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Caractère et rôle des personnages aux antipodes du livre...adieu le flegme de Phileas et l'inspecteur fix devient...une journaliste..... L'idée était excellente mais respecter les personnages n'aurait pas changer grand chose à la série et lui aurait donné plus de crédit....dommage
Faut quand même être sacrément aigri pour détester cette série sous prétexte qu'elle ne respecte pas le livre ... En a t-elle seulement la prétention ? Car c'est quand même bien joué, réalisé, belle photographie, bonnes musiques ... Une belle surprise !
Bon il est temps de parler sérieusement de cette série.
J'ai pu lire quelque avis et franchement je trouve que cette série ne mérite pas toutes ces critiques, je m'explique.
Certe, elle n'est pas parfaite et le thème du tour du monde est, je trouve très mal abordé. On s'attarde plus sur quelques minis histoires que sur la vrai aventure du tour du monde.
En revanche, la série est d'une très bonne qualité visuelle, les acteurs sont bons, les musiques sont bonnes (hans Zimmer) donc c'est normal.
Oui la série dénonce les inégalités de notre époque mais je ne trouve pas ça déplacé contrairement à d'autre personne.
Bref une série à regarder en famille, mais à ne pas prendre au sérieux sinon vous serez déçu.
J'ai pu lire quelque avis et franchement je trouve que cette série ne mérite pas toutes ces critiques, je m'explique.
Certe, elle n'est pas parfaite et le thème du tour du monde est, je trouve très mal abordé. On s'attarde plus sur quelques minis histoires que sur la vrai aventure du tour du monde.
En revanche, la série est d'une très bonne qualité visuelle, les acteurs sont bons, les musiques sont bonnes (hans Zimmer) donc c'est normal.
Oui la série dénonce les inégalités de notre époque mais je ne trouve pas ça déplacé contrairement à d'autre personne.
Bref une série à regarder en famille, mais à ne pas prendre au sérieux sinon vous serez déçu.
Ça traîne et malgré une ou deux scènes un peu plus intéressantes, l'ensemble manque de rythme et de panache. Déçu.
Saison 1 agréable à regarder avec une très chouette photographie. Les ambiances sont réussies, le jeu des acteurs aussi.
Une bonne adaptation modernisée du roman pourtant vu et revu. Certains s'offusqueront de telles prises de libertés. Cependant le cinéma est aussi là pour avancer et se moderniser avec des prises de position qui peuvent traverser les époques. En tous les cas, on ne s'ennuie pas, le découpage des épisodes par rapport à certaines aventures est très bien pensé.
Vraiment génial ! Tellement longtemps que je n'avais pas vu une aussi bonne série. Excellents acteurs, un rythme soutenu, une réalisation brillante, générique original et réussi, bande son extra, de belles valeurs, je l'ai vue 2 fois et j'ai commandé le DVD. Bravo et merci !
Série très prenante et magnifique. Autant la prestation des acteurs, les paysages de l'Afrique du sud, la musique ou encore le générique. Même si l'histoire est très largement inspiré de Jules Vernes, c'est en même temps une toute nouvelle histoire que nous livre cette série. Pour moi tout simplement époustouflant. Il y a de nombreuses scènes très forte les discours de Fogg sont très marquant. J'attends avec impatience la saison 2.
Lamentable. Piètre décors, pauvre scénario. Aucun panache. Les rajouts politiquement corrects brisent la série. Regardez l'original avec Peter Sellers.
Bien que cette série s'éloigne de l'histoire rédigé par Jules Verne, il n'empêche en rien quelle reste dans l'esprit de Jules Verne et est en elle même une excellente mini série très bien mise en scène. Je la conseille vraiment même pour des personnes n'ayant jamais lu Jules Verne.
Je mets la moyenne uniquement parce qu'il y a David Tennant. Sinon, j'ai trouvé les épisodes franchement long. Vraiment long. Vraiment très très long. Il n'y aura pas Tennant que je n'aurais pas terminé la série !
Cependant, j'ai trouvé dommage que l'histoire soit si déformée ( spoiler: mon plus gros point concerne, Aouda, qui, dans l'œuvre originale, épouse Philéas).
Cependant, j'ai trouvé dommage que l'histoire soit si déformée ( spoiler: mon plus gros point concerne, Aouda, qui, dans l'œuvre originale, épouse Philéas).
Si la réchauffe à la sauce woke vous insupporte aussi, alors évitez-vous cette épreuve. C'est lent, inutilement grandiloquent, sans intensité, sans profondeur... Tout sonne faux et creux... Dégoulinant de bonnes intentions, bref, insipide !
Un énième classique massacré à la sauce de l'idéologie woke. Féminisme anti-hommes, luttes raciales, etc. On ne retrouve plus l'esprit de Jules Verne.
Si vous pensiez voir une version télévisée du roman de Jules Verne, vous serez déçu, le titre est une publicité mensongère, le rapport entre le roman et la série est minime : le titre, le pari de faire le tour du monde, et le nom des personnages, tout le reste est de l'invention.
