Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
And Just Like That n’est pas un naufrage, mais la série est loin d’avoir la flamboyance de son modèle d’origine. Si ce n’est au niveau des tenues de ses héroïnes, qui en mettent toujours plein la vue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
Pour son retour, Carrie Bradshaw tente de comprendre un peu maladroitement son époque. Mais la série, écrite par l’équipe originale, parvient à mettre en scène les outrages du temps.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Vanity Fair
par Richard Lawson
J’ai vu quatre épisodes de la série. Les deux derniers me donnent à espérer que les showrunners sauront trouver l’équilibre nécessaire pour retrouver l’insouciance rafraîchissante des débuts. Mais les deux premiers épisodes se démarquent par leur côté plombant, comme s’ils s’acharnaient à prouver que même ces personnages fictifs et leur vie heureuse ne pouvaient échapper à la tristesse et aux frustrations de ces deux dernières années.
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Le Figaro
par Julia Baudin
L’absence de Kim Catrall, dont le personnage de Samantha était si truculent, évincée du casting pour des raisons financières, se ressent dès les premières images. L’introduction de nouveaux personnages ne convainc pas. Même si certains sont magnifiques, comme Che Diaz (Sara Ramirez), irrésistible humoriste ou l’universitaire Nya Wallace (Karen Pittman). (...) Le pari de la reprise était risqué. Il n’est que partiellement remporté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Marianne Levy
Le retour de Carrie et sa bande se fait sous le signe de la presbytie, du veuvage et d’une bonne dose de bons sentiments. Un mélange souvent indigeste dans les deux premiers épisodes, où manque l’ingrédient principal de l’originale : l’humour corrosif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
And Just Like That n’est pas un naufrage, mais la série est loin d’avoir la flamboyance de son modèle d’origine. Si ce n’est au niveau des tenues de ses héroïnes, qui en mettent toujours plein la vue.
Les Inrockuptibles
Pour son retour, Carrie Bradshaw tente de comprendre un peu maladroitement son époque. Mais la série, écrite par l’équipe originale, parvient à mettre en scène les outrages du temps.
Vanity Fair
J’ai vu quatre épisodes de la série. Les deux derniers me donnent à espérer que les showrunners sauront trouver l’équilibre nécessaire pour retrouver l’insouciance rafraîchissante des débuts. Mais les deux premiers épisodes se démarquent par leur côté plombant, comme s’ils s’acharnaient à prouver que même ces personnages fictifs et leur vie heureuse ne pouvaient échapper à la tristesse et aux frustrations de ces deux dernières années.
Le Figaro
L’absence de Kim Catrall, dont le personnage de Samantha était si truculent, évincée du casting pour des raisons financières, se ressent dès les premières images. L’introduction de nouveaux personnages ne convainc pas. Même si certains sont magnifiques, comme Che Diaz (Sara Ramirez), irrésistible humoriste ou l’universitaire Nya Wallace (Karen Pittman). (...) Le pari de la reprise était risqué. Il n’est que partiellement remporté.
Télérama
Le retour de Carrie et sa bande se fait sous le signe de la presbytie, du veuvage et d’une bonne dose de bons sentiments. Un mélange souvent indigeste dans les deux premiers épisodes, où manque l’ingrédient principal de l’originale : l’humour corrosif.