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Ludovic
6 abonnés
12 critiques
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Critique de la série
4,0
Publiée le 5 décembre 2022
Comme toujours Arte donne le ton avec une série un peu psychologique qui fait prendre conscience à ses choix de vie . Les personnages sont touchants . Je vous la conseille . Bon visionnage !
Y a pas à dire...sont forts ces anglais! Émotions rires rebondissements et des personnages attachants...bien sûr on al impression d avoir déjà vu ça....mais les comédiennes sont vraiment épatantes et voie un couplé de 70 ans se séparer...c est rare! A voir.
Voilà une série qui sait mettre le doigt "là où ça fait mal" sans sombrer dans le manichéisme. Le machisme ordinaire avec ses allures "bonhommes" , la possessivité affective, la place que chacune et chacun tente de prendre dans les relations interpersonnelles mettent en exergue les difficultés de s'affirmer et d'aimer... et de dessiner son destin. On y voit aussi posées les questions du secret ou de l'amitié, de la confiance... Et le spectateur ou la spectatrice un rien attentif ne saurait ne pas s'interroger à son tour sur sa propre vie... à voir car sous ses allures tranquilles, c'est une série "à part" !
Une série qui ne nous gâte pas avec ses personnages soit malade, déprimé, rejeté, alcoolique, amputé ou borderline. On ne peut pas dire que c'est très joyeux et j'ai trouvé les six épisodes plutôt pénibles à suivre. Les relations ne sont en rien représentatives d'une société moyenne anglaise. Même si la prestation d'Alison Steadman est remarquable dans le rôle de Gail et bien mise en valeur par les gros plans sur ses expressions faciales, j'ai connu mieux avec les productions de la BBC.
Très bonne série, très intéressante niveau psychologique et humain. On a ici quatre personnes qui habitent tous dans le même appartement et qui ne se connaissent pas. Tous les acteurs sont très bien dans leur rôles notamment le vieux couple qui est très touchant et c'est les meilleurs des quatres locataires. La série est malheureusement ennuyante, dommage.
Cette série est raciste et sexiste. Passé les trois premiers épisodes j’ai éprouvé un vague malaise. Et j’ai laissé l’intrigue et le tricotage paresseux du scénario pour analyser les personnages. C’est vite vu sur les 12 principaux il y a trois hommes blancs. Et les trois sont des personnages négatifs. Ils ne sont utilisés par les scénaristes que comme répulsifs, le même traitement à des personnes d’autres origines, d’autres sexes donnerait lieu à une levée de boucliers mais la presse est bienveillante avec cette série. Si vous aimez voir des femmes “puissantes” lutter contre le patriarcat blanc allez-y c’est pour vous. Mais c’est quand même bien poussif... Dommage ces vies qui s’entrechoquent dans cette maison ou tous les protagonistes se cotoient sans se connaitre vraiment c’était une bonne idée. Mais on a aucune idée des rapports économiques entre eux, la propriétaire habite dans la même maison que les locataires, et on ne sait pas comment ça se traduit financièrement, quels rapports de force ou de solidarité se tissent... On n'a pas plus idée des professions des uns et des autres, ils gagnent leur vie, ou sont au chômage mais ça n’a pas l’air d’affecter leur cadre de vie. La maison vue du ciel au début de la série à l’air toute petit à coté de celle des voisins et ils sont des tas à y habiter sans qu’on puisse se rendre compte de l’occupation et du partage de l’espace. Bon je la conseille pas vous aurez compris :-)
J'ai passé un super bon moment. Les actrices en particuliers sont superbes, en tête la merveilleuse Gail. Tout se tient, la possibilité et l'impasse des relations. C'est positif sur toute la ligne avec une noirceur contenue qui maintient la dynamique et l'intérêt. Très bonne (et rare) série, un bijou précieux accroché au cou de Gail, la fée sorcière qui détient tout.
Quelle chouette mini-série comme on ne sait pas faire en France ! Un petit bijou anglais de finesse et d'intelligence dans l'analyse des sentiments. Encore merci Arte pour cette nouvelle pépite qui fait du bien.