Politiquement correct oblige, Passepartout est noir (pourquoi pas ?), et l'inspecteur Fix est remplacé par une miss Fix, fille à papa qui veut jouer les journalistes, et féministe qui aurait plus sa place dans Plus belle la vie que dans une série sensée se dérouler en 1872. Si le Fix du roman a un rôle secondaire, son homonyme en jupon est omniprésente. Le plus surprenant est le personnage de Mr Fogg ; certes il s'agit d'un homme blanc, mais le digne gentleman, archétype du flegme britannique, homme d'action courageux, cède la place à un homonyme complètement falo,t irascible, pleurnichard et trouillard, chaperonné par le valet et la reporteuse.
Dans le roman, le séjour à Paris se limite à aller la gare du Nord à la gare de Lyon, puis en quelques lignes on se retrouve à Suez où les choses sérieuses commencent. Ici notre anti-héros se trouve coincé dans un Paris en pleine émeute post-communarde, et peuplé d'autant de Noirs que le Paris de 2021 ; après avoir sauvé par hasard le méchant président Thiers d'un attentat commis par le frère de Passepartout, Fogg doit traverser Paris par les souterrains et doit son salut à une montgolfière qui échoue piteusement en Italie, heureusement le ballon a eu la bonne idée de s'écraser près d'une voie ferrée, 5 mn avant le passage du train pour Brindisi. Le trio monte dans le train, qui doit traverser un pont en ruine (déjà vu dans je ne sais quel film) afin de pouvoir soigné un enfant blessé, orphelin de mère et tyrannisé par son père, sniff. Pendant ce temps, le gentleman du Reform Club qui a incité Fogg a parier, met tout en oeuvre pour faire échouer le voyage, afin de gagner le pari et éponger ses dettes (ça rappelle la version dessin animé du Tour du monde).
J'attends la suite. Un Anglais sauvant courageusement des flammes une malheureuse femme brûlée par de cruels Hindous, ce n'est pas dans l'air du temps, pourquoi pas un.e transgenre condamné.e à mort par les Anglais ? Bien sûr notre journaliste progressiste prendra la défense des indigènes Indiens ou Amérindiens, refusera de voyager à dos d'éléphant, et pondra un article pour dénoncer les locomotives à vapeur qui contribuent au réchauffement climatique.
Happy end, bien sûr Fogg gagnera son pari (grâce au valet et à la demoiselle), sinon suspense, la fille à papa épousera-t-elle le valet noir ? fera-t-elle un enfant par PMA avec l'aide du beau cheminot italien ? Philéas Fogg fera-t-il son coming out devant le Reform-Club ? épousera-t-il le transgenre Aouda ? Suite aux prochains épisodes ...
Politiquement correct oblige, Passepartout est noir (pourquoi pas ?), et l'inspecteur Fix est remplacé par une miss Fix, fille à papa qui veut jouer les journalistes, et féministe qui aurait plus sa place dans Plus belle la vie que dans une série sensée se dérouler en 1872. Si le Fix du roman a un rôle secondaire, son homonyme en jupon est omniprésente. Le plus surprenant est le personnage de Mr Fogg ; certes il s'agit d'un homme blanc, mais le digne gentleman, archétype du flegme britannique, homme d'action courageux, cède la place à un homonyme complètement falo,t irascible, pleurnichard et trouillard, chaperonné par le valet et la reporteuse.
Dans le roman, le séjour à Paris se limite à aller la gare du Nord à la gare de Lyon, puis en quelques lignes on se retrouve à Suez où les choses sérieuses commencent. Ici notre anti-héros se trouve coincé dans un Paris en pleine émeute post-communarde, et peuplé d'autant de Noirs que le Paris de 2021 ; après avoir sauvé par hasard le méchant président Thiers d'un attentat commis par le frère de Passepartout, Fogg doit traverser Paris par les souterrains et doit son salut à une montgolfière qui échoue piteusement en Italie, heureusement le ballon a eu la bonne idée de s'écraser près d'une voie ferrée, 5 mn avant le passage du train pour Brindisi. Le trio monte dans le train, qui doit traverser un pont en ruine (déjà vu dans je ne sais quel film) afin de pouvoir soigné un enfant blessé, orphelin de mère et tyrannisé par son père, sniff. Pendant ce temps, le gentleman du Reform Club qui a incité Fogg a parier, met tout en oeuvre pour faire échouer le voyage, afin de gagner le pari et éponger ses dettes (ça rappelle la version dessin animé du Tour du monde).
J'attends la suite. Un Anglais sauvant courageusement des flammes une malheureuse femme brûlée par de cruels Hindous, ce n'est pas dans l'air du temps, pourquoi pas un.e transgenre condamné.e à mort par les Anglais ? Bien sûr notre journaliste progressiste prendra la défense des indigènes Indiens ou Amérindiens, refusera de voyager à dos d'éléphant, et pondra un article pour dénoncer les locomotives à vapeur qui contribuent au réchauffement climatique.
Happy end, bien sûr Fogg gagnera son pari (grâce au valet et à la demoiselle), sinon suspense, la fille à papa épousera-t-elle le valet noir ? fera-t-elle un enfant par PMA avec l'aide du beau cheminot italien ? Philéas Fogg fera-t-il son coming out devant le Reform-Club ? épousera-t-il le transgenre Aouda ? Suite aux prochains épisodes ...
Un beau voyage à la Tintin. Les décors sont magnifiques, les personnages attachants. Un peu de réflexion sur le racisme, et l'émancipation féminine ne font jamais de mal à personne et ajoutent des notes positives au scénario. Série mêlant poésie et aventures humaines réussie et esthétique.