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Mike H.
2 critiques
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Critique de la série
5,0
Publiée le 25 octobre 2020
J’ai dévoré cette série en une après-midi. L’histoire de cette orpheline prodige des échecs est passionnante, on ne s’ennuie pas une minute. Les actrices principales sont stupéfiantes (jeune comme adulte) et les seconds rôles sont bons également. Je vous la conseille, même si vous n’y connaissez rien aux échecs.
je suis sur le cul, jamais reçu autant d'émotion avec une série, on passe des larmes aux rires tout du long, c'était une expérience magnifique. Le 7ème art dans toute sa splendeur.
C'est vrai que j'ai bien aimé ; après pour être objectif , ce n'est pas du tout la gifle que j'attendais en lisant la somme des critiques dithyrambiques . Disons le tout de suite ,l'actrice Anya Taylor qui joue le rôle de Beth est ...whaouuuuu! Elle a tout : une beauté piquante de rousse et une présence à l'écran ....whaouuuu!! Les robes , l'ambiance années 60 et les décors ....Super !!Alors me direz vous, pourquoi 3* seulement si tout est bon??? Parce que la trame narrative et le scénario sont affligeants!! On est reparti sur des clichés d'une banalité digne d'"Emily in Paris"!! Tout y est , l'histoire est adaptable à tout ce genre de films ; on prends un golfeur, un tennis man , un joueur de poker ...et ça marche à tous les coups !! Les clichés?, pffff des tonnes!! C'est parti : spoiler: l'orphelinat,la copine black rebelle,le concierge qui joue aux échecs dans son sous-sol, la famille adoptive en bois ,l’ascension fulgurante entachée d’orgueil ,les hôtels de luxe, le beau joueur d'échecs ....mais gay, l'alcool et les drogues suivi de la descente aux enfers! Puis retour aux bases :apparts minables et travail jour et nuit , une rechute dans l’alcool ,la rédemption et la victoire finale contre l'adversaire éternel, on gagne le respect de tous .....FIN un bon ROCKY, quoi ! Pour terminer un ou deux épisodes sont uniquement du remplissage et les rôles de la mère névrosée de Beth et du père de la famille d' adoption sont absolument inutiles ou du moins trop mal traités dans le film. En résumé , ça se regarde avec plaisir , ça plaira à tout le monde même si on ne comprend rien aux échecs et l'actrice principale rayonne tellement qu'il faut avoir vu "Le jeu de la Dame"
Une mii-série surprenante, fascinante. Une prodige des échecs dans un univers exclusivement masculin dans les années 60, où la place de la femme est à la maison. Une pépite sur la passion dévorante de ce noble jeu de l'esprit. Scénario sans faille, réalisation et jeu de l'actrice à la hauteur ! À regarder sans modération que l'on aime les échecs ou pas...
Lorsque les notes sont excessivement bonnes, et c'est le cas ici, je m'attends toujours à de la déception, un peu comme par exemple avec les films de Xavier Dolan que je n'apprécie guère. Là, à part quelques longueurs qui motivent ma note, j'ai trouvé l'ensemble très réussi. D'abord, on est véhiculé dans les années 60, et force est de constater que la reconstitution est bluffante. Ensuite, l'histoire de cette passion pour les échecs et l'ascension de l'héroïne que celle-ci a permis, alors que l'intéressée, magnifiquement interprétée par Anya Taylor-Joy, partait dans la vie de la pire façon qui soit, orpheline avec son cortège de drames familiaux. En fait, et comme souvent, c'est le hasard qui lui a mis le pied à l'étrier, en rencontrant à l'âge de neuf ans .au sous sol de son orphelinat, le gardien grand amateur d'échecs, qui meublait ainsi sa vie très vide. Pour contrer sa fragilité, due à son mauvais départ, elle s'est vite adonnée aux drogues puis à l'alcool. C'est en atteignant le sommet, en finissant par battre le champion du monde russe, qu'elle s'est rendue compte que ces addictions n'étaient plus nécessaires. Une belle leçon de vie et une histoire profondément humaine.
Pas sûre que, dans la réalité, tout puisse se passer tel que raconté dans cette histoire. Je trouve un peu rapide l'ascension de la championne d'échecs qui ne perd guère de parties dans son adolescence. Cependant, on a envie de croire au personnage et d'adhérer à ce qui lui arrive. La série, habilement, évite le pathos autour de ses deuils ou de l'orphelinat. Elle est toute entière centrée sur la personnalité de cette jeune fille intelligente et introvertie et sur sa passion pour les échecs. Série avec du rythme que je situe dans le tiers supérieur des propositions actuelles
PASSIONNANT ! J'y suis allé à reculons , car je n'avais aucun intérêt pour les échecs, mais j'avais déjà remarqué Ana Joy Taylor, avec ses grands yeux et son charme mystérieux. Dès le départ, j'ai été happé. Le parcours d'une orpheline découvrant les échecs avec le gardien d'un pensionnat devient rapidement addictif, d'autant plus quand ATJ lui prête ses traits dès l'adolescence. Entre glamour et conduites addictive, elle séduit ou inquiète, mais captive toujours. Cette série bénéficie non seulement d'une histoire originale, d'un casting incroyable et d'une minutieuse reconstitution des 60's (à l'inverse de Ratched où tout paraît faux), mais aussi d'un rythme et d'effets oniriques (ah cet échiquier au plafond) qui plongent le spectateur dans l'esprit aussi génial que torturé de Beth Harmon. C'est simple, je n'ai trouvé aucune fausse note, et le final est palpitant. Pur génie.
Que dire? A part que The Queen's Gambit est certainement une des séries de l'année et un coup de cœur obligatoire vu la qualité de l'œuvre. Surpris par contre qu'une saison 2 pourrait être mise en chantier mais bon parlons déjà de cette saison. Tout est parfait dans cette série la narration, les décors, l'histoire et les acteurs qui la compose. Suivre cette pauvre orpheline de ses débuts à l'orphelinat jusqu'à la consécration ultime de joueuse d'échecs. Le propos est féministe mais pas moralisateur, la série parle des échecs(le jeu) sans être trop excluante pour ceux comme moi qui ne connaissent pas les rouages de ce jeu de stratégie. Incarnée à l'écran par la sublime Anya Taylor-Joy, cet objet filmique mérite toute son attention à bien plus d'un égard. Une maestria du début à la fin rarement portée à l'écran. Chapeau.
Ça ressemble à s'y méprendre à un biopic mais c'est une totale fiction sur une joueuse d'échec surdouée qui renverse tout sur son passage à la fin des années 60. Fantasme féministe typique de la période actuelle dans laquelle on réécrit l'histoire sans le moindre scrupule, il n'en reste pas moins que c'est très réussi. L'interprétation est formidable, la réalisation de très bonne qualité et le scénario est en béton armé.
Une saison (2020, soit 7 épisodes). Série terminée. Réalisée par Scott Frank, cette série décrit l’ascension d’une talentueuse joueuse d’échecs dans les années 1960. En pleine guerre froide, ce prodige décide de devenir championne du monde d’un jeu essentiellement réservé aux hommes. L’actrice principale (Anya Taylor-Joy) est totalement impressionnante, avec une palette de comportements et de mimiques très riche. Elle est accompagnée par plusieurs seconds rôles de qualité dont Harry Melling (vu dans la saga « Harry Potter ») ou bien Thomas Brodie-Sangster (vu dans la série « Game of thrones »). Même si l’on n’est pas passionné par le jeu des échecs, les parties sont parfaitement filmées donnant même l’impression à un non initié de comprendre les règles. C’est fluide, c’est rythmé avec une reconstitution de l’époque (décors, costumes, ambiance, etc.) saisissante. Bref, une série intelligente et palpitante.
Une série qui retrace une histoire pas toujours tout beau tout rose de "Beth" sur le thème du jeu d'echec. les jeux de rôles sont naturelle, belle représentation de l'actrice principale ! Les décors des années 60 sont superbes... costumes, paysage, gestion de la lumière, on en prend pleins les mirettes. En bref, une excellente mini serie.
C'est une série fabuleuse. Elle donne envie d'enlever une étoile à toutes les séries notées précédemment tant elle est largement au dessus et touche la perfection. Le jeu d'échec ? Inutile de connaitre ! On ne suit pas le personnage principal : on le vit. On frémit d'inquiétude pour elle quand elle est dans ses addictions. On est super content quand elle gagne. Le personnage a un caractère vraiment spécial et très bien joué par l'actrice. Aucun épisode n'est de trop. Tous les rôles : premier, second et figurants sont crédibles. Quant à la manière de filmer, elle est unique : mouvements de caméras fluides, couleurs, reconstitution des années 50 / 60. Des trouvailles géniales par exemple spoiler: les pièces au plafond quand elle évalue ses coups . Une ambiance sonore (musique, etc) parfaite. Le jeu des acteurs est sobre et efficace. La manière de filmer aussi. Pas de quota ou de cahier des charges politiquement correct : les réalisateurs sont centrés sur leur série. Une pépite largement au dessus de tout ce qui a été réalisé les 30 dernières années. A voir absolument.