Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Critictoo
par La Rédaction
We Are Who We Are est une grande série sur le désir qu’il soit multiple, en mutation ou inadéquate ; il est là, en permanence, et il rend les questionnements quasi obsolètes puisque de par sa nature même transformatrice il ne peut y avoir une réelle réponse. Dès lors, le show se prélasse dans quelque chose de plus sensoriel, elle fait de Fraser et Caitlin, deux excroissances qui vont se trouver, s’appréhender pour finalement fusionner. La série a cela de beau qu’elle parvient à restaurer toute la fougue des sentiments adolescents.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Les Echos
par Cecilia Delporte
Une plongée dans l'intime, où tout est suggéré pour laisser place à l'imaginaire. Contemplative, la série séduit par le jeu d'acteurs de ses deux adolescents, très joliment campés par le jeune premier Jack Dylan Grazer et la formidable comédienne Jordan Kristine Seamón, véritablement magnétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
L'Obs
par Marjolaine Jarry
Volontiers perturbante, « We Are Who We Are » alterne stases contemplatives et éruptions voyeuristes. Au fil des épisodes, l’intertextualité en dit long.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Constance Jamet
Comme Euphoria, We Are Who We are capture les tourments et les incertitudes de la Génération Z. Une génération qui se cherche, expérimente et rejette les étiquettes. Cette série en montre aussi la fureur, à travers les accès de rage de Fraser envers sa mère biologique (Chloé Sévigny inflexible).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
We Are Who We Are met en scène la construction d’une nouvelle identité. L’épiphanie solaire de Call Me By Your Name fait place à une série d’inflexions, parfois presque imperceptibles, qui conduisent les protagonistes, Fraser et Caitlin, jusqu’à une vérité forcément provisoire, qui se déploie délicatement au fil du temps, ce temps de la série, qui autorise nuances et complexité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
Si Guadagnino n’est pas toujours très fin, il faut reconnaître qu’il touche souvent juste, parvenant à capturer non pas l’essence mais l’écume de l’adolescence, ce qui bouillonne à l’intérieur des corps en transition et s’en épanche sans crier gare.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Jonathan Blanchet
Luca Guadagnino file la métaphore, dans cette base où se retrouvent des jeunes de tous horizons, loin de leur port d’attache, à la recherche d’eux-mêmes, dans un récit dont l’entrée en matière elle-même déboussole. Le propos fait écho à Call me by your name et sa découverte de soi, de son identité et de sa sexualité, en terre transalpine. We are who we are en devient un fascinant complément, maniériste, mais hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Certes la réalisation de Lucas Guadagnino, qui signe la mise en scène de tous les épisodes, est réussie, mêlant douceur et ardeur. Peut-être trop fasciné par son sujet, il en oublie simplement d'embarquer le public avec lui, qui reste sur la touche.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Critictoo
We Are Who We Are est une grande série sur le désir qu’il soit multiple, en mutation ou inadéquate ; il est là, en permanence, et il rend les questionnements quasi obsolètes puisque de par sa nature même transformatrice il ne peut y avoir une réelle réponse. Dès lors, le show se prélasse dans quelque chose de plus sensoriel, elle fait de Fraser et Caitlin, deux excroissances qui vont se trouver, s’appréhender pour finalement fusionner. La série a cela de beau qu’elle parvient à restaurer toute la fougue des sentiments adolescents.
Les Echos
Une plongée dans l'intime, où tout est suggéré pour laisser place à l'imaginaire. Contemplative, la série séduit par le jeu d'acteurs de ses deux adolescents, très joliment campés par le jeune premier Jack Dylan Grazer et la formidable comédienne Jordan Kristine Seamón, véritablement magnétique.
L'Obs
Volontiers perturbante, « We Are Who We Are » alterne stases contemplatives et éruptions voyeuristes. Au fil des épisodes, l’intertextualité en dit long.
Le Figaro
Comme Euphoria, We Are Who We are capture les tourments et les incertitudes de la Génération Z. Une génération qui se cherche, expérimente et rejette les étiquettes. Cette série en montre aussi la fureur, à travers les accès de rage de Fraser envers sa mère biologique (Chloé Sévigny inflexible).
Le Monde
We Are Who We Are met en scène la construction d’une nouvelle identité. L’épiphanie solaire de Call Me By Your Name fait place à une série d’inflexions, parfois presque imperceptibles, qui conduisent les protagonistes, Fraser et Caitlin, jusqu’à une vérité forcément provisoire, qui se déploie délicatement au fil du temps, ce temps de la série, qui autorise nuances et complexité.
Les Inrockuptibles
Si Guadagnino n’est pas toujours très fin, il faut reconnaître qu’il touche souvent juste, parvenant à capturer non pas l’essence mais l’écume de l’adolescence, ce qui bouillonne à l’intérieur des corps en transition et s’en épanche sans crier gare.
Première
Luca Guadagnino file la métaphore, dans cette base où se retrouvent des jeunes de tous horizons, loin de leur port d’attache, à la recherche d’eux-mêmes, dans un récit dont l’entrée en matière elle-même déboussole. Le propos fait écho à Call me by your name et sa découverte de soi, de son identité et de sa sexualité, en terre transalpine. We are who we are en devient un fascinant complément, maniériste, mais hypnotique.
Le Parisien
Certes la réalisation de Lucas Guadagnino, qui signe la mise en scène de tous les épisodes, est réussie, mêlant douceur et ardeur. Peut-être trop fasciné par son sujet, il en oublie simplement d'embarquer le public avec lui, qui reste sur la touche.