Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Collider
par Tom Reimann
"Une série à l'histoire unique qui ne plaira pas à tout le monde - certains téléspectateurs auront du mal à croire les libertés prises par les créateurs et les scènes pour le moins osées. Le sérieux d'Hollywood pourrait même être pris pour de la naïveté. Mais il peut y avoir de la sagesse dans la naïveté et cela me semble impossible de ne pas sourir avec une joie spontanée à chaque fois que les différentes intrigues se mettent parfaitement en place."
La critique complète est disponible sur le site Collider
Le Figaro
par Constance Jamet
"Avec son outrance et son clinquant caractéristiques, Murphy aligne les ébats entre les personnages. Il ressuscite même les parties fines de George Cukor mais il rend aussi justice à ces stars des Forties broyées par le système, comme Anna May Wong. Le créateur traite d’ailleurs avec tendresse ses personnages. Leur foi en leur bonne étoile et leur sincérité sont désarmantes. Marginalisés en raison de leur couleur de peau, de leur sexualité, de leur âge, ils ont l’intuition qu’en révolutionnant Hollywood, ils abrogeront les préjugés de chacun. Leur succès poussera ceux qu’on a toujours rabaissés à réaliser leurs rêves. C’est cela, la magie du cinéma."
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
"Murphy non seulement met en lumière les figures minoritaires que la mecque du cinéma a laissées dans l’ombre, discriminées, ignorées durant des décennies, mais il leur invente un destin. C’est la partie la plus politique et queer de la minisérie, parfois aussi la plus démonstrative et vite résolue – notamment à la toute fin : on aurait aimé plus de mordant à ce moment-là. Mais cela n’entache en rien la beauté jouissive de ce chant d’amour contrarié à l’éternel hollywoodien, dont Ryan Murphy démontre qu’il est en perpétuelle évolution."
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clélia Cohen
"Entre fantômes et fraîcheur, Hollywood serait ainsi l’enfant légitime de Kenneth Anger ou de James Ellroy et de Glee. Drôle de mélange mais qui fonctionne, ne serait-ce que pour voir ces garçons et ces filles aux plastiques lisses de sitcom et aux rêves incorrects gravir et redescendre indéfiniment sous le ciel étoilé les lettres de feu de Hollywoodland."
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rolling Stone
par Alan Sepinwall
"Ryan Murphy a toujours été meilleur avec les grandes idées qu'avec les petits détails. Les bons sentiments de la série, mêlés à la puissance de la performance des acteurs, sont communicatifs et on pardonne plus facilement les points faibles d'Hollywood. Parfois, la série s'auto-félicite un peu trop pour son sujet, même si les intentions restent admirables."
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Emilie Gavoille
"Les premiers épisodes sont furieusement entraînants, mais la seconde moitié s’essouffle. Jusqu’à un épilogue qui, par goût dévorant du happy end, se prend un peu les pieds dans le tapis (rouge)…"
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Los Angeles Times
par Robert Lloyd
"La sincérité et la générosité de la série parviennent à Hollywood de sortir de l'ordinaire, quitte à paraître, parfois, un peu ridicule. Le programme tient à offrir un bon développement à ses personnages. Si la série est facile à regarder et que l'on se prend d'affection pour son désir absolu de libérer une époque de forte répression, on ressent tout de même peu d'urgence dans ce récit."
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
TVLine
par Dave Nemetz
"Hollywood est une déception, malgré son excellente distribution et de grandes ambitions. C'est un peu comme certaines des icônes du grand écran durant le vieil Hollywood : il y a de quoi briller, mais pas assez de substance."
La critique complète est disponible sur le site TVLine
Vanity Fair
par Gabriel Piozza
"Ryan Murphy n’arrive toujours pas à se défaire des poncifs qui jalonnent ses œuvres originales. Dans Hollywood, comme dans American Horror Story ou Glee, le showrunner s’empêtre dans un scénario parasité par trop de rebondissements éculés, résultant en une avalanche de facilités scénaristiques dont lui seul à le secret. En s'éparpillant de la sorte, Hollywood ressemble à un joli songe qui ne dit finalement pas grand-chose, si ce n’est que c’est quand même bien dommage que l’Amérique blanche et hétérosexuelle ait gardé la mainmise sur le monde du divertissement si longtemps."
La critique complète est disponible sur le site Vanity Fair
Collider
"Une série à l'histoire unique qui ne plaira pas à tout le monde - certains téléspectateurs auront du mal à croire les libertés prises par les créateurs et les scènes pour le moins osées. Le sérieux d'Hollywood pourrait même être pris pour de la naïveté. Mais il peut y avoir de la sagesse dans la naïveté et cela me semble impossible de ne pas sourir avec une joie spontanée à chaque fois que les différentes intrigues se mettent parfaitement en place."
Le Figaro
"Avec son outrance et son clinquant caractéristiques, Murphy aligne les ébats entre les personnages. Il ressuscite même les parties fines de George Cukor mais il rend aussi justice à ces stars des Forties broyées par le système, comme Anna May Wong. Le créateur traite d’ailleurs avec tendresse ses personnages. Leur foi en leur bonne étoile et leur sincérité sont désarmantes. Marginalisés en raison de leur couleur de peau, de leur sexualité, de leur âge, ils ont l’intuition qu’en révolutionnant Hollywood, ils abrogeront les préjugés de chacun. Leur succès poussera ceux qu’on a toujours rabaissés à réaliser leurs rêves. C’est cela, la magie du cinéma."
Les Inrockuptibles
"Murphy non seulement met en lumière les figures minoritaires que la mecque du cinéma a laissées dans l’ombre, discriminées, ignorées durant des décennies, mais il leur invente un destin. C’est la partie la plus politique et queer de la minisérie, parfois aussi la plus démonstrative et vite résolue – notamment à la toute fin : on aurait aimé plus de mordant à ce moment-là. Mais cela n’entache en rien la beauté jouissive de ce chant d’amour contrarié à l’éternel hollywoodien, dont Ryan Murphy démontre qu’il est en perpétuelle évolution."
Libération
"Entre fantômes et fraîcheur, Hollywood serait ainsi l’enfant légitime de Kenneth Anger ou de James Ellroy et de Glee. Drôle de mélange mais qui fonctionne, ne serait-ce que pour voir ces garçons et ces filles aux plastiques lisses de sitcom et aux rêves incorrects gravir et redescendre indéfiniment sous le ciel étoilé les lettres de feu de Hollywoodland."
Rolling Stone
"Ryan Murphy a toujours été meilleur avec les grandes idées qu'avec les petits détails. Les bons sentiments de la série, mêlés à la puissance de la performance des acteurs, sont communicatifs et on pardonne plus facilement les points faibles d'Hollywood. Parfois, la série s'auto-félicite un peu trop pour son sujet, même si les intentions restent admirables."
Télérama
"Les premiers épisodes sont furieusement entraînants, mais la seconde moitié s’essouffle. Jusqu’à un épilogue qui, par goût dévorant du happy end, se prend un peu les pieds dans le tapis (rouge)…"
Los Angeles Times
"La sincérité et la générosité de la série parviennent à Hollywood de sortir de l'ordinaire, quitte à paraître, parfois, un peu ridicule. Le programme tient à offrir un bon développement à ses personnages. Si la série est facile à regarder et que l'on se prend d'affection pour son désir absolu de libérer une époque de forte répression, on ressent tout de même peu d'urgence dans ce récit."
TVLine
"Hollywood est une déception, malgré son excellente distribution et de grandes ambitions. C'est un peu comme certaines des icônes du grand écran durant le vieil Hollywood : il y a de quoi briller, mais pas assez de substance."
Vanity Fair
"Ryan Murphy n’arrive toujours pas à se défaire des poncifs qui jalonnent ses œuvres originales. Dans Hollywood, comme dans American Horror Story ou Glee, le showrunner s’empêtre dans un scénario parasité par trop de rebondissements éculés, résultant en une avalanche de facilités scénaristiques dont lui seul à le secret. En s'éparpillant de la sorte, Hollywood ressemble à un joli songe qui ne dit finalement pas grand-chose, si ce n’est que c’est quand même bien dommage que l’Amérique blanche et hétérosexuelle ait gardé la mainmise sur le monde du divertissement si longtemps."