fait à compenser la performance approximative d’acteurs qui semblent se demander ce qu’ils sont venus jouer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaro
Des plans diurnes et nocturnes d’une beauté sublime. Une direction et un jeu d’acteurs pointus. Une mise en scène des méandres de l’âme humaine comme l’on en voit peu (et heureusement!). Une intrigue, certes complexe, mais parfaitement équilibrée. Et toujours, lignes de forces de l’œuvre de Stephen King, les thèmes de l’enfance, de l’impulsion créatrice, des origines du mal, de la passion dévorante, du va-et-vient de la raison, jusqu’au basculement entre le réel et l’irréel.
Le Point
On l'aura compris, Histoire de Lisey est un véritable condensé de l'univers de Stephen King. Dans ses meilleurs moments, la série, portée par la mise en scène inspirée de Larrain et le talent des acteurs, promet d'entrer dans le club très fermé des meilleures adaptations du romancier à l'écran, un club qui comporte au moins deux chefs-d'œuvre (Shining de Stanley Kubrick et Carrie de Brian DePalma). Mais ce qui semblait d'abord un atout – la présence de King lui-même au scénario – se révèle au fil des épisodes une faiblesse
20 Minutes
Histoire de Lisey plonge ainsi spectateurs et spectatrices dans un univers mental d’obsessions, de répétitions, de confusions… au point de les perdre ? Les fans de Stephen King, l’écrivain, auront sûrement moins de difficulté à lâcher prise.
Le Monde
Cette mini-série à l’ambition cinématographique a les défauts du roman qui l’a inspirée : aux premiers épisodes parfaitement maîtrisés, truffés de signes et terrifiants, succède une résolution trop longue, qui tortille entre les genres (thriller ? romance ? fantastique ?) et se noie dans sa propre complexité. Et la grande beauté formelle des mondes entre lesquels Lisey navigue au gré des huit épisodes ne suffit pas tout à fait à compenser la performance approximative d’acteurs qui semblent se demander ce qu’ils sont venus jouer.