Evil
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Silverhawk
Silverhawk

14 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,0
Publiée le 3 juillet 2021
J adore, vivement la saison 2 , super serie je vous la conseille vivement ! L intrigue l histoire j ai adoré des le premier episode !!
alucard37000
alucard37000

6 abonnés 4 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,5
Publiée le 9 décembre 2020
Vraiment une excellente série. Qui prend des directions très surprenantes. Et les réactions des personnages sont aussi très inattendues. Vraiment a ne pas louper.
Julie L.
Julie L.

2 abonnés 69 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,0
Publiée le 17 mai 2021
Ca se laisse regarder mais je le déconseille aux plus jeunes, mon fils de quinze n'a pas aimé,trop flippant pour lui
Fred Bush
Fred Bush

3 abonnés 19 critiques Suivre son activité

Critique de la série
5,0
Publiée le 7 septembre 2023
Evil. Rare série qui traite de la foi des doutes envers celle ci. Côté evil côté athé et côté église. C'est décalé c'est dérangeant. La série se permet tout et n'a aucun tabou. Elle joue sur nos peurs (terreur nocturne) . Au final c'est un chef d'oeuvre ! Ce genre de série ou tu te dis : déjà terminé vivement la prochaine saison. Méconnue je ne m'explique pas pourquoi elle n'est pas devenue une série majeure...
Just A Word
Just A Word

11 abonnés 5 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 1
2,0
Publiée le 4 février 2022
Lancée en 2019 sur la chaîne publique CBS, Evil a connu un large succès aux États-Unis. Un succès tel que la série est même devenue l’un des fers de lance de la nouvelle plateforme Paramount + pour sa seconde saison et qu’elle est déjà renouvelée pour une troisième ! Crée par Robert et Michelle King à qui l’on doit déjà The Good Wife ou encore The Bite, Evil est désormais disponible en France sur Salto (en plus de sa diffusion sur TF1). Mais que vaut cette série où surnaturel et rationalité se tirent la bourre ?

La foi ou la loi ?
Le principe d’Evil est aussi simple qu’efficace : confronter la croyance au réel. Pour se faire, Robert et Michelle King nous embarquent dès le pilot dans une aventure menée tambour battant et rarement un premier épisode de série n’a été aussi vite à mettre en place toute sa mythologie.
Kristen Bouchard est une psychologue qui bosse pour la Justice dans le Queens et tente d’analyser les criminels pour savoir qui peut être jugé responsable de ses actes ou relevant plus surement du domaine psychiatrique. Confronté à Orson Leroux, un serial killer, Kristen est avertie par David Acosta, un prêtre en formation, que les dires de l’accusé qui se prétend possédé par le démon…ne sont peut-être pas sans fondement. Alors que Kristen commence à avoir des terreurs nocturnes où elle voit un démon qui se fait appelé Georges, une autre menace se fait jour en la personne de Leland Townsend, autre psychologue qui semble intimement lié à Leroux et déterminé à nuire au système judiciaire. Alors que LeRoux finit par être condamné, David propose à Kristen de le rejoindre lui et Ben Shakir, un expert en technologie, pour enquêter sur des cas de possessions et de phénomènes surnaturels soumis à l’Église.
Après un pilot qui passe à la vitesse d’un TGV lancé à pleine vitesse et qui enchaîne les péripéties sans reprendre son souffle, Evil se lance dans un schéma archi-classique que l’on appelle couramment le « case of the week » où chaque épisode confronte nos héros à un cas différent qu’ils devront résoudre. C’est le principe utilisé par X-Files ou encore Fringe, deux séries dont s’inspire ouvertement Evil en y mêlant un zest des séries policières à rallonge qui pullulent sur la télévision publique américaine.
Evil va même plus loin que l’hommage en jouant sur les mêmes mécanismes narratifs que la série de Chris Carter.

Du démon dans mon X-Files !
Comme dans X-Files, Evil cherche à confronter deux points de vues : celui du croyant et celui du scientifique, du rationnel. Petite variante ici, la chose ne se construit plus sur un duo complètement opposé mais sur un trio qui semble d’abord évoquer un panel plus large de réactions face à l’inexpliqué.
David est un futur prêtre, un croyant, Kristen est une psychologue mais qui semble croire sans croire, c’est une agnostique et Ben est un scientifique pur jus, un athée. Dès lors, la série tente de faire s’affronter ces points de vues pour entretenir le doute sur les affaires traitées par le trio.
Problème, cette petite gymnastique va vite tourner court puisque très rapidement, plus personne dans ce petit trio ne s’oppose avec véhémence aux origines surnaturelles de ce qu’ils affrontent.
Comme pour Fringe et X-Files, Michelle et Robert King jonglent avec une histoire amoureuse latente (entre David et Kristen) pour accrocher son public. De même, la série va progressivement basculer d’un mécanisme de « case of the week » vers une histoire où tous les fils rouges de la saison tendent à se réunir, même si cela n’intervient au final que dans les deux derniers épisodes.
En somme, Evil réutilise des principes télévisuels éculés et déjà largement éprouvés avant lui. Son originalité se trouve ailleurs.

L’horreur, en face
La première originalité, et non des moindres, c’est d’assumer frontalement son univers surnaturel et ses créatures démoniaques…dès le premier épisode ! En effet, dès le pilot, Evil nous montre Georges, le démon tortionnaire qui vient terroriser Kristen durant la nuit. Pas d’hors-champ ou de voix venant de nulle part mais bel et bien un démon en chair et en os au design particulièrement réussi et qui ne s’embarrasse pas de subtilités pour effrayer Kristen (et le spectateur). Cette caractéristique d’exposer le mal en pleine lumière se retrouvera souvent durant les épisodes suivants avec des éléments très graphiques mais qui finiront tout de même par interroger.
Car avec cette volonté de montrer, Evil prend aussi le pari d’abandonner toute subtilité dans son traitement, et c’est là que la série va finir par se tirer une balle dans le pied notamment avec l’apparition en fin de saison d’un démon-bouc plus ridicule qu’effrayant…
Ce fragile équilibre entre terreur et grotesque se retrouve dans les nombreuses séances d’exorcismes qui jalonnent cette première saison et durant lesquels les acteurs/actrices en font des tonnes. Le résultat apparaît plus souvent comme totalement ridicule que terrorisant.
L’autre originalité d’Evil, c’est donc de jouer la carte de l’efficacité et de l’enchaînement des péripéties à n’en plus finir. Cette caractéristique tient aussi à la nature même du show qui reste une série conçue pour la télévision publique américaine où le but reste de ferrer le spectateur pour qu’il ne zappe pas à la première page de pub venue. Ce qui donne au final un sentiment de trop-plein aux épisodes et de cliffhanger faciles. Ce rythme précipitée qui joue d’abord en faveur de la série va finir par miner ses différentes histoires en accumulant ficelles scénaristiques voyantes et incohérences en pagaille.

Progressiste, vraiment ?
Pourtant, Evil fait quelque chose qui semble très intéressant. Le show tente de confronter les faits surnaturels, et notamment ceux à caractères divins/démoniaques, à la croyance dans un contexte d’hypertechnologie. Pendant un temps, la série parvient même à illustrer de façon assez roublarde que l’artifice technologique peut facilement mimer le fait religieux. On pense notamment à ce patron qui entend des voix mais qui se fait en réalité influencer par son enceinte intelligente ou à ces gamines qui se mutilent et qui sont en fait victimes d’un message subliminal inclue dans la musique d’une vidéo YouTube. Cette piste intéressante va cependant prendre une direction beaucoup plus contestable au fur et à mesure des treize épisodes de cette première saison.
Même si Evil traite de sujets d’actualité que sont le racisme, les incels, la maladie mentale ou encore (et c’est surprenant) du génocide Rwandais, la série se montre extrêmement ambiguë dans sa perception de la religion et sa place dans la société.
Osons même dire qu’Evil a plus souvent des allures sérieusement réac’ que de véritables intentions progressistes.
En toile de fond, la technologie est surtout décrite comme quelque chose de fondamentalement dangereux et mauvais : On peut vous espionner comme on veut, le jeux vidéo rend violent et traumatise, les médicaments sont dangereux, les médecins sont corrompus par les laboratoires, la psychologie est une manipulation, YouTube sert de vecteur à des nuisibles… Evil joue souvent sur la corde raide et dissimule un peu trop facilement des messages parfois scandaleux.
Prenons un exemple des plus parlants avec le lamentable épisode 9 dans lequel David est accusé d’avoir mis en danger la vie de Caroline, une femme exorcisée plus tôt dans la série. spoiler: Non seulement Evil nous place du côté de l’Église d’emblée, mais les scénaristes concluent à la responsabilité du psychiatre vendu à BigPharma et qui a nuit à la patiente pour se faire du fric. Et ceux qui l’ont « exorcisé » dans la salle de bains avec des crucifix et des bibles sont des gens bien qui l’ont aidé et remis dans le droit chemin. On nage en pleine hallucination collective et, pour tout dire, en pleine propagande.

Ce genre de choses reviendra à plusieurs reprises durant cette première saison pour transformer à la fin un show qui devrait semer le doute en une sorte de série qui fait l’apologie de l’Église et de la foi.

Deus ex Machina TV
Sans même considérer l’aspect idéologique borderline d’Evil, il faut aussi pointer du doigt son manque total de subtilité dans le traitement de ses intrigues ainsi que des ficelles scénaristiques de la taille du Grand Canyon.
spoiler: De Leland Townsend qui peut visiblement dire et faire n’importe quoi au service de la Justice (et qui reste en poste même après un enregistrement plus qu’accablant diffusé en présence d’un juge) à cette séquence où Kristen se balade devant Ben avec du sang sur la jambe avant de l’essuyer en disant qu’elle ne veut pas en parler, tranquille.
On passera sur les révélations poussives de l’épisode final pour raccrocher les wagons ou sur certains cliffhangers qui sortent de nul part spoiler: (la mère qui tue son enfant supposément démoniaque, le jeune qui devient un incel terroriste après une veste en public et trois séances chez le psy, les enfants de Kristen qui maîtrisent les prières tibétaines en une aprem, la mère de Kristen qui tombent éperdument amoureuse du pire connard de la série…).
Evil a la fâcheuse tendance à bâcler ses mécanismes narratifs et pour cause, le show n’en a simplement pas le temps du fait de sa durée et de son positionnement clairement grand public.
Côté mise en scène, rien de bien formidable, la plupart des réalisateurs se contentant de fournir un objet reproductible et vaguement enrichi de quelques plans où la caméra s’incline pour donner une impression d’étrangeté qui finit par lasser. Reste alors les acteurs, très solides quand on se limite au trio principal — Mike Colter, Katja Herbers et Aasi Mandvi, le meilleur des trois — et qui virent souvent au drame dès que l’on se tourne vers les rôles secondaires pris entre surjeu et médiocrité absolu. Seul Michael Emerson semble tirer son épingle du jeu là-dedans en jouant le manipulateur-sociopathe avec un plaisir non dissimulé.

Evil aurait pu être une série extrêmement intéressante mais, voilà, il a fallu qu’elle atterrisse sur une chaîne grand public aux mains de showrunners aussi subtils qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine. En y ajoutant une ambiguïté idéologique qui met parfois mal à l’aise, un casting secondaire souvent lamentable et un repompage en règle de séries cultes, Evil n’a rien du show génial (sur)vendu par des critiques américaines clairement à l’Ouest.
Addictif certes, mais facile, populiste et souvent grotesque.
Scat
Scat

7 abonnés 85 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,0
Publiée le 18 octobre 2023
C'est une très bonne série pour ce qui est des enquêtes paranormales. C'est original, très bien conçu, réalisé, joué etc. J'y passe vraiment un bon moment.

Par contre, on se noie vite dans le côté religieux chrétien avec ses clichés, sa femme qui est tentatrice et accroc au vice, le pardon pour les pires horreurs et son enfer qui, je dois l'avouer, est bien amené, sournois et pleinement assumé.

Bref, une belle surprise et de quoi passer un bon moment.
yeuce
yeuce

31 abonnés 933 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 1
3,5
Publiée le 27 décembre 2023
Des épisodes inégaux, mais la saison se suit facilement, je verrais la seconde sous un autre angle, moins sur le côté irrationnel
Ja Z
Ja Z

58 abonnés 474 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 2
2,5
Publiée le 14 octobre 2021
Cette saison est très intense et bizarre je n'ai pas vraiment aimé par rapport à la saison précédente qui elle reposé sur des investigations plus terre à terre.
RealPrime
RealPrime

93 abonnés 1 804 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 3
3,0
Publiée le 11 décembre 2023
Une dernière saison connue qui se détache royalement des précédences au vu des nouvelles apparitions "bibliques" dont sont "victime" notre prêtre adorer, de l'absence totale et donc, non retour en fanfare des look ténébreux de l'ange Gabriel & la femme démon (à mon très grand regret), Une saison ou les enquêtes se poursuivent en ressemblant de plus en plus à banal série policière mais qui apportent toujours leur lots de "surprises" bien réelles et démontrent avec perfection la mentalité humaine et la société d'aujourd'hui. spoiler: L'épisode 6 consacré au réseau social DivTrap (dériver fictif de TikTok) est le meilleur de tous puisqu'i met de la façon la plus belle, la plus fascinante et malheureusement réaliste des manières, la psychologie dérangeante et mentalité stupide des internautes pour augmenter leur abonnés et nombre de vus de façon XXL. Se montrer en état de possession alors qu'il n'en ai strictement rien. Les autres restent donc inchangés mais l'évolution globale suit tranquillement son cours. Quant au duo Christine Lahti / Michael Emerson, il se met plus en retrait et nous permet quand même de vivre des passages stupéfiant avec leur "patron", le "diable" si je puis clairement dire
. Le final à été des plus surprenant, bibliquement "dérangeant" et permet d'embler d'imaginer une 4ème slave plus sombre, plus bizarre ou plus occulte, impossible de choisir le terme exact. A suivre...
RealPrime
RealPrime

93 abonnés 1 804 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 2
4,0
Publiée le 4 novembre 2023
Quasiment égale à la première, cette saison fut marquée par les apparitions multiples et spoiler: particulièrement fascinantes des créatures bibliques à savoir l'ange Gabriel (dont le visuel fut plus proche de l'horreur) et de cette femme démon aussi belle qu'effrayante et qui aura bien malmener notre expert technologique. Une évolution en soit de la série qui aura été particulièrement bien venue
. Notre trio poursuit sa route des faits plus ou surnaturels, plus ou moins spirituels pour toujours plus de fait parfois drôle, parfois à milles lieux de ce qu'on pourrait bien penser mais les raisons sont toujours très bien démontrées. Notre guest Michael Emerson continu sa performance endiablée, spoiler: entre liens "amicaux" forcés et liens "pro" volontairement mis en œuvre pour ses propres intérêts, sa relation avec Christine Lahti à elle aussi évoluée avec nombres de scènes devenues bien croquantes aussi bien dans l'humiliation de l'un par l'autre que dans la manipulation psychologique de l'autre sur l'un. Autre relation évoluant de manière bien inattendue même si depuis le début du programme, on s'en doute beaucoup, Katja Herbers et Mike Colter voient leur rôle prendre un chemin presque érotique pour une possible relation "bien chaude" mais que l'un ne veut en aucun cas débuter
. A voir ou cette joyeuse troupe va nous emmener pour la fin, mais qu'il y est du biblique ou pas, cela s'annonce captivant.
RealPrime
RealPrime

93 abonnés 1 804 critiques Suivre son activité

Critique de la saison 1
3,5
Publiée le 14 juillet 2023
Mêler possession démoniaque et enquêtes policière, cela peut paraître assez étonnant voir incompatible et pourtant, cette série l'aura fait avec une certaine satire du milieu fanatique ou la science est majoritairement mise en avant et en avantage. Même si la saison n'aura que très peu mis le surnaturel en avant, les premiers pas des interrogatoires ont nettement réussis à les mettre en lumière avec tous les ingrédients principaux de ces scènes me fascinant tant. Niveau cast, toutes et tous inconnus sauf 2, la star Michael Emerson ("Lost", "Person of Interest"...) en démon humain manipulateur excellent, son jeu n'à réellement pas changer avec les années. Son parler (en v.f.) et son regard reste impeccable. Puis en très secondaire Kristen Connolly ("Zoo"...) dont le rôle fut assez minime mais sa présence agréable. Le duo Katja Herbers / mike colter fonctionne à merveille, une bonne fusion au jeu convainquant avec 2 profils bien différents et des scènes convaincantes. Aasif Mandvi ou l'expert technologique impossible à convaincre sur les faits paranormaux et se moquant royalement de tous ces folklores sans intérêt pour lui. spoiler: S'il est particulièrement dommage que chaque enquête soit indépendante et n'est jamais de clap de fin, à l'image principalement de toutes ces ados dont l'addiction musicale inexpliquée ne voit jamais son apogée, le final assez étonnant mais franchement bien penser sur Satan, le démon originel si reconnaissable dans ce costume de bouc bleu clairement beau et très grand public
, aura sut donner son premier bon clap de fin à cette première slave donnant nettement envie d'en découvrir la suite avant un bon plan final.
Kaja Gougou
Kaja Gougou

1 abonné 20 critiques Suivre son activité

Critique de la série
3,0
Publiée le 22 janvier 2021
J'ai bien aimé cette série pour le côté ambivalent science vs foi
Le méchant de Lost joue très bien son rôle de méchant on a envie (encore) de lui mettre des claques pour parler poliment.
Le personnage du prêtre avec ses démons est aussi intéressant, puisque personne n'est parfait
A voir
Maxi
Maxi

4 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,0
Publiée le 19 juillet 2023
Dommage pour le titre français et les quelques effets spéciaux genre horreur...j'ai failli zapper avant de me faire surprendre par un scénario très bien écrit, des personnages attachants avec leurs qualités, défauts et sécrets éventuels, qui donne envie d'en savoir plus...
karim z
karim z

2 critiques Suivre son activité

Critique de la série
4,5
Publiée le 28 octobre 2019
4 eme épisodes, tres bonnes séries, pour l'instant, a voir sur le long terme , une trame de fond s'installe tranquillement....
Doogan Doog
Doogan Doog

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Critique de la série
3,5
Publiée le 17 août 2020
Très bonne série..un genre de X-Files version possession démoniaque. Vous avez le partisan et sa complice la rationnelle, tout comme le fameux duo Mulder et scully... Et bien sûr comme dans X-Files où ils étaient aidés par un groupes de hackers "les bandits solitaires" ici vous aurez un génie de l'informatique , un mac hiver, qui également cherchera à démonter les faits de possession ou pas..ajouter un homme mystérieux et sombre, et voilà la trame d'une série qui tiendra en haleine plus d'un spectateur.
La 1ere saison se mange comme une gourmandise