Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Le Point
par Marion Miclet
Quelques jours avant Noël, voilà une surprise que l'on n'attendait pas. (...) Cette production française est certes portée par un sujet aguicheur : l'émergence du Minitel rose dans les années 1980. Mais c'est son traitement qui la rend particulièrement attachante : une histoire d'amitié à la fois drôle et pleine de suspense entre trois étudiants que tout oppose.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Sud Ouest
par Jean-Michel Selva
Une série drôle, efficace, et mouvementée. Une nouvelle fois, OCS a tapé dans le mille avec le choix de sa nouvelle série Signature.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Figaro
par Constance Jamet
Léger récit de passage à l’âge adulte qui chronique les aléas de l’entrepreneuriat et des amitiés estudiantines, 36 15 Monique brille lorsqu’elle raconte, en filigrane, les prémices de la révolution qui secoue aujourd’hui nos moyens de communication.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Paris Match
par Claire Stevens
Potache mais jouissive, la comédie nostalgique d’OCS transforme la France des années 1980 en savoureuse madeleine de Proust. (...) A consommer sans modération entre la bûche et le sapin… en croisant les doigts pour recevoir bientôt le cadeau d’une saison 2.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Parisien
par Sandrine Bajos
Les fantasmes sexuels et l'argent qu'ils peuvent rapporter aux trois héros sont au cœur de l'intrigue. C'est parfois un peu vulgaire, mais on rit beaucoup. Certains passages sont vraiment hilarants, notamment celui sur le choix du nom de leur site… Un humour un peu potache qui se consomme avec plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Frédéric Foubert
3615 Monique séduit pourtant, en particulier grâce à son excellent trio d’acteurs (Noémie Schmidt, Arthur Mazet, Paul Scarfoglio) et en dépit du fait que, au bout de deux épisodes, on ne sait toujours pas exactement ce que la série entend raconter, au-delà du plaisir de la reconstitution vintage et de l’hilarité teintée de mélancolie que déclenche de façon pavlovienne le mot « Minitel » chez ceux qui ont connu cet étonnant objet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Câble Sat
par La rédaction
Cette série embrasse pleinement sa dimension cocasse tout en déroulant un récit malin, efficace et flirtant avec le drame. Les excellents comédiens font oublier les quelques facilités d'écriture.
La critique complète est disponible sur le site Télé Câble Sat
L'Obs
par Guillaume Loison
Plus les épisodes défilent et plus la série (dont on devine aisément la modestie du budget) semble se recroqueviller autour de son concept, comme si elle rationnait ses idées au lieu de les déployer. Au moins ce coup de froid ne brise-t-il pas ses forces vives : un sens de la caricature et du rythme, doublé d’une poignée d’acteurs solides d’où émerge le visage lunaire d’Arthur Mazet.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
"3615 Monique" a le charme désuet d’un produit 80’s à la fabrication standardisée. [...] Comme le Minitel, "3615 Monique" condense son flux narratif dans des canaux étroits, arrimant chaque épisode à un objectif identifié [... ] réduisant la vie universitaire à un amphi soporifique et assignant aux personnages des profils stéréotypés.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Point
Quelques jours avant Noël, voilà une surprise que l'on n'attendait pas. (...) Cette production française est certes portée par un sujet aguicheur : l'émergence du Minitel rose dans les années 1980. Mais c'est son traitement qui la rend particulièrement attachante : une histoire d'amitié à la fois drôle et pleine de suspense entre trois étudiants que tout oppose.
Sud Ouest
Une série drôle, efficace, et mouvementée. Une nouvelle fois, OCS a tapé dans le mille avec le choix de sa nouvelle série Signature.
Le Figaro
Léger récit de passage à l’âge adulte qui chronique les aléas de l’entrepreneuriat et des amitiés estudiantines, 36 15 Monique brille lorsqu’elle raconte, en filigrane, les prémices de la révolution qui secoue aujourd’hui nos moyens de communication.
Paris Match
Potache mais jouissive, la comédie nostalgique d’OCS transforme la France des années 1980 en savoureuse madeleine de Proust. (...) A consommer sans modération entre la bûche et le sapin… en croisant les doigts pour recevoir bientôt le cadeau d’une saison 2.
Le Parisien
Les fantasmes sexuels et l'argent qu'ils peuvent rapporter aux trois héros sont au cœur de l'intrigue. C'est parfois un peu vulgaire, mais on rit beaucoup. Certains passages sont vraiment hilarants, notamment celui sur le choix du nom de leur site… Un humour un peu potache qui se consomme avec plaisir.
Première
3615 Monique séduit pourtant, en particulier grâce à son excellent trio d’acteurs (Noémie Schmidt, Arthur Mazet, Paul Scarfoglio) et en dépit du fait que, au bout de deux épisodes, on ne sait toujours pas exactement ce que la série entend raconter, au-delà du plaisir de la reconstitution vintage et de l’hilarité teintée de mélancolie que déclenche de façon pavlovienne le mot « Minitel » chez ceux qui ont connu cet étonnant objet.
Télé Câble Sat
Cette série embrasse pleinement sa dimension cocasse tout en déroulant un récit malin, efficace et flirtant avec le drame. Les excellents comédiens font oublier les quelques facilités d'écriture.
L'Obs
Plus les épisodes défilent et plus la série (dont on devine aisément la modestie du budget) semble se recroqueviller autour de son concept, comme si elle rationnait ses idées au lieu de les déployer. Au moins ce coup de froid ne brise-t-il pas ses forces vives : un sens de la caricature et du rythme, doublé d’une poignée d’acteurs solides d’où émerge le visage lunaire d’Arthur Mazet.
Les Inrockuptibles
"3615 Monique" a le charme désuet d’un produit 80’s à la fabrication standardisée. [...] Comme le Minitel, "3615 Monique" condense son flux narratif dans des canaux étroits, arrimant chaque épisode à un objectif identifié [... ] réduisant la vie universitaire à un amphi soporifique et assignant aux personnages des profils stéréotypés